Tuesday, 22 April 2025

La Crise Mondiale du Coronavirus. Coup d’État Mondial Contre l’humanité


La crise mondiale du coronavirus, coup d’État mondial contre l’humanité

Par Michel Chossudovsky

Michel Chossudovsky analyse en détail comment ce projet insidieux « détruit des vies humaines ». Il propose une analyse complète de tout ce qu’il faut savoir sur la pandémie : des dimensions médicales aux répercussions économiques et sociales, en passant par les fondements politiques et les impacts mentaux et psychologiques.

« Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer le monde entier et de réfuter le discours officiel qui a servi de justification à la déstabilisation du tissu économique et social de pays entiers, suivie de l’imposition du vaccin « mortel » contre la COVID-19. Cette crise touche l’humanité tout entière : près de 8 milliards de personnes. Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier. La vérité est un instrument puissant. »

Critiques

Cet ouvrage approfondi est d’un grand intérêt si vous souhaitez approfondir votre compréhension d’une perspective plus large. L’auteur possède une connaissance approfondie de la géopolitique, ce qui transparaît dans la contextualisation de la Covid. — Dr Mike Yeadon

Dans cette guerre contre l’humanité à laquelle nous sommes confrontés, dans cette attaque singulière, irrégulière et massive contre la liberté et la bonté des individus, le livre de Chossudovsky est un roc sur lequel soutenir notre combat. — Dr Emanuel Garcia

En quinze chapitres concis et scientifiquement fondés, Michel retrace la fausse pandémie de Covid, expliquant comment un test PCR, produisant jusqu’à 97 % de faux positifs avérés, combiné à une campagne de peur incessante 24h/24 et 7j/7, a pu créer une « plandémie » mondiale semant la panique. Cette plandémie n’aurait jamais été possible sans le tristement célèbre test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) modifiant l’ADN, qui, à ce jour, est imposé à une majorité de personnes innocentes qui n’en ont aucune idée. Ses conclusions sont corroborées par des scientifiques de renom. — Peter Koenig

Le professeur Chossudovsky expose la vérité : « il n’existe aucun lien de cause à effet entre le virus et les variables économiques ». Autrement dit, ce n’est pas la COVID-19, mais la mise en œuvre délibérée de confinements illogiques et scientifiquement infondés qui a provoqué l’arrêt de l’économie mondiale. – David Skripac

La lecture du livre de Chossudovsky offre un enseignement complet sur la manière dont un coup d’État mondial, appelé « La Grande Réinitialisation », est en cours et qui, s’il n’est pas combattu et déjoué par les peuples épris de liberté du monde entier, engendrera un avenir dystopique encore inimaginable. Transmettez ce cadeau gratuit du professeur Chossudovsky avant qu’il ne soit trop tard. Vous ne trouverez pas autant d’informations et d’analyses précieuses réunies au même endroit. – Edward Curtin

 

La crise mondiale du corona 

Coup d’État mondial contre l’humanité 

Détruire la société civile, créer une dépression économique

 

par

Michel Chossudovsky

Centre de recherche sur la mondialisation (CRM)

 

A propos de l’auteur

 

Michel Chossudovsky  est un auteur primé, professeur d’économie (émérite) à l’Université d’Ottawa, fondateur et directeur du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), Montréal, rédacteur en chef de Global Research.

Il a entrepris des recherches sur le terrain en Amérique latine, en Asie, au Moyen-Orient, en Afrique subsaharienne et dans le Pacifique et a beaucoup écrit sur les économies des pays en développement en mettant l’accent sur la pauvreté et les inégalités sociales. Il a également entrepris des recherches en économie de la santé (Commission économique des Nations Unies pour l’Amérique latine et les Caraïbes (CEPALC), UNFPA, ACDI, OMS, Gouvernement du Venezuela, Johns Hopkins  International Journal of Health Services  ( 1979 , 1983 )).

Il est l’auteur de 13 livres dont The Globalization of Poverty and The New World Order  (2003),  America’s « War on Terrorism »  (2005) et The Globalization of War, America’s Long War Against Humanity (2015).

Il a contribué à l’Encyclopaedia Britannica. Ses écrits ont été publiés dans plus de 20 langues. En 2014, il a reçu la médaille d’or au mérite de la République de Serbie pour ses écrits sur la guerre d’agression de l’OTAN contre la Yougoslavie. Il peut être contacté à [email protected].

 

La crise mondiale du corona. Coup d’État mondial contre l’humanité 

de Michel Chossudovsky

© Michel Chossudovsky, 2022. Tous droits réservés – Global Research Publishers, Center for Research on Globalization (CRG).

Aucune partie de ce livre ne peut être utilisée ou reproduite de quelque manière que ce soit sans l’autorisation écrite de l’éditeur.

Global Research Publishers est une division du Centre de recherche sur la mondialisation (CRG), CP 55019, 11, rue Notre-Dame Ouest, Montréal, Québec, H2Y 4A7, Canada.

Pour plus d’informations, contactez l’éditeur à l’adresse ci-dessus ou par courriel sur notre site Web à www.globalresearch.ca.

Les opinions exprimées ici relèvent de la seule responsabilité de l’auteur et ne reflètent pas nécessairement celles du Centre de recherche sur la mondialisation.

L’éditeur ne sera pas tenu responsable du contenu de ce livre ou de toute déclaration, omission ou inexactitude s’y rapportant.

PREMIÈRE ÉDITION

Photo de couverture ©  fernando zhimaicela / Pixabay

Produit au Canada.

ISBN 978-0-9879389-3-0

Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives Canada

Michel Chossudovsky, auteur

La crise mondiale du coronavirus, coup d’État mondial contre l’humanité

ISBN 978-0-9879389-3-0 (pdf) livre électronique

Ce livre est dédié à ma compagne de toujours, Micheline Ladouceur, qui agit en solidarité
avec l’avenir de toute l’humanité

 

Remerciements

 

Je suis redevable à Jezile Torculas pour son soutien et ses conseils concernant l’édition et la production de ce livre. Mes remerciements à Tatsuo Uwama qui a pris l’initiative de traduire le manuscrit en japonais. Merci également à Teresa Balisacan pour son aide dans la mise en page et la conception de la couverture du livre.

Une dette de gratitude envers Felicity Arbuthnot, qui a été une source d’inspiration pendant de nombreuses années, envers ma fille Maya, qui m’a fourni une compréhension et un aperçu des effets dévastateurs de la crise du covid sur la jeune génération, envers Ariel Noyola Rodríguez, mes remerciements pour ses productions vidéo, à Michael Welch pour les programmes radio de Global Research.

Je suis également redevable au collectif d’auteurs et d’amis de Global Research qui, au cours des dernières années, ont contribué à une compréhension détaillée de la crise corona en solidarité avec l’humanité dans son ensemble.

Mes remerciements à Peter Koenig, Manlio Dinucci, David Skripac, Dr Denis Rancourt, Dr Stephen Frost, F. William Engdahl, Christine Massey, Dr Rudolf Haensel, Edward Curtin, Richard Gale, Dr Gary Null, Colin Todhunter, Michael Whitney, Pr Anthony J. Hall, Dr Pascal Sacré, Dr Reiner Fuellmich, Dr Paul Craig Roberts, Prof. Raul Villegas, Shane Quinn, Stephen Lendman, Mark Taliano, Dr Jacques Pauwels, Prof. Claudia von Werlhof, Caoimhghin Ó Croidheáin, Carla Stea, Bonnie Faulkner, Timothy A. Guzman, Robert Burrowes, Dr Gary G. Kohls, Dr Nicole Delépine, Richard Delgado, Emanuel Pastreich, Mathias Chang, Stephen Sefton, Dr Chandra Muzzafar, pour leurs écrits , soutien et encouragement.

Je suis redevable au feu Miguel d’Escoto Brockmann pour m’avoir fourni une compréhension critique des contradictions qui prévalent au sein du système des Nations Unies.

 

Table des matières

 

Préface

 

Chapitre I

Introduction. Détruire la société civile. La campagne de peur

Chapitre II

La chronologie de la crise corona

Chapitre III

Qu’est-ce que COVID-19, SARS-CoV-2 : comment est-il testé ? Comment est-il mesuré ?

Chapitre IV

Une dépression économique manipulée

Chapitre V

L’enrichissement des super riches. L’appropriation et la redistribution des richesses

Chapitre VI

Les impacts sur la santé mentale

Chapitre VII

Science corrompue : “Il n’y a pas de remède”. Suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace

Chapitre VIII

Le « vaccin » COVID de Big Pharma

Chapitre IX 

La pandémie de grippe porcine H1N1 2009. Était-ce une répétition générale ?

Chapitre X

Liberté d’expression. Catégoriser le mouvement de protestation comme « psychopathes antisociaux »

Chapitre XI

L’opération mondiale CoVax et le code de Nuremberg. Crimes contre l’humanité, génocide

Chapitre XII

« Coup d’État mondial » et la « Grande réinitialisation ». Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral

Chapitre XIII 

« Digital Tyranny » et le QR Code

Chapitre XIV

La phase finale du COVID-19 : l’eugénisme et le programme de dépopulation

Chapitre XV

La voie à suivre : Construire un mouvement mondial contre la « tyrannie corona »

 

 

Préface 

 

“L’enfer est vide et tous les démons sont ici.” —  William Shakespeare, Tempête, 1610

 

La crise du COVID-19 détruit la vie des peuples. Ma responsabilité en tant qu’auteur est de révéler la vérité, de briser la vague de désinformation médiatique et d’atteindre le plus grand nombre de personnes possible dans le monde entier.

Nous avons affaire à un processus extrêmement complexe. Au cours des trois dernières années,  j’ai analysé presque quotidiennement la chronologie et l’évolution de la crise du COVID-19.

Dès le début en janvier 2020, les gens du monde entier ont été amenés à croire et à accepter l’existence d’une épidémie dangereuse et progressant rapidement. La désinformation des médias a joué un rôle déterminant dans le maintien du récit de la COVID-19.

Au moment d’écrire ces lignes, des mouvements de protestation ont éclaté dans de nombreux pays. La planète entière est en état de chaos économique et social. Une crise mondiale de l’alimentation et de l’agriculture se déroule avec des famines qui éclatent dans toutes les grandes régions du monde (voir chapitre IV). 

Depuis le tout début en janvier 2020, des mensonges et des faussetés scientifiques ont été utilisés pour soutenir la légitimité des mandats politiques de la COVID-19, y compris les confinements, l’imposition du masque facial, la distanciation sociale et la suppression des droits humains fondamentaux. 

Le processus de décision est contrôlé par l’établissement financier. Une structure de « gouvernance mondiale » est en train de se déployer, qui sape la démocratie et les institutions de la société civile. Les mêmes instructions sont transmises simultanément aux politiciens corrompus dans un grand nombre de pays. Le système des Nations Unies est également complice de la conduite de cette entreprise diabolique.

La pandémie a été annoncée le 11 mars 2020. Le même jour, des instructions de confinement ont été transmises à 193 États membres des Nations Unies, exigeant essentiellement le confinement de la main-d’œuvre et la « fermeture » du paysage économique et social comme moyen. pour « combattre le virus ». 

Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement touchées par la crise du coronavirus et les mandats destructeurs mis en œuvre par des gouvernements nationaux moralement dépravés.  

 

Le vaccin à ARNm

À partir de la fin de 2020, les gens du monde entier ont été amenés à croire que les injections de vaccin COVID-19 de Big Pharma étaient la « solution ». Et qu'”une nouvelle normalité” serait rétablie une fois que toute la population de la planète de près de 8 milliards de personnes aurait été entièrement vaccinée avec plusieurs doses.

Comment se fait-il qu’un vaccin contre le nouveau  virus SARS-CoV-2, qui, dans des conditions normales, aurait mis des années à se développer, ait été rapidement lancé début novembre 2020? Le “vaccin” à ARNm annoncé par Big Pharma – avec Pfizer en tête – est basé sur une technologie expérimentale  d’ARNm d’édition de gènes qui a une incidence sur le génome humain.1

Les tests de laboratoire standard sur des animaux utilisant des souris ou des furets ont-ils été effectués?

Ou bien Pfizer est-il « allé directement aux « cobayes » humains »? Les tests sur l’homme ont commencé fin juillet et début août 2020.2 « Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années est la norme.3

 

Copyright Large + JIPÉM, permis d’utilisation

 

Cette caricature de Large + JIPÉM explique notre situation:

Souris n°1 : « Allez-vous vous faire vacciner ? »

Souris n° 2 : “Es-tu fou, ils n’ont pas fini les tests sur les humains”

Le projet de vaccin COVID-19 est axé sur le profit. Il est soutenu par des politiciens corrompus servant les intérêts de Big Pharma. Il s’agit de loin du plus grand programme de vaccination de l’histoire du monde visant à injecter (en plusieurs doses) l’ensemble de la population de la planète Terre (7,9 milliards de personnes).

La preuve amplement documentée est que le vaccin à ARNm a entraîné une marée montante mondiale de la mortalité et de la morbidité.

Les rapports confirment que les vaccins COVID-19 tuent nos enfants. Au Royaume-Uni,  “les pires chiffres en termes de décès toutes causes confondues concernent les adolescents doublement vaccinés”.4

Description et aperçu du livre

Le chapitre introductif se concentre sur la campagne de peur, la déstabilisation délibérée de la société civile et le rôle insidieux de la propagande médiatique.

Un examen détaillé de l’historique de la crise du COVID-19, examinant la chronologie des événements majeurs, est présenté au chapitre II.

Le chapitre III se concentre sur la nature du virus SRAS-CoV-2 ainsi que sur le test défectueux de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR)  qui a été établi dès le départ par les gouvernements nationaux pour générer de « fausses données » en vue de justifiant des mandats politiques excessifs et socialement répressifs.

Les grandes conséquences économiques et sociales de cette crise, y compris le processus d’appauvrissement mondial et de redistribution des richesses en faveur des milliardaires super riches, sont examinées aux chapitres IV et V. Le chaos économique a joué un rôle déterminant dans le déclenchement de la plus grave crise de la dette mondiale de l’histoire du monde.

Les effets dévastateurs des politiques de confinement sur la santé mentale, notamment l’augmentation des suicides et de la toxicomanie, sont examinés au chapitre VI.

Le chapitre VII examine la suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ ), un médicament bon marché et efficace.

Le programme de vaccination de Big Pharma était déjà envisagé des mois avant la prétendue épidémie du nouveau coronavirus à Wuhan fin 2019. Le chapitre VIII passe en revue ce qui est mieux décrit comme « un vaccin tueur ».  La dernière partie du chapitre se concentre sur le projet d’identité numérique ID2020 et l’imposition du soi-disant passeport vaccinal.

Le chapitre IX rappelle les circonstances de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009, qui s’est avérée être une arnaque. Était-ce une « répétition générale » pour les choses à venir?

Le chapitre X se concentre sur la dérogation à la liberté d’expression et les politiques autoritaires utilisées pour réprimer le mouvement de protestation et assurer la conformité sociale.

Le chapitre XI se concentre sur les crimes contre l’humanité et le Code de Nuremberg. 

Le chapitre XII analyse la « grande réinitialisation » proposée par le Forum économique mondial qui, si elle était adoptée, consisterait à établir un système de gouvernance mondiale , à supprimer l’État-providence et à imposer des mesures d’austérité massives à une population appauvrie. L’emblème officiel du « Great Reset » du WEF est « Own Nothing, Be Happy ».

Le chapitre XIII intitulé  Digital Tyranny se concentre sur le projet mondial de code de vérification QR qui jette les bases de la création d’une banque de données numériques mondiale de près de 8 milliards de personnes. Peter Koenig décrit le code QR comme “un identifiant entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.)”.

Le chapitre XIV se concentre sur l’eugénisme et le programme de dépeuplement

Le chapitre XV intitulé The Road Ahead: Building a Worldwide Movement Against Corona Tyranny formule les contours d’un mouvement mondial qui conteste avec force la légitimité des élites financières, Big Pharma, et al., ainsi que les structures corrompues de l’autorité politique au niveau national. niveau.

Un mot sur la méthodologie : notre objectif est de réfuter le « Grand Mensonge » par une analyse minutieuse consistant à :

  • un aperçu historique de la crise COVID avec des données précises, des concepts et des définitions ;
  • des citations de documents officiels et de rapports évalués par des pairs, de nombreuses sources et références sont indiquées ;
  • analyse scientifique et examen détaillé des données, estimations et définitions « officielles » ; et
  • analyse des impacts des « directives » de l’OMS et des politiques gouvernementales sur les variables économiques, sociales et de santé publique.
  • Mon objectif en tant qu’auteur est d’informer les gens du monde entier et de réfuter le récit officiel qui a servi de prétexte et de justification pour déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers, suivi de l’imposition du vaccin “mortel” COVID-19″.

    Cette crise touche l’humanité dans son ensemble : près de 8 milliards de personnes.

    Nous sommes solidaires de nos semblables et de nos enfants du monde entier.

    La vérité est un instrument puissant.

    Michel Chossudovsky,

    Global Research, Montréal, août 2022

     

    Notes

    1 F. William Engdahl, 15 novembre 2020. Ce qu’on ne dit pas sur le vaccin Pfizer contre le coronavirus. “Cochons d’Inde humains” ? https://www.globalresearch.ca/what-not-said-pfizer-coronavirus-vaccine/5729461

    2 Idem.

    3 Idem. 

    4 The Expose, 29 juillet 2022.   Choquant : le gouvernement britannique admet que les enfants vaccinés contre le COVID sont 4 423 % plus susceptibles de mourir de n’importe quelle cause et 13 633 % plus susceptibles de mourir du COVID-19 que les enfants non vaccinés. https://www.globalresearch.ca/print-version-of-covid-book/5780283

     

     

    Chapitre I

    Introduction

    Détruire la société civile. La campagne de peur

     

    « Il est temps que tout le monde sorte de cette transe négative, de cette hystérie collective, car la famine, la pauvreté, le chômage de masse tueront et détruiront la vie de bien plus de personnes que le SARS-CoV-2 ! – Dr Pascal Sacré1

    « Je vois des patients qui ont des éruptions faciales, des infections fongiques, des infections bactériennes. … En février et mars [2020], on nous a dit de ne pas porter de masques. Qu’est ce qui a changé? La science n’a pas changé. La politique l’a fait. C’est une question de conformité. Il ne s’agit pas de science… »  – Dr James Meehan2

    “Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière. La folie l’emporte. Le monde est à l’envers. »  – Michel Chossudovsky

    “Nous sommes confinés pour un taux de mortalité par infection inférieur à 0,2%.”  – Dr Richard Schabas3

    Nous sommes au carrefour de l’une des crises les plus graves de l’histoire mondiale. Nous vivons l’histoire, mais notre compréhension de la séquence des événements depuis janvier 2020 est floue. Dans le monde entier, les gens ont été induits en erreur à la fois par leurs gouvernements et les médias quant aux causes et aux conséquences dévastatrices de la « pandémie » de COVID-19.

    La vérité tacite est que le nouveau coronavirus fournit un prétexte et une justification aux puissants intérêts financiers et aux politiciens corrompus pour précipiter le monde entier dans une spirale de chômage de masse, de faillite, d’extrême pauvreté et de désespoir. 

    C’est la véritable image de ce qui se passe. Elle est le résultat d’un processus décisionnel complexe.

    Le « verrouillage de la planète » est un empiétement sur les libertés civiles et le « droit à la vie ».

    Des économies nationales entières sont en danger. Dans certains pays, la loi martiale a été déclarée.

    Les petits et moyens capitaux sont appelés à disparaître. Le grand capital prévaut.

    Une concentration massive de la richesse des entreprises est en cours.

    C’est un “Nouvel Ordre Mondial” diabolique en devenir.

    Zones rouges, masque facial, distanciation sociale, fermeture des écoles, collèges et universités, plus de réunions de famille, plus de fêtes d’anniversaire, de musique, d’arts ; plus d’événements culturels, les événements sportifs sont suspendus, plus de mariages, “l’amour et la vie” est purement et simplement interdit.

    Et dans plusieurs pays, les réunions de famille de Noël et du Nouvel An (2021-2022) étaient illégales.

    La fermeture de l’économie mondiale nous est présentée comme un moyen de lutter contre le virus. C’est ce qu’ils veulent nous faire croire. Si le public avait été informé que le COVID-19 est “similaire à la grippe saisonnière”, la campagne de peur serait tombée à plat.

    La pandémie a été officiellement lancée par l’OMS le 11 mars 2020 entraînant le confinement et la fermeture des économies nationales de 190 (sur 193) pays, États membres des Nations Unies. Les consignes sont venues d’en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial (WEF), des fondations milliardaires.

    La pandémie du 11 mars 2020 a été précédée d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l’OMS le 30 janvier 2020 qui a été suivie en février 2020 par la déstabilisation des marchés financiers.

    La vidéo ci-dessous a été initialement publiée par Vimeo il y a plus d’un an, avant le lancement du vaccin. Il a été retiré le 5 mars 2022 en tant qu’acte de censure dirigé contre Global Research. Cliquez ici pour regarder.

     

    Pour visionner la vidéo sur Bitchute, cliquez ici. (Capture d’écran de la vidéo, copyright Global Research)

    Au 30 janvier, il y avait 83 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine, sur une population totale de 6,4 milliards. Dans les jours qui ont précédé le krach financier de février, il y avait 1 076 « cas confirmés de COVID-19 » hors de Chine (voir notre analyse au chapitre II).

    Ce projet diabolique basé sur des estimations maigres et erronées est décrit avec désinvolture par les grands médias comme une entreprise « humanitaire » ; la « communauté internationale » a une « responsabilité de protéger » (R2P).

    Image : copyright CODEPINK, autorisation d’utilisation

    Pour reprendre les mots de Diana Johnstone , c’est « le prétexte mondial » . Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu à la rescousse des 7,9 milliards d’habitants de la planète Terre. La fermeture des économies nationales de 193 États membres de l’ONU est présentée comme un moyen de « tuer le virus ».

    Cela semble absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la “solution” mais plutôt la “cause” d’un processus diabolique de déstabilisation et d’appauvrissement mondial.

    L’économie nationale associée aux institutions politiques, sociales et culturelles est à la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.

    Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’est la « solution » imposée à laquelle ils veulent nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.

    C’est la destruction de la vie des gens. C’est la déstabilisation de la société civile.

    Les mensonges sont entretenus par une campagne massive de désinformation médiatique – 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, des «alertes COVID» incessantes et répétitives pendant  plus de deux ans et demi. C’est un processus d’ingénierie sociale.

    Ce qu’ils veulent, c’est augmenter les chiffres pour justifier le verrouillage. Les statistiques de décès COVID sont «fabriquées» (voir chapitre III).

    Le COVID-19 est présenté comme le « virus tueur ».

    Détruire la société civile 

    Les gens sont effrayés et perplexes. « Pourquoi feraient-ils cela? »

    Des écoles vides, des aéroports vides, des épiceries en faillite.

    En France, « les églises ont été menacées avec des kalachnikovs à cause de l’épidémie de COVID-19 » (avril 2020).4

    Toute l’économie des services urbains est en crise. Commerces, bars et restaurants sont poussés à la faillite. Les voyages internationaux et les vacances sont suspendus. Les rues sont vides. Dans plusieurs pays, les bars et restaurants sont tenus de prendre les noms et les coordonnées pour permettre une recherche efficace des contacts si nécessaire.5

    Confinement culturel

    Dans le même temps, à partir de mars 2020, la fermeture mondiale des économies nationales s’est accompagnée d’  un confinement culturelaffectant  les événements musicaux et artistiques. Musées vides, plus d’opéras, plus de symphonies, les salles de concert sont fermées dans le monde entier. Des plates-formes dites numériques de séjour à domicile ont été mises en avant. Aux États-Unis, les musées ont annoncé leur fermeture le 12 mars 2020 en commençant par le New York Metropolitan Museum of Art. En France, le Louvre, Versailles et la Tour Eiffel ont été fermés le 13 mars 2020, deux jours après le confinement.

     

    La liberté d’expression est supprimée

    Le récit du confinement est soutenu par la désinformation des médias, la censure en ligne, l’ingénierie sociale et la campagne de peur.

    Les médecins qui remettent en question le récit officiel sont menacés. Ils perdent leur emploi. Leurs carrières sont détruites. Ceux qui s’opposent au confinement du gouvernement sont classés dans la catégorie des « psychopathes antisociaux ».6

    Des « études » psychologiques évaluées par des pairs sont actuellement menées dans plusieurs pays à l’aide d’enquêtes par sondage. Acceptez le “gros mensonge” et vous êtes étiqueté comme une “bonne personne” avec “l’empathie” qui comprend les sentiments des autres.

    Exprimez des réserves concernant la distanciation sociale, le port du masque facial et le vaccin à ARNm, et vous serez étiqueté (selon «l’opinion scientifique») comme un «psychopathe insensible et trompeur» (voir chapitre XI).

    Dans les collèges et les universités, le personnel enseignant subit des pressions pour se conformer et approuver le récit officiel de la COVID. La remise en question de la légitimité du confinement ou du vaccin dans les « salles de classe » en ligne pourrait conduire à un licenciement.

    De nombreux médecins et scientifiques qui se sont opposés au consensus COVID ou au vaccin ont été arrêtés. En décembre 2020,  « Jean-Bernard Fourtillan,  professeur d’université à la retraite connu pour son opposition au vaccin COVID-19 a été arrêté « par des forces de l’ordre sous commandement militaire, et placé de force à l’isolement à l’hôpital psychiatrique d’Uzès ». Fourtillan est connu comme « un critique de longue date des vaccins qui utilisent des adjuvants dangereux ».7

    Google, Facebook et Twitter : marketing du gros mensonge

    Les opinions d’éminents scientifiques qui remettent en question le confinement, le masque facial ou la distanciation sociale sont “démenties” par Google:

    “YouTube n’autorise pas les contenus qui diffusent des informations médicales erronées qui contredisent les informations médicales de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ou des autorités sanitaires locales sur le COVID-19, y compris sur les méthodes de prévention, de traitement ou de diagnostic du COVID-19, et les moyens de transmission de COVID-19 [FEMININE.”(nous soulignons)8
     
    Ils l’appellent “vérification des faits”, sans reconnaître que l’OMS et les autorités sanitaires nationales contredisent leurs propres données et concepts.

    De même, Twitter a confirmé qu'”il supprimera tous les messages qui suggèrent qu’il y a des ‘impacts ou effets néfastes de la vaccination'”…

    Twitter “ trouera la mémoire de tous les messages qui” invoquent un complot délibéré “ou” avancent des récits nuisibles, faux ou trompeurs “sur les vaccins”.

    Capture d’écran de Twitter

     

    11 mars 2020: Dépression économique machinée. Coup d’Etat mondial?

    Déstabiliser d’un seul coup les économies nationales de 193  pays est un acte de « guerre économique ». Ce programme diabolique sape la souveraineté des États-nations. Il appauvrit les gens dans le monde entier. Cela conduit à une spirale de la dette mondiale libellée en dollars.

    Les puissantes structures du capitalisme mondial, le Big Money couplé à son intelligence et son appareil militaire en sont la force motrice. En utilisant des technologies numériques et de communication avancées, le verrouillage et la fermeture économique de l’économie mondiale sont sans précédent dans l’histoire du monde.

    Cette intervention simultanée dans environ 193  pays porte atteinte à la démocratie. Il porte atteinte à la souveraineté des États-nations dans le monde entier, sans qu’une intervention militaire soit nécessaire. Il s’agit d’une forme avancée de « guerre économique » qui éclipse d’autres formes de guerre, y compris les guerres théâtrales conventionnelles (de style irakien) (voir les chapitres IV et V).

     

    Scénarios « Gouvernance mondiale ». Gouvernement mondial dans l’ère post-COVID? 

    Le projet de confinement du 11 mars 2020 utilise le mensonge et la tromperie pour finalement imposer un régime totalitaire mondial, intitulé «Gouvernance mondiale» (par des responsables non élus). Dans les mots de David Rockefeller:

    « … Le monde est maintenant plus sophistiqué et prêt à marcher vers un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d’une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est sûrement préférable à l’autodétermination nationale pratiquée au cours des siècles passés. (cité par Aspen Times, 15 août 2011, italiques ajoutés)9

    Image: David Rockefeller (par william vazquez, visual waves inc sous licence CC BY 4.0)

    Le scénario de la gouvernance mondiale impose un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique:

    Il constitue une extension du cadre politique néolibéral imposé aux pays en développement comme aux pays développés. Elle consiste à supprimer « l’autodétermination nationale » et à construire un réseau mondial de régimes par procuration pro-américains contrôlés par une « souveraineté supranationale » (gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques (voir chapitre XIII).

     

    Simuler des pandémies

    Le « scénario de l’étape de verrouillage » de Rockefeller

    La Fondation Rockefeller propose l’utilisation de la « planification de scénarios » comme moyen de mettre en œuvre la « gouvernance mondiale ».10

    Dans le rapport Rockefeller de 2010 intitulé  “Scenarios for the Future of Technology and International Development Area” , des scénarios de gouvernance mondiale et les actions à entreprendre en cas de pandémie mondiale sont envisagés.11

    Plus précisément, le rapport envisageait (p. 18)  la simulation d’un scénario Lock Step  incluant une souche grippale virulente mondiale.

    “Le scénario Lock Step décrit” un monde de contrôle gouvernemental descendant plus strict et de leadership plus autoritaire, avec une innovation limitée et une résistance croissante des citoyens “. En « 2012 » (c’est-à-dire deux ans après la publication du rapport), [dans le cadre de la simulation] une souche de grippe « extrêmement virulente et mortelle » provenant d’oies sauvages met le monde à genoux, infectant 20 % de la population mondiale et tuant 8 millions de personnes en seulement sept mois – “la majorité d’entre eux étant de jeunes adultes en bonne santé”. (Helen Buyniski, février 2020)12

    Le rapport Rockefeller de 2010 a été publié au lendemain de la pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 (voir chapitre IX).

    La simulation de table Clade X

    Le 15 mai 2018, une simulation sur table d’une pandémie intitulée Clade X a été menée sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security.

    Clade X a été décrit par ses organisateurs comme un exercice de table pandémique d’une journée dont le but « était d’illustrer  des décisions stratégiques de haut niveau aux États-Unis et dans le monde… pour prévenir une pandémie »  (soulignement ajouté).13  Il était « joué par des personnalités éminentes dans les domaines de la sécurité nationale ou de la réponse aux épidémies ».

    Bill Gates avait la prescience 

    “Dans le cas des menaces biologiques, ce sentiment d’urgence fait défaut… Le monde doit se préparer aux pandémies de la même manière sérieuse qu’il se prépare à la guerre.” (Bill Gates  cité dans Business Insider, 17 avril 2018)

     

    L’événement 201 d’octobre 2019

    Clade X a été suivi d’une autre simulation sur table intitulée  Event 201  (également sous les auspices du Johns Hopkins Center for Health Security).14

    L’événement 201 concernait une épidémie de coronavirus intitulée nCoV-2019.  Elle s’est tenue le 18 octobre 2019, moins de trois mois avant l’annonce par les autorités chinoises début janvier 2020 d’un nouveau coronavirus intitulé  2019-nCoV  (renommé par la suite SARS-CoV-2):

    “Déclaration sur le nCoV et notre exercice de pandémie

    24 janvier 2020 – En octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé un exercice sur table pandémique appelé  Event 201  avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. Récemment, le Center for Health Security a reçu des questions pour savoir si cet exercice pandémique avait prédit l’épidémie actuelle de nouveau coronavirus en Chine.

    Pour être clair, le Center for Health Security et ses partenaires n’ont pas fait de prédiction lors de notre exercice sur table. Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. Au lieu de cela, l’exercice a servi à mettre en évidence les défis de préparation et de réponse qui surviendraient probablement dans une pandémie très grave. Nous ne prévoyons pas maintenant que l’épidémie de nCoV-2019 tuera 65 millions de personnes. 

    Bien que notre exercice sur table comprenne un faux nouveau coronavirus, les entrées que nous avons utilisées pour modéliser l’impact potentiel de ce virus fictif ne sont pas similaires au nCoV-2019. (nous soulignons)15

    L’exercice de pandémie Event 201 du 18 octobre 2019 a également abordé la manière de gérer les médias sociaux et la soi-disant « désinformation ».

    De nombreuses caractéristiques de «l’exercice de simulation» 201 correspondaient en fait à ce qui s’est réellement passé lorsque le directeur général de l’OMS a lancé une urgence mondiale de santé publique le 30 janvier 2020.

    Dans le scénario Event 201, un effondrement de 15 % des marchés financiers avait été « simulé ». Ce n’était pas “prédit” selon les organisateurs et sponsors de l’événement, parmi lesquels la Fondation Bill et Melinda Gates ainsi que le Forum économique mondial.16

    Il convient de noter que les sponsors de l’événement 201 – y compris le WEF et la Fondation Gates – ont été activement impliqués dès le début dans la coordination (et le financement) des politiques liées au COVID-19, y compris le test RT-PCR, les procédures de verrouillage ainsi que le vaccin à ARNm. Les preuves suggèrent que ces politiques avaient été planifiées et envisagées à une date beaucoup plus ancienne.

    Les joueurs du Scénario 201

    Parmi les 201 “acteurs” du scénario sur table de Johns Hopkins figuraient des personnalités clés occupant des postes de conseil ou de direction dans un certain nombre d’organisations centrales. Moins de trois mois plus tard, ces 201 « acteurs » se sont activement impliqués dans la réponse politique à la pandémie de COVID-19.

    “Les personnalités suivantes du monde des affaires, du gouvernement et de la santé publique étaient des acteurs de l’exercice chargés de diriger la réponse politique à un scénario d’épidémie fictif dans l’exercice sur table de l’événement 201 pandémique.”17

    Certains des acteurs clés du scénario 201; de gauche à droite: Dr Gao Fu (par 中国新闻网, sous licence  CC BY 3.0 ), Jane Halton (par l’OMS/Peter Williams) et le Dr Stephen Redd (par le gouvernement américain, sous licence dans le  domaine public)

     

    Les entités directement ou indirectement “représentées” par les “acteurs” comprenaient l’OMS, Johns Hopkins, l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI, Dr  Timothy Grant Evans), US Intelligence, la Fondation Bill et Melinda Gates (Dr Chris Elias), la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI, présidente  Jane Halton), le Forum économique mondial (WEF), la Fondation des Nations Unies, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis (CDC,  Stephen Redd), le Center for Disease Control and Prévention (CDC, directeur Dr  George Fu Gao), Big Pharma (Adrian Thomas), la Banque mondiale et la Banque mondiale, les industries du transport aérien et de l’hôtellerie. Pour plus de détails cliquer ici.

    Il convient de noter que le directeur chinois du CDC, le Dr George Fu Gao,  a joué un rôle central dans la supervision de l’épidémie de COVID-19 à Wuhan au début de 2020, agissant en étroite liaison avec la Fondation Bill et Melinda Gates, Johns Hopkins, et al. Le Dr Gao Fu est diplômé d’Oxford et a des liens avec Big Pharma. Il a également été pendant plusieurs années membre du Wellcome Trust.

    Le Dr Stephen Redd  (CDC) a joué un rôle clé dans la campagne de vaccination contre le H1N1 de 2009 aux États-Unis, qui s’est avérée fausse (voir chapitre IX).

     

    ncov-2019

    Il convient également de noter que l’ OMS a initialement adopté un acronyme similaire (pour désigner le coronavirus) à celui du Johns Hopkins Pandemic Event 201 Exercise (nCoV-2019).  “… Le nouveau virus a été initialement nommé 2019-nCoV par [the] WHO.”18

    “Le 11 février 2020, l’OMS a renommé la maladie en maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). Le même jour, le groupe d’étude sur les coronavirus (CSG) du Comité international sur la taxonomie des virus a publié un manuscrit sur bioRxiv dans lequel il a suggéré de désigner le 2019-nCoV comme coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère 2 (SRAS-CoV-2) sur la base d’un analyse phylogénétique des coronavirus apparentés. (Lancette)19

    Le choix du nom SARS-CoV-2 est expliqué au chapitre III en relation avec le rapport dit Drosten.

    Intelligence et “l’art de la tromperie”

    La crise du COVID est un instrument sophistiqué des élites au pouvoir. Il présente toutes les caractéristiques d’une opération de renseignement soigneusement planifiée utilisant « la tromperie et la contre-tromperie ». Leo Straus  “considérait le renseignement comme un moyen pour les décideurs d’atteindre et de justifier des objectifs politiques, et non de décrire les réalités du monde”. Et c’est précisément ce qu’ils font en ce qui concerne le COVID-19.20

     

    “Le prétexte mondial” 

    Confirmé par d’éminents scientifiques ainsi que par des organismes officiels de santé publique, notamment l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis,  le COVID-19 est un problème de santé publique, mais ce n’est PAS un virus dangereux.

    La crise du COVID-19 est marquée par une « urgence » de santé publique sous l’égide de l’OMS qui sert de prétexte et de justification pour déclencher un processus mondial de restructuration économique, sociale et politique. La tendance est à l’imposition d’un État totalitaire.

    L’ingénierie sociale est appliquée. Les gouvernements sont poussés à prolonger le confinement malgré ses conséquences économiques et sociales dévastatrices.

    Il n’y a aucune base scientifique pour mettre en œuvre la fermeture de l’économie mondiale comme moyen de résoudre une crise de santé publique. Les médias et les gouvernements sont impliqués dans la diffusion de la désinformation.

    La campagne de peur n’a aucune base scientifique. Vos gouvernements MENTENT. En fait, ils se mentent à eux-mêmes.

    Notes 

    1 Dr Pascal Sacré, 7 août 2020. COVID-19 : Plus près de la vérité : tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160

    2 John CA Manley, 6 octobre 2020. Un médecin prévient que «les pneumonies bactériennes sont en augmentation» à cause du port de masque. https://www.globalresearch.ca/medical-doctor-warns-bacterial-pneumonias-rise-mask-wearing/5725848

    3 Dr Richard Schabas, 19 janvier 2021. Nous sommes confinés pour un taux de mortalité par infection inférieur à 0,2 % ? Dr Richard Schabas au premier ministre de l’Ontario, Doug Ford. https://www.globalresearch.ca/were-being-locked-down-infection-fatality-rate-less-than-0-2/5734799

    4 Lucy Williamson, 22 avril 2020. Coronavirus : L’église menacée de Kalachnikovs suite à l’épidémie de Covid-19. https://www.bbc.com/news/av/world-europe-52389953

    5 OMS, 9 septembre 2020. Tracking COVID-19: Contact Tracing in the Digital Age. https://www.who.int/news-room/feature-stories/detail/tracking-covid-19-contact-tracing-in-the-digital-age

    6 Pr Michel Chossudovsky, 6 octobre 2020. Les vaccinés contre les non vaccinés : ceux qui refusent le vaccin et le récit « officiel » du Covid-19 sont classés comme « psychopathes ». https://www.globalresearch.ca/collective-narcissism-and-the-dark-triad-those-who-protest-against-the-official-covid-19-narrative-are-categorized-as-psychopaths-is- c-est-une-chasse-aux-sorcieres/5722151

    7 Jeanne Smits, 11 décembre 2020. Une prof pharmaceutique accomplie jetée dans un hôpital psychiatrique après avoir remis en question le récit officiel de la COVID. https://www.lifesitenews.com/news/accomplished-pharma-prof-thrown-in-psych-hospital-after-questioning-official-covid-narrative/

    8 Youtube Help, sd Politique de désinformation médicale COVID-19. https://support.google.com/youtube/answer/9891785?hl=fr

    9 Will Kesler, 15 août 2011. Méfiez-vous du nouvel ordre mondial. https://www.aspentimes.com/news/beware-new-world-order/

    10 Prof Michel Chossudovsky, 1er mai 2020. Global Capitalism, « World Government » and the Corona Crisis. https://www.globalresearch.ca/global-capitalism-world-government-and-the-corona-crisis/5712312

    11 Fondation Rockefeller et Global Business Network, mai 2010. Scénarios pour l’avenir de la technologie et du développement international. https://www.nommeraadio.ee/meedia/pdf/RRS/Rockefeller%20Foundation.pdf

    12 Helen Buyniski, 5 février 2020. VIDÉO : Scénario de simulation « Lock Step » : « Une pandémie de type coronavirus qui devient un déclencheur pour les contrôles de l’État policier ». https://www.globalresearch.ca/all-sectors-us-establishment-lock-step-deep-states-latest-bio-war/5702773

    13 Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, sd EXERCICE CLADE X. https://www.centerforhealthsecurity.org/our-work/events/2018_clade_x_exercise/

    14 Johns Hopkins Center for Health Security, nd Event 201.  https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/

    15 Johns Hopkins Center for Health Security, 24 janvier 2020. Déclaration sur le nCov et notre exercice sur la pandémie. https://www.centerforhealthsecurity.org/news/center-news/2020/2020-01-24-Statement-of-Clarification-Event201.html

    16 Pr Michel Chossudovsky, 1er mars 2020. Coronavirus COVID-19 : une fausse pandémie ? Qui est derrière ? Déstabilisation économique, sociale et géopolitique mondiale. https://www.globalresearch.ca/covid-19-coronavirus-a-fake-pandemic-whos-behind-it-global-economic-and-geopolitical-destabilization/5705063

    17 Johns Hopkins Center for Health Security, sd Event 201 Players. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/players/

    18 Shibo Jiang, Zhengli Shi, et al., 19 février 2020. Un nom distinct est nécessaire pour le nouveau coronavirus. https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(20)30419-0/fulltext

    19 Idem.

    20 Pr Michel Chossudovsky, 12 novembre 2020. La « pandémie » de Covid : détruire la vie des gens. Dépression économique machinée. « Coup d’État » mondial ? https://www.globalresearch.ca/the-second-wave-destroying-peoples-lives-global-coup-detat/5728207

     

    Chapitre II

    La chronologie de la couronne

     

    Ce chapitre fournit une chronologie détaillée et l’historique de la crise corona à partir d’août 2019.

    1er août 2019: Glaxo-Smith-Kline (GSK) et Pfizer  ont annoncé la mise en place d’un partenariat d’entreprise dans les produits de santé grand public, y compris les vaccins.

     

    19 septembre 2019 :  Réunion de l’Alliance ID2020

    L’Alliance ID2020 a tenu son sommet à New York intitulé “Rising to the Good ID Challenge”. L’accent a été mis sur la mise en place d’un vaccin avec un passeport numérique intégré  sous les auspices de GAVI (Alliance for Vaccine Identity). L’objectif affiché était la création d’une base de données numérique mondiale.1

    «Avec la possibilité pour la vaccination de servir de plate-forme pour l’identité numérique, le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie. Le programme explorera et évaluera également plusieurs technologies biométriques infantiles de pointe pour offrir une identité numérique persistante dès la naissance…

    “Nous mettons en œuvre une approche prospective de l’identité numérique qui donne aux individus le contrôle de leurs propres informations personnelles, tout en s’appuyant sur les systèmes et programmes existants.”2

     

    18 octobre 2019 : Événement 201. L’exercice de simulation de la pandémie 201

    Le coronavirus a été initialement nommé  2019-nCoV par l’OMS, du même nom (à l’exception du placement de la date) que celui adopté lors de  l’exercice de simulation 201 du 18 octobre 2019 sous les auspices de la Johns Hopkins Bloomberg School of Health, Center for Heath Security (un événement parrainé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial). Événement 201:

    « En octobre 2019, le Johns Hopkins Center for Health Security a organisé un exercice sur table pandémique appelé Event 201avec des partenaires, le Forum économique mondial et la Fondation Bill & Melinda Gates. … Pour le scénario, nous avons modélisé une pandémie fictive de coronavirus, mais nous avons explicitement déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une prédiction. (nous soulignons, voir chapitre I).3

    12 décembre 2019: Commission municipale de la santé de Wuhan

    Lorsque l’avis affirme que cette date est la première date d’apparition initiale des 59 patients atteints de pneumonie virale inexpliquée.(Chronologie et chronologie précoce)4

    31 décembre 2019: Premiers cas de pneumonie de cause inconnue détectés à Wuhan, province du Hubei et signalés à l’OMS. «Au total, 44 cas ont été signalés: 11 patients sont gravement malades, tandis que les 33 autres sont dans un état stable .»5

    1er janvier 2020:  Les autorités sanitaires chinoises ont fermé le marché de gros des fruits de mer de Huanan à Wuhan à la suite de rapports des médias occidentaux affirmant que les animaux sauvages qui y étaient vendus pourraient avoir été à l’origine du virus. Cette première évaluation a ensuite été démentie par des scientifiques chinois.

    7 janvier 2020: Les  autorités chinoises ont (prétendument) « identifié un nouveau type de virus » qui (selon les rapports) a été isolé le 7 janvier 2020. Aucun détail spécifique n’a été fourni concernant le processus d’isolement du virus. Selon les rapports scientifiques, l’identité ainsi que le processus d’isolement du virus n’avaient pas été entrepris (pour plus de détails, voir le chapitre III). Le nombre de cas était extrêmement faible. « 44 cas de pneumonie  alors que des acides nucléiques spécifiques au virus n’ont été retrouvés que chez 15 patients ». Aucune preuve d’une épidémie en cours en Chine.6

    11 janvier 2020:  La Commission municipale de la santé de Wuhan annonce le premier décès causé par le coronavirus.

    22 janvier 2020: OMS —  Les membres du Comité d’urgence de l’OMS « ont exprimé des points de vue divergents sur la question de savoir si cet événement constitue une USPPI [urgence de santé publique de portée internationale] ou non ». La réunion du Comité a été reconvoquée le 23 janvier 2020, chevauchant les réunions du Forum économique mondial à Davos (21-24 janvier 2020). Le petit nombre de cas en Chine ne justifiait pas une USPPI.7

    La réunion du Comité d’urgence convoquée par le Directeur général de l’OMS en vertu du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) a exprimé des points de vue divergents sur la question de savoir si cet événement constitue ou non une USPPI. À ce moment-là, l’avis était que l’événement ne constituait pas une USPPI, mais les membres du Comité ont convenu de l’urgence de la situation et ont suggéré que le Comité soit reconvoqué dans quelques jours pour examiner la situation plus avant. (OMS, Déclaration sur la réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV))8

    21-24 janvier 2020 : Consultations au Forum économique mondial, Davos, Suisse

    Les consultations ont eu lieu sous les auspices de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) pour le développement d’un programme de vaccination. Le CEPI est un partenariat WEF-Gates. Avec le soutien du CEPI, Moderna, basée à Seattle, fabriquera un vaccin à ARNm contre le 2019-nCoV:

    “Le Centre de recherche sur les vaccins (VRC) de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), qui fait partie du NIH, a collaboré avec Moderna pour concevoir le vaccin.”9

    Les preuves suggèrent que le projet de vaccin contre le 2019-nCoV était déjà en cours en 2019 (voir chapitre VIII). Il a été officiellement annoncé à Davos, deux semaines après l’annonce du 7 janvier 2020 par les autorités chinoises, et à peine une semaine avant le lancement officiel de l’urgence mondiale de santé publique de l’OMS le 30 janvier 2020.

    L’annonce du vaccin WEF-Gates-CEPI précède l’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l’OMS. Voir la vidéo du WEF.

    Les intérêts financiers dominants, les fondations milliardaires et les institutions financières internationales ont joué un rôle clé dans le lancement de l’OMS PHEIC.

    Dans la semaine précédant cette décision historique de l’OMS, l’USPPI a fait l’objet de “consultations” au Forum économique mondial (WEF) de Davos (21-24 janvier). Le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, était présent à Davos. Ces consultations ont-elles contribué à influencer la décision historique de l’OMS le 30 janvier?

    Y avait-il un  conflit d’intérêts tel que défini par l’OMS ? Le plus grand donateur de l’OMS est la Fondation Bill et Melinda Gates qui, avec le WEF et le CEPI,  avait déjà annoncé à Davos le développement d’un vaccin COVID-19 avant le lancement historique du 30 janvier du PHEIC.10

    Le directeur général de l’OMS avait le soutien de la Fondation Bill et Melinda Gates, de Big Pharma et du Forum économique mondial (WEF). Il y a des indications que la décision de l’  OMS de déclarer une urgence sanitaire mondiale a été prise en marge du WEF à Davos (21-24 janvier) coïncidant avec la réunion du 22 janvier du Comité d’urgence à Genève.

    28 janvier 2020: Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont confirmé (sans preuves solides) que le nouveau coronavirus avait été isolé (voir chapitre III).11

    30 janvier 2020 : Urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l’OMS

    La première étape de cette crise a été lancée par l’OMS le 30 janvier. Bien qu’officiellement elle n’ait pas été qualifiée de « pandémie », elle a néanmoins contribué à mener la campagne de peur.

    Depuis le tout début, les estimations de «cas positifs confirmés» font partie d’un «jeu de nombres».

    Dans certains cas, les statistiques n’ont tout simplement pas été mentionnées et dans d’autres cas, les chiffres ont été gonflés de manière sélective dans le but de semer la panique.

    Non évoqué par les médias, le nombre de “cas confirmés” basés sur des estimations erronées (RT-PCR) utilisés pour justifier cette décision de grande envergure était ridiculement bas.

    La population mondiale hors Chine est de l’ordre de 6,4 milliards. Au 30 janvier 2020, hors de Chine, il y avait:

    “83 cas dans 18 pays, et seulement 7 d’entre eux n’avaient aucun antécédent de voyage en Chine.” (Voir OMS, 30 janvier 2020)12

    Le 29 janvier 2020, la veille du lancement de l’USPPI ( enregistré par l’OMS), il y avait cinq cas aux États-Unis, trois au Canada, quatre en France et quatre en Allemagne.13

    Il n’y avait aucune « base scientifique » pour justifier le lancement d’une urgence mondiale de santé publique.

     

    Capture d’écran de  l’OMS, 29 janvier 2020

     

    Ces faibles chiffres (non mentionnés par les médias) n’ont pas empêché le lancement d’une campagne mondiale de peur.

     

    31 janvier 2020: décision du président Trump de suspendre les voyages aériens avec la Chine

    Le lendemain (31 janvier 2020), Trump a annoncé qu’il refuserait l’entrée aux États-Unis aux ressortissants chinois et étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ». Cela a immédiatement déclenché une crise dans les voyages aériens, les transports, les relations commerciales entre les États-Unis et la Chine ainsi que les transactions de fret et d’expédition.

    Alors que l’OMS “[n’a] recommandé aucune restriction de voyage ou de commerce”, les cinq soi-disant “cas confirmés” aux États-Unis étaient suffisants pour “justifier” la décision du président Trump du 31 janvier 2020 de suspendre les voyages aériens avec la Chine tout en précipitant un campagne de haine contre les Chinois de souche dans tout le monde occidental.

    Cette décision historique du 31 janvier a ouvert la voie à la perturbation du commerce international des matières premières ainsi qu’à l’imposition de restrictions mondiales sur les voyages aériens. Il a finalement joué un rôle déterminant dans le fer de lance de la faillite de grandes compagnies aériennes.

    Les « faux médias » sont immédiatement passés à la vitesse supérieure. La Chine a été tenue pour responsable de la “propagation de l’infection” dans le monde entier.

    Début février 2020:  L’acronyme du coronavirus a été changé de nCoV-2019 (son nom sous l’exercice de simulation Johns Hopkins de l’événement d’octobre 201) à SARS-CoV-2. COVID-19 indique la maladie déclenchée par le SARS-CoV-2.

    20-21 février 2020 : Données COVID mondiales en dehors de la Chine. Le bateau de croisière Diamond Princess

    Alors que la Chine a signalé un total de 75 567 cas de COVID-19 (20 février), les cas confirmés en dehors de la Chine étaient extrêmement bas et les statistiques basées, en grande partie, sur le test RT-PCR utilisé pour confirmer la “propagation mondiale du virus”. » étaient pour le moins discutables. De plus, sur les 75 567 cas en Chine, un grand pourcentage s’était rétabli. Et les chiffres de la reprise n’ont pas été reconnus par les médias.

    Le jour de la conférence de presse historique du Dr Tedros (20 février 2020), le nombre enregistré de cas confirmés hors de Chine était de 1 073, dont 621 passagers et membres d’équipage du bateau de croisière Diamond Princess (bloqué dans les eaux territoriales japonaises).

    D’un point de vue statistique, la décision de l’OMS pointant vers une potentielle “propagation du virus dans le monde” n’avait pas de sens.

    Le 20 février,  57,9 % des « cas confirmés » de COVID-19 dans le monde provenaient du Diamond Princess , ce qui n’est guère représentatif d’une « tendance statistique » mondiale. L’histoire officielle est la suivante:

  • Un passager basé à Hong Kong qui avait débarqué du Diamond Princess à Hong Kong le 25 janvier a développé une pneumonie et a été testé positif pour le nouveau coronavirus le 30 janvier.
  • Il aurait voyagé le 10 janvier à Shenzhen en Chine continentale (qui borde les nouveaux territoires de Hong Kong).
  • Le Diamond Princess est arrivé à Yokohama le 3 février. Une quarantaine a été imposée au croiseur,  voir étude NCBI .14
  • De nombreux passagers sont tombés malades à cause du confinement sur le bateau.
  • Tous les passagers et membres d’équipage du Diamond Princess ont effectué le test PCR.
  • Le nombre de cas confirmés est passé à  691 le 23.15
  •  

    Source : Nakazawa, E., Ino, H., et al. (Publié sur NCBI ) / Aucune violation du droit d’auteur prévue.

     

    A lire attentivement: Du point de vue de l’évaluation des tendances statistiques mondiales, les données ne correspondent pas. Sans les données de Diamond Princess, les cas dits confirmés dans le monde hors de Chine au 20 février 2020 étaient de l’ordre de  452, sur une population de 6,4 milliards. 

    Examinez le graphique de l’OMS ci-dessous. Le bleu indique les cas confirmés sur le Diamond Princess (moyen de transport international arrivé à Yokohama le 3 février 2020), dont beaucoup étaient malades, confinés dans leurs chambres pendant plus de deux semaines (quarantaine imposée par le Japon). Tous les passagers et membres d’équipage ont passé le test RT-PCR (qui ne détecte ni n’identifie le SARS-CoV-2).

    Inutile de dire que ces soi-disant données ont été déterminantes pour mener la campagne de peur et l’effondrement des marchés financiers au cours du mois de février 2020 (voir chapitre IV).

     

    Source: OMS, février 2020

    Source : OMS, février 2020

     

    20 février 2020 : Le directeur général de l’OMS laisse entendre que la pandémie de COVID-19 est imminente 

    Lors d’une conférence de presse le 20 février, jeudi après-midi (CET), lors d’un  briefing à Genève, le directeur général de l’OMS, le  Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré qu’il était

    “préoccupé par le fait que la possibilité de contenir l’épidémie de coronavirus se “fermait””…

    “Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais que la fenêtre se rétrécit.”16

    Il n’y a eu que 1 076 cas en dehors de la Chine (y compris le bateau de croisière Diamond Princess):

     

    Extrait du discours d’ouverture du Directeur général de l’OMS, 20 février 2020 (Source: OMS )

    Remarque: Le graphique de l’OMS ci-dessus, montrant les données du 20 février 2020, indique 1 073 cas; cependant, la conférence de presse de l’OMS a indiqué 1 076 cas.

    Ces déclarations « choc et effroi » ont contribué à intensifier la campagne de peur, malgré le fait que le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine était extrêmement faible.

    Image : Données de l’OMS enregistrées le 20 février 2020, au début du soi-disant COVID Financial Crash. (Source: OMS )

     

    Les 20 et 21 février 2020 marquent le début du krach financier de 2020  (voir chapitre IV).

    En excluant le Diamond Princess, l’OMS a enregistré le 20 février un total de 452 cas dits “confirmés” dans le monde hors de Chine, pour une population de 6,4 milliards –  15 aux États-Unis, 8 au Canada, 9 au Royaume-Uni  (voir tableau sur la droite). Ce sont les chiffres utilisés pour justifier les avertissements du Dr Tedros, “la fenêtre se rétrécit”:

    Un plus grand nombre de cas hors de Chine a été enregistré en Corée du Sud (153 cas selon l’OMS) et en Italie (enregistré par les autorités nationales).

    La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février (voir chapitre IV).

    24 février 2020:  Moderna Inc., soutenue par le CEPI, a annoncé que son vaccin expérimental à ARNm COVID-19, connu sous le nom d’ ARNm-1273,  était prêt à être testé sur l’homme.17

    28 février 2020: Une campagne de vaccination de l’OMS a été annoncée par le directeur général de l’OMS, le Dr  Tedros Adhanom Ghebreyesus:18

    « Plus de 20 vaccins sont en développement dans le monde, et plusieurs thérapeutiques sont en essais cliniques. Nous attendons les premiers résultats dans quelques semaines ».

    Il convient de noter que la campagne de développement de vaccins a été lancée avant la décision de l’OMS de lancer une urgence mondiale de santé publique. Il a été annoncé pour la première fois lors de la réunion du WEF à Davos (21-24 janvier) par le CEPI.

    Début mars 2020 : Chine. Plus de 50% des patients infectés se sont rétablis. Au total, 49 856 patients se sont rétablis du COVID-19 et sont sortis des hôpitaux en Chine.

    L’OMS a enregistré un total de 80 304 cas confirmés en Chine le 3 mars 2020. Cela signifie que le nombre total de  « cas infectés confirmés » en Chine était de 30 448.  A savoir, 80 304 moins 49 856 = 30 448. Aucune preuve d’une pandémie en Chine.

    Ces développements concernant la « reprise » n’ont pas été rapportés par les médias occidentaux.

    5 mars 2020:  Le directeur général de l’OMS a confirmé  qu’en dehors de la Chine,  2 055 cas ont été signalés dans 33 pays. Environ 80 % de ces cas provenaient de trois pays (Corée du Sud, Iran et Italie).19

    Le 7 mars 2020: USA. Le nombre de “cas confirmés” (infectés et guéris) aux Etats-Unis au début du mois de mars était de l’ordre de 430, pour atteindre environ 600 (8 mars). Une augmentation rapide des cas positifs au COVID a été enregistrée au cours du mois de mars.

    Comparez ces chiffres à ceux relatifs au virus de la grippe B. Les CDC ont estimé pour 2019-2020 (pour les États-Unis) ” au moins 15 millions de maladies liées au virus de la grippe… 140 000 hospitalisations et 8 200 décès “. (The Hill)20

    Le 7 mars 2020: Chine. Pas de pandémie en Chine. Les nouveaux cas signalés en Chine sont tombés à deux chiffres. 99 cas enregistrés le 7 mars. Tous les nouveaux cas en dehors de la province de Hubei ont été classés dans la catégorie des “infections importées” (en provenance de pays étrangers). La fiabilité des données reste à établir:

    99 nouveaux cas confirmés dont 74 dans la province de Hubei, … Les nouveaux cas comprennent 24 infections importées – 17 dans la province de Gansu, trois à Pékin, trois à Shanghai et une dans la province de Guangdong.21

    Le 11 mars 2020: Le verrouillage historique de la pandémie COVID-19, la “fermeture ” d’environ 190 économies nationales (chapitre IV).

    Le Directeur général de l’OMS avait déjà préparé le terrain lors de sa conférence de presse du 21 février.22

     “Le monde devrait faire davantage pour se préparer à une éventuelle pandémie de coronavirus”. L’OMS avait appelé les pays à être “en phase de préparation”.

    L’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale alors qu’il y avait 118 000 cas confirmés et 4 291 décès dans le monde (y compris en Chine). (11 mars 2020, selon une conférence de presse)23 Que vous disent ces “statistiques”?

    Image: Nombre total de cas le 12 mars 2020 (Source: OMS)

    Le nombre de cas confirmés en dehors de la Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de 44 279 et de 1 440 décès (chiffres enregistrés par l’OMS pour les 11 et 12 mars, voir tableau ci-contre). Ce sont ces chiffres qui ont servi à justifier le verrouillage et la fermeture d’environ 190 économies nationales.24

    (Le nombre de décès hors de Chine mentionné dans la conférence de presse de Tedros était de 4 291).

    Aux États-Unis, le 11 mars 2020, il y avait, selon Johns Hopkins, 1 335 “cas” et 29 décès (“présumés” et confirmés par PCR).

    Aucune preuve de pandémie le 11 mars 2020.

    Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur est passée à la vitesse supérieure. (Les impacts économiques et financiers sont examinés au chapitre IV).

    Le 16 mars 2020 : Moderna mRNA-1273 a été testé en plusieurs étapes sur 45 volontaires à Seattle, dans l’État de Washington. Le programme de vaccination a débuté au début du mois de février:

    “Nous ne savons pas si ce vaccin induira une réponse immunitaire, ni s’il sera sûr. C’est pourquoi nous faisons un essai”, a souligné M. Jackson. “Il n’en est pas au stade où il serait possible ou prudent de le donner à la population générale”. (AP, 16 mars 2020)25

    18 mars 2020 : Verrouillage aux États-Unis

    8 novembre 2020 : Le “vaccin” à ARNm COVID-19 est lancé. (Chapitre VIII)

    Mi ou fin décembre 2020 : Mise en œuvre mondiale du programme de vaccins à ARNm.

    Janvier 2021 (à partir de):  Tendance à la hausse des décès et des événements indésirables liés à la vaccination documentée par des données officielles ainsi que par le rapport confidentiel de Pfizer (voir chapitre VIII).

    Mars 2021 : Scénario d’exercice fictif d’une pandémie mortelle de virus Monkeypox

    Une simulation sur table  d’un « scénario d’exercice fictif impliquant une souche inhabituelle du virus monkeypox» a été présentée lors de la conférence de Munich sur la sécurité de mars 2021 . Il a été parrainé par le programme de   «Renforcement des systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à hautes conséquences » de la Nuclear Threat Initiative (NTI). (Voir Chapitre XIII)

    Deux des participants de l’événement Johns Hopkins  du 201 octobre 2019 Simulation sur table  d’un nouveau coronavirus étaient présents: le Dr George Gao Fu, chef du CDC chinois et le Dr Chris Elias, président de la Division du développement mondial de la Fondation Gates.26

    Mai-juin 2021:  la variante Delta et « une quatrième vague » ont été annoncées.

    Les prétendus dangers de la variante Delta ont été utilisés pour accélérer le programme de vaccination ainsi que l’imposition du passeport vaccinal.

    Août-septembre 2021: L’imposition d’un passeport vaccin dans plusieurs pays occidentaux

    Octobre 2021: Publication du rapport confidentiel de Pfizer en vertu de la liberté d’information (FOI)

    Ce rapport confirme les impacts (décès et événements indésirables) du vaccin ARNm Pfizer-BioNTech (voir chapitre VIII).27

    Novembre 2021: La variante Omicron  aurait été détectée en Afrique du Sud. La campagne de peur a déclenché une nouvelle crise du transport aérien, associée à des perturbations du commerce des matières premières.

    Novembre 2021-janvier 2022:  Distribution de milliards d’antigènes COVID et de kits de test à domicile dans le monde, ce qui a contribué à doubler le nombre de cas dits « COVID-19 confirmés » en six mois. Plus d’un milliard de tests à domicile et d’antigènes aux États-Unis, 291 millions au Canada.28 

    24 décembre 2021: Le confinement de Noël COVID-19 d’Omicron

    Pas de grandes réunions de Noël, l’imposition de mandats de séjour à domicile, la fermeture partielle de bars et de restaurants (entraînant davantage de faillites), l’annulation d’événements sportifs et culturels. L’objectif tacite est d’isoler les êtres humains – d’empêcher les gens de socialiser et de retrouver leurs proches. 

    Janvier-février 2022: confinements partiels. Pratiques discriminatoires dirigées contre les non-vaccinés

    Dans de nombreux pays, les personnes non vaccinées ont été confinées chez elles, empêchées de voyager, licenciées de leur travail, empêchées de fréquenter les écoles et les universités. Ils étaient accusés d’être des extrémistes et des psychopathes. Ces divisions sociales créent des conflits au sein des familles et des communautés locales, contribuant littéralement à la perturbation de la vie sociale, avec des effets dévastateurs sur l’activité économique (voir chapitre XI).

    Convoi canadien de la liberté 2022 

    Janvier-début février 2022:  Mouvement de protestation de masse au Canada contre le mandat du vaccin.

     

    Freedom Convoy 2022, Ottawa, février 2022. (Copyright Global Research)

     

    Mars 2022: Lancement du Traité de l’OMS sur la pandémie 

    En mars 2022, l’OMS a lancé un organe intergouvernemental de négociation (INB) avec pour mandat de créer  un « traité sur la pandémie »,c’est-à-dire une entité de gouvernance mondiale de la santé qui, si elle était adoptée, l’emporterait sur l’autorité des États membres de l’OMS (voir chapitre XIII).

    Le mandat chinois de tolérance zéro COVID imposé à  Shanghai 

    À partir du 28 mars 2022 Le mandat de tolérance zéro COVID a été imposé à  Shanghai, une ville portuaire de 26 millions d’habitants. D’abord à Shanghai puis étendu aux grandes villes chinoises au cours des mois suivants (avril-juillet 2022) (voir chapitre IV).

    13 mai 2022: L’OMS annonce une épidémie de monkeypox

    Selon l’OMS:

    Depuis le 13 mai 2022, des cas de monkeypox ont été signalés à [l’] OMS par 12 États membres qui ne sont pas endémiques pour le virus du monkeypox, dans trois régions de l’OMS. Des enquêtes épidémiologiques sont en cours, … Au 21 mai, 92 cas confirmés en laboratoire et 28 cas suspects de monkeypox avec des enquêtes en cours ont été signalés à l’OMS par 12 États Membres » (voir chapitre XIII)

    Juin-juillet 2022: La septième vague.  « Danger imminent » allégué des sous-variantes Omicron BA-4 et BA-5.

    23 juillet 2022: L’urgence de santé publique de portée internationale liée au monkeypox (USPPI)

    Le directeur général de l’OMS a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) concernant le virus de la variole du singe.

    Le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus  a pris cette décision unilatéralement contre un vote majoritaire du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) (RSI).

    «Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde grâce à de nouveaux modes de transmission… Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s’agit d’une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels.29   (Voir Chapitre XIII )

     

    Notes 

    1 PYMNTS, 18 septembre 2019. Comment construire un réseau mondial d’identité numérique. https://www.pymnts.com/news/consumer-authentication/2019/how-to-build-a-global-digital-identity-network/

    2 PYMNTS, 19 septembre 2019. ID2020 Alliance dévoile son programme d’identification numérique. https://www.pymnts.com/news/biometrics/2019/id2020-alliance-unveils-digital-id-program/

    3 Johns Hopkins Center for Health Security, nd Event 201.  https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/

    4 Chiron Return, 30 septembre 2021. Chronologie et chronologie précoce de la « pandémie » de Covid-19, test PCR et séquençage. https://www.globalresearch.ca/early-chronology-covid-pcr-assay-sequencing/5757189

    5 Idem.

    6 Idem.

    7 OMS, 23 janvier 2020. Déclaration sur la première réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/23-01-2020-statement-on-the-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding-the- épidémie-de-nouveau-coronavirus-(2019-ncov)

    8 Idem.

    9 National Institutes of Health, 16 mars 2020. Début de l’essai clinique du NIH sur le vaccin expérimental contre le COVID-19. https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-clinical-trial-investigational-vaccine-covid-19-begins

    10 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding- l-épidémie-de-nouveau-coronavirus-(2019-ncov)

    11 CDC, 29 décembre 2020. Culture virale du SRAS-CoV-2 au CDC. https://www.cdc.gov/coronavirus/2019-ncov/lab/grows-virus-cell-culture.html

    12 OMS, 30 janvier 2020. Déclaration sur la deuxième réunion du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international (2005) concernant l’épidémie de nouveau coronavirus (2019-nCoV). https://www.who.int/news/item/30-01-2020-statement-on-the-second-meeting-of-the-international-health-regulations-(2005)-emergency-committee-regarding- l-épidémie-de-nouveau-coronavirus-(2019-ncov)

    13 OMS, 29 janvier 2020. Rapport de situation sur le nouveau coronavirus (2019-nCoV) – 9.  https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200129-sitrep-9-ncov- v2.pdf?sfvrsn=e2c8915_2

    14 Eisuke Nakazawa, Hiroyasu Ino, et al., 24 mars 2020. Chronologie des cas de COVID-19 sur le bateau de croisière Diamond Princess et considérations éthiques : un rapport du Japon. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7156812/

    15 Idem.

    16 OMS, 20 février 2020. Remarques d’ouverture du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse sur le COVID-19 du 20 février 2020.  https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general -s-remarques-liminaires-lors-de-la-briefing-media-sur-covid-19-le-20-fevrier-2020

    17 WEF, 13 février 2020. Mise à jour : Coronavirus (COVID-19) | DAVOS 2020.  https://www.weforum.org/videos/update-wuhan-coronavirus-covid-19-davos-2020

    18 OMS, 28 février 2020. Remarques d’ouverture du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse sur le COVID-19 – 28 février 2020.  https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general -s-remarques-liminaires-lors-de-la-briefing-media-sur-covid-19—28-fevrier-2020

    19 OMS, 5 mars 2020. Remarques d’ouverture du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse sur le COVID-19 – 5 mars 2020.  https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general -s-remarques-liminaires-lors-de-la-briefing-media-sur-covid-19—5-mars-2020

    20 Joseph Guzman, 27 janvier 2020. Le coronavirus se propage – mais la grippe est une plus grande menace pour les Américains. https://thehill.com/changing-america/well-being/longevity/480089-coronavirus-sparks-panic-as-flu-poses-greater-threat-to

    21 Xinhua, 7 mars 2020. Xinhua Headlines : Les nouveaux cas de COVID-19 en Chine chutent à des chiffres à deux chiffres depuis le 21 janvier.  http://www.xinhuanet.com/english/2020-03/07/c_138853686.htm

    22 OMS, 21 février 2020. Conférence de presse sur la maladie à coronavirus (COVID-19). https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/transcripts/who-audio-emergencies-coronavirus-full-press-conference-21feb2020-final.pdf?sfvrsn=954f8ec7_2

    23 OMS, 11 mars 2020. Remarques d’ouverture du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse sur le COVID-19 – 11 mars 2020.  https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general -s-remarques-liminaires-lors-de-la-briefing-media-sur-covid-19—11-mars-2020

    24 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52.  https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid -19.pdf

    25 The Associated Press, 16 mars 2020. Le test du vaccin COVID-19 commence alors que le patient volontaire administre le premier vaccin. https://www.cbc.ca/news/health/coronavirus-vaccine-1.5499244

    26 Prof. Michel Chossudovsky, 4 août 2022. Worldwide Monkeypox Health Emergency (PHEIC): For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022.  https://www. globalresearch.ca/bill-gates-warns-smallpox-terror-attacks-urges-leaders-use-germ-games-prepare/5781195?utm_campaign=magnet&utm_source=article_page&utm_medium=related_articles

    27 Prof. Michel Chossudovsky, 13 août 2022. Bombshell Document Dump on Pfizer Vaccine Data. https://www.globalresearch.ca/bombshell-document-dump-pfizer-vaccine-data/5763397

    28 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus gros mensonge de l’histoire mondiale : Il n’y a jamais eu de pandémie. La base de données est défectueuse. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates- including-the- vaccin-sont-invalides/5772008

    29 OMS, 23 juillet 2022. Déclaration du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse qui a suivi le Comité d’urgence du RSI concernant l’épidémie multi-pays de monkeypox – 23 juillet 2022.  https://www.who.int/director-general/speeches/ detail/who-director-general-s-statement-on-the-press-conference-following-IHR-emergency-committee-concernant-the-multi–country-outbreak-of-monkeypox–23-juillet-2022

     

    Chapitre III

    Qu’est-ce que COVID-19, SARS-CoV-2:

    Comment est-il testé? Comment est-il mesuré?

     

    « Le PCR est un processus. Cela ne vous dit pas que vous êtes malade. – Le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel et inventeur de la RT-PCR, est décédé en août 2019.

    “… La totalité ou une partie substantielle de ces résultats positifs pourraient être dus à ce qu’on appelle des tests de faux positifs .” – Dr. Michael Yeadon, scientifique distingué, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer

    “Cette utilisation abusive de la technique RT-PCR est appliquée comme une stratégie implacable et intentionnelle par certains gouvernements  pour justifier des mesures excessives  telles que la violation d’un grand nombre de droits constitutionnels, … sous prétexte d’une pandémie basée sur un certain nombre de RT positifs -Des tests PCR, et non sur un nombre réel de patients . – Dr Pascal Sacré, médecin belge spécialisé en soins intensifs et analyste renommé en santé publique.

    «J’ai vu des efforts massifs déployés pour gonfler délibérément le nombre de décès de Covid en réétiquetant les patients atteints de cancer et les victimes d’accidents vasculaires cérébraux et toutes sortes de décès réguliers normaux comme Covid, en fait pratiquement quiconque monte dans une ambulance. Les méthodes utilisées pour le faire étaient totalement défectueuses, les tests PCR par exemple étant exécutés sur 45 cycles que nous savons tous être sans valeur, mais les gens sont euthanasiés sur cette base et parfois uniquement sur la base d’une radiographie pulmonaire seule. – John O’Looney, directeur funéraire,  Milton Keynes, Royaume-Uni

     

    Introduction

    Les mensonges médiatiques associés à une campagne de peur systémique et soigneusement conçue ont entretenu l’image d’un virus tueur  qui se propage sans relâche dans toutes les grandes régions du monde.

    Plusieurs milliards de personnes dans plus de 190 pays ont été testées (et retestées) pour le COVID-19.

    Au moment de la rédaction de cet article, plus de 500 millions de personnes dans le monde ont été classées dans la catégorie  des « cas confirmés de COVID-19 »  (« cas cumulés »).

    La pandémie présumée aurait entraîné plus de 5,8 millions de décès liés au COVID-19.

    Les deux ensembles de chiffres – morbidité et mortalité – ne sont pas valides. Un dispositif de test COVID très organisé (dont une partie est financée par les fondations milliardaires) a été mis en place dans le but de faire grimper le nombre de  “cas confirmés COVID-19, qui servent ensuite de justification pour imposer le “vaccin”. passeport assortie de l’abrogation des droits fondamentaux de l’homme.

    Depuis le début de cette crise en janvier 2020, toutes les décisions politiques de grande envergure soutenues et présentées au public comme un « moyen de sauver des vies » étaient basées sur des cas positifs de RT-PCR erronés et non valides.

    Ces “estimations” COVID-19 invalides ont été utilisées pour justifier le confinement, la distanciation sociale, le port du masque facial, l’interdiction des rassemblements sociaux, des événements culturels et sportifs, la fermeture de l’activité économique, ainsi que l’application de l’ARNm ” vaccin » lancé en novembre 2020.

    Il n’existe pas de « cas confirmé de COVID-19 ». Fermement reconnu tant par l’opinion scientifique que par l’Organisation mondiale de la santé, le test RT-PCR utilisé pour “détecter” la propagation du virus (ainsi que ses variantes) est non seulement défectueux mais TOTALEMENT INVALIDE. 

    La campagne de peur est menée sans relâche par des déclarations politiques et la désinformation des médias. Un examen plus approfondi des rapports officiels des autorités sanitaires nationales ainsi que des articles évalués par des pairs donne une image totalement différente.

    Dans ce chapitre, nous nous concentrerons sur les questions suivantes:

    1.   Les caractéristiques du virus SARS-CoV-2 telles que décrites par l’OMS, les CDC et les rapports évalués par des pairs. Est-ce un virus dangereux?

    2.  Le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse ( RT-PCR)  utilisé pour  « détecter/identifier » le SRAS-CoV-2.

    3. La fiabilité des estimations de la mortalité et de la morbidité relatives à l’infection présumée au COVID-19.

     

    Les caractéristiques du SRAS-CoV-2

    Mensonges par omission : les médias n’ont pas réussi à rassurer le grand public.

    Ci-dessous l’officiel de l’ OMS du COVID-19  suivie de celle du CDC:

    Les coronavirus sont une grande famille de virus qui peuvent provoquer des maladies chez les animaux ou les humains. Chez l’homme, plusieurs coronavirus sont connus pour provoquer des infections respiratoires allant du simple rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS) et le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Le coronavirus le plus récemment découvert provoque la maladie à coronavirus COVID-19.

    « Les symptômes les plus courants du COVID-19 sont la fièvre, la toux sèche et la fatigue. … Ces symptômes sont généralement légers et commencent progressivement. Certaines personnes sont infectées mais ne présentent que des symptômes très légers . La plupart des gens (environ 80 %) se rétablissent de la maladie sans avoir besoin de soins hospitaliers. Environ 1 personne sur 5 qui contracte le COVID-19 tombe gravement malade et développe des difficultés respiratoires.1

     

    Similaire à la grippe selon le CDC

    COVID-19 versus Influenza (Flu)  Virus A et Virus B (et sous-types) 

    Rarement évoqué par les médias ou par les politiciens: Le CDC (qui est une agence du gouvernement américain) confirme que le COVID-19 est similaire à la grippe:

    « La grippe (grippe) et la COVID-19 sont toutes deux des maladies respiratoires contagieuses, mais elles sont causées par des virus différents . Le COVID-19 est causé par une infection par un nouveau coronavirus (appelé SRAS-CoV-2) et la grippe est causée par une infection par des virus de la grippe. Étant donné que certains des symptômes de la grippe et du COVID-19 sont similaires, il peut être difficile de faire la différence entre eux en se basant uniquement sur les symptômes, et des tests peuvent être nécessaires pour aider à confirmer un diagnostic. La grippe et le COVID-19 partagent de nombreuses caractéristiques, mais il existe des différences essentielles entre les deux. »2

    Si le public avait été informé et rassuré que le COVID est « similaire à la grippe », la campagne de peur serait tombée à plat.

    Le confinement et la fermeture de l’économie nationale auraient été carrément rejetés.

    Selon le  Dr Wolfgang Wodarg,  la pneumonie est « régulièrement causée ou accompagnée de coronavirus ».3

    Les immunologistes confirment largement la définition du CDC. Le COVID-19 présente des caractéristiques similaires à une grippe saisonnière couplée à une pneumonie.

    Selon Anthony Fauci (chef du NIAID), H. Clifford Lane et Robert R. Redfield (chef du CDC) dans le New England Journal of Medicine:

    “… les conséquences cliniques globales de Covid-19 pourraient finalement s’apparenter davantage à celles d’une grippe saisonnière sévère (qui a un taux de létalité d’environ 0,1 % ) ou d’une grippe pandémique (similaire à celles de 1957 et 1968) plutôt qu’à une maladie similaire au SRAS ou au MERS, qui ont eu des taux de létalité de 9 à 10% et 36%, respectivement.4

    Comme c’est pratique: L’article ci-dessus a été publié pour la première fois dans le NEJM le 26 mars 2020, exactement dix jours après la déclaration d’une urgence nationale par le président Trump le 16 mars 2020. Si ce texte faisant autorité avait été porté à l’attention de le public américain, le mandat de verrouillage serait tombé à plat.

    Fauci s’adresse au corps de presse de la Maison Blanche sur COVID-19 en avril 2020, sous la surveillance du président Donald Trump (à gauche) et du vice-président Mike Pence (à droite). (Par la Maison Blanche, sous licence du domaine public)

    Le Dr Anthony Fauci  se ment à lui-même. Dans ses déclarations publiques, il affirme que le COVID est « dix fois pire que la grippe saisonnière ».5

    Il réfute son rapport révisé par des pairs cité ci-dessus. Dès le départ, Fauci a joué un rôle déterminant dans la campagne de peur et de panique à travers l’Amérique.6

     

    Le test de réaction en chaîne par polymérase de transcription inverse (RT-PCR)

    La méthodologie oblique appliquée sous la direction de l’OMS pour détecter la propagation présumée du virus est le test de réaction en chaîne par polymérase à transcription inverse (RT-PCR ), qui est appliqué de manière routinière dans le monde entier depuis février 2020.

    Le test RT-PCR a été utilisé dans le monde entier pour générer des millions de “cas confirmés COVID-19” erronés, qui sont ensuite  utilisés pour entretenir l’illusion que la prétendue pandémie est réelle.

    Cette évaluation basée sur des chiffres erronés a été utilisée au cours des deux dernières années et demie pour mener et soutenir la campagne de peur.

    Et les gens sont désormais amenés à croire que le « vaccin » COVID-19 est la « solution ». Et cette « normalité » sera rétablie une fois que toute la population de la planète Terre aura été vaccinée.

    “Confirmé” est un abus de langage. Un “cas confirmé positif à la RT-PCR” n’implique pas un “cas confirmé COVID-19”.

    Une RT-PCR positive n’est pas synonyme de la maladie COVID-19 ! Les spécialistes de la PCR précisent qu’un test doit toujours être comparé au dossier clinique du patient testé, à l’état de santé du patient pour confirmer sa valeur [fiabilité]. (Dr Pascal Sacré)7

    La procédure utilisée par les autorités sanitaires nationales consiste à catégoriser tous  les cas positifs à la RT-PCR  comme « cas confirmés COVID-19 » (avec ou sans diagnostic médical).  Ironiquement, ce processus de routine d’identification des « cas confirmés »  est contraire aux propres directives du CDC:

    “La détection de l’ARN viral peut ne pas indiquer la présence d’un virus infectieux ou que le 2019-nCoV est l’agent causal des symptômes cliniques. La performance de ce test n’a pas été établie pour le suivi du traitement de l’infection par le 2019-nCoV. Ce test ne peut pas exclure les maladies causées par d’autres agents pathogènes bactériens ou viraux.8 (nous soulignons)

    La méthodologie utilisée pour détecter et estimer la propagation du virus est erronée et invalide.

     

    Faux positifs

    Le débat antérieur au début de la crise s’est concentré sur la question des « faux positifs ».

    Reconnu par l’OMS et le CDC, le test RT-PCR était connu pour produire un pourcentage élevé de faux positifs . Selon le  Dr Pascal Sacré:

    “Aujourd’hui, alors que les autorités testent plus de personnes, il y aura forcément plus de tests RT-PCR positifs. Cela ne signifie pas que le COVID-19 revient, ou que l’épidémie se déplace par vagues. Il y a plus de personnes testées, c’est tout.9

    Le débat sur les faux positifs (reconnus par les autorités sanitaires) pointe vers de soi-disant erreurs sans nécessairement remettre en cause la validité globale du test RT-PCR comme moyen de détection de la propagation présumée du virus SARS-CoV-2.

     

    Le test PCR ne détecte pas l’identité du virus

    Le test RT-PCR n’identifie/détecte pas le virus. Ce que le test PCR identifie, ce sont des fragments génétiques de nombreux virus (dont les virus grippaux de types A et B et les coronavirus qui déclenchent les rhumes).

    Les résultats du test RT-PCR ne peuvent pas “confirmer” si une personne qui entreprend le test est infectée par le SARS-CoV-2.

    Le diagramme suivant résume le processus d’identification des cas positifs et négatifs. Il suffit de la présence de « matériel génétique viral » pour qu’il soit catégorisé comme « positif ». La procédure ne permet pas d’identifier ou d’isoler le COVID-19. Ce qui apparaît dans les tests, ce sont des fragments du virus.10

     

    Source: Fonds du Commonwealth (Aucune violation du droit d’auteur n’est prévue.)
     
     
    Un test positif ne signifie pas que vous avez le virus et/ou que vous pourriez transmettre le virus.

    Selon le Dr Kary Mullis, inventeur de la technique PCR,

    “La PCR détecte un très petit segment de l’acide nucléique qui fait partie d’un virus lui-même.”

    Image: Dr Kary Mullis, biochimiste américaine et lauréate du prix Nobel. (Par Dona Mapston/Flickr, sous licence  CC BY-SA 3.0)

    Selon le célèbre immunologiste suisse Dr. B. Stadler:

    Donc si on fait un test PCR corona sur une personne immunisée, ce n’est pas un virus qui est détecté, mais une petite partie éclatée du génome viral. Le test revient positif tant qu’il reste de minuscules parties brisées du virus. Même si les viri infectieux sont morts depuis longtemps, un test corona peut revenir positif, car la méthode PCR multiplie même une infime fraction du matériel génétique viral suffisamment [pour être détectée].11

    Le Dr Pascal Sacré  est d’accord:  « Ces tests détectent les particules virales, les séquences génétiques, et non le virus entier.12

    “Pour tenter de quantifier la charge virale, ces séquences sont ensuite amplifiées plusieurs fois à travers de nombreuses étapes complexes sujettes à des erreurs, des erreurs de stérilité et des contaminations.”

     

    Le « test » RT-PCR COVID-19 « personnalisé » de l’OMS 

    Deux questions importantes et liées.

    Le test PCR n’identifie pas le virus comme indiqué ci-dessus. De plus, l’OMS en janvier 2020  ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV. 

    Ce qui était envisagé en janvier 2020 était une “personnalisation” du test PCR par l’OMS, sous la direction scientifique de l’  Institut de virologie de Berlin à l’hôpital de la Charité.

    Le Dr Christian Drosten et ses collègues  de l’Institut de virologie de Berlin ont entrepris une étude intitulée  “Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel”.13

     

    Capture d’écran d’ Eurosurveillance  (Aucune violation du droit d’auteur n’est prévue.)

     

    Le titre de l’étude de l’Institut de virologie de Berlin est un abus de langage évident. Le test PCR ne peut pas « détecter » le nouveau coronavirus 2019. (Voir Dr Kary Mullis, Dr B. Stadler, Dr Pascal Sacré cités ci-dessus).

    Par ailleurs, l’étude publiée par Eurosurveillance  reconnaît que l’OMS ne possédait pas d’isolat et d’échantillon purifié du nouveau virus 2019-nCoV:

    [Alors que]… plusieurs séquences du génome viral avaient été diffusées,… les isolats ou échantillons de virus [de 2019-nCoV] de patients infectés n’étaient pas disponibles… »14

    Le Drosten, et al. L’équipe a alors recommandé à l’OMS qu’en l’absence d’un isolat du  virus 2019-nCoV , un SARS-CoV 2003  similaire  soit utilisé comme « proxy » (point de référence) du nouveau virus:

    “Les séquences du génome suggèrent la présence d’un virus étroitement lié aux membres d’ une espèce virale appelée CoV lié au syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS), une espèce définie par l’agent de l’épidémie de SRAS de 2002/03 chez l’homme [3,4].

    Nous rapportons la mise en place et la validation d’un flux de travail de diagnostic pour le dépistage du 2019-nCoV et la confirmation spécifique [à l’aide du test RT-PCR], conçu en l’absence d’isolats de virus disponibles ou d’échantillons de patients originaux. La conception et la validation ont été rendues possibles par la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003 , et aidées par l’utilisation de la technologie des acides nucléiques synthétiques. (Eurosurveillance, 23 janvier 2020, nous soulignons).15

    Ce que cette déclaration ambiguë suggère, c’est que l’identité du 2019-nCoV n’était pas requise et que les “cas confirmés de COVID-19” (c’est-à-dire l’infection résultant du nouveau coronavirus de 2019) seraient validés par “la parenté génétique étroite avec le SARS-CoV de 2003”. 

    Cela signifie qu’un coronavirus détecté il y a 19 ans (SARS-CoV 2003) est utilisé pour “valider” l’identité d’un soi-disant “nouveau coronavirus” détecté pour la première fois dans la province chinoise du Hubei fin décembre 2019.

    Les recommandations de l’étude Drosten (généreusement  soutenue et financée par la Fondation Gates) ont ensuite été transmises à l’OMS. Ils ont ensuite été approuvés par le  directeur général de l’OMS, le Dr  Tedros Adhanom Ghebreyesus.

    L’OMS n’avait pas en sa possession « l’isolat de virus » nécessaire à l’identification du virus. Il a été décidé qu’un isolat du nouveau coronavirus n’était pas nécessaire. 

    Le Drosten, et al. article relatif à l’utilisation du test RT-PCR dans le monde  (sous la direction de l’OMS) a été contesté dans une étude du 27 novembre 2020  par un groupe de 23 virologues, microbiologistes et al.

    Il va de soi que si le test PCR utilise le virus SARS-CoV 2003 comme “point de référence”, il ne peut y avoir aucun cas “confirmé” de COVID-19 du nouveau virus 2019-nCoV (rebaptisé par la suite SARS-CoV-2 ) ou de ses variantes.

     

    L’identité du 2019-nCoV a-t-elle été confirmée ? Le virus existe-t-il ? 

    Bien que l’OMS ne possédait pas d’isolat du virus, existe-t-il des preuves valables et fiables que le nouveau coronavirus de 2019 a été isolé à partir d’un « échantillon non altéré prélevé sur un patient malade » ?16

    Les autorités chinoises ont annoncé le 7 janvier 2020 qu'”un nouveau type de virus” avait été “identifié” “semblable à celui associé au SRAS et au MERS” (rapport connexe, source non originale du gouvernement chinois). La méthode sous-jacente adoptée par l’équipe de recherche chinoise est décrite ci-dessous:

    Nous avons collecté et analysé de manière prospective des données sur des patients atteints d’une infection au 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel et séquençage de nouvelle génération.

    Les données ont été obtenues à l’aide de formulaires de collecte de données standardisés partagés par l’OMS et le Consortium international sur les infections respiratoires aiguës sévères et émergentes à partir de dossiers médicaux électroniques.17 (nous soulignons)

    L’étude ci-dessus (citation ci-dessus ainsi que d’ autres documents consultés) suggère que les autorités sanitaires chinoises n’ont pas procédé à l’isolement/purification de l’échantillon d’un patient. L’utilisation  de “l’infection 2019-nCoV confirmée en laboratoire par RT-PCR en temps réel” (comme cité dans leur étude) est un abus de langage évident, c’est-à-dire  que le test RT-PCR ne peut en aucun cas être utilisé pour identifier le virus. L’isolement du virus par les autorités chinoises n’est pas confirmé.18

     

    Liberté d’information relative à l’isolat de SARS-CoV-2

    Un projet d’enquête détaillé de Christine Massey  intitulé  Freedom of Information Requests: Health/Science Institutions Worldwide “Have No Record” of SARS-COV-2 Isolation/Purification  fournit de la documentation concernant l’identité du virus. Les réponses à ces demandes de 127 entités dans 25 pays confirment qu’il  n’y a aucune trace d’isolement/purification du SRAS-CoV-2 “ayant été effectuée par qui que ce soit, n’importe où, jamais”.19

     

    Les cycles d’amplification de seuil. L’OMS admet que les résultats du “test” RT-PCR sont totalement invalides

    Le test RT-PCR  a été adopté par l’OMS le 23 janvier 2020 comme moyen de détection du virus SARS-CoV-2, suivant les recommandations du groupe de recherche Berlin Virology (cité ci-dessus).

    Exactement un an plus tard, le 20 janvier 2021, l’OMS se rétracte. Ils ne disent pas « nous avons fait une erreur ». La rétractation est soigneusement formulée (voir  le document original de l’OMS ici).20

    La question litigieuse porte sur le nombre de cycles de seuil d’amplification (Ct). Selon Pieter Borger, et al.:

    Le nombre de cycles d’amplification [devrait être] inférieur à 35; de préférence 25-30 cycles. En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas corrélés avec le virus infectieux tel que déterminé par isolement en culture cellulaire… (Critique de l’étude Drosten)21

    L’Organisation mondiale de la santé (OMS) admet tacitement un an plus tard que TOUS les tests PCR effectués à un seuil d’amplification de 35 cycles (Ct) ou plus sont INVALIDES. Mais c’est ce qu’ils recommandaient en janvier 2020, en concertation avec l’équipe de virologie de l’hôpital de la Charité à Berlin.

    Si le test est effectué à un seuil de 35 Ct ou plus (ce qui était recommandé par l’OMS), les segments génétiques du virus SARS-CoV-2 ne peuvent pas être détectés, ce qui signifie que TOUS les soi-disant “cas confirmés COVID-19” compilées dans le monde entier au cours des deux dernières années et demie ne sont pas valables.

    Selon Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, et al.,  le Ct > 35 a été la norme « dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis ».22 

     

    Le mea culpa de l’OMS

    Vous trouverez ci-dessous la « rétractation » soigneusement formulée par l’OMS.

    “Les directives de l’OMS sur les tests de diagnostic pour le SRAS-CoV-2 indiquent qu’une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire (1). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique,  un nouvel échantillon doit être prélevé et retestéen utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente. (nous soulignons)

    L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente (2). Cela signifie que la probabilité qu’une personne qui a un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.23

     

    « Invalid Positifs » est le concept sous-jacent 

    Il ne s’agit pas d’un problème de “faibles positifs” et de “risque d’augmentation des faux positifs”. Ce qui est en jeu, c’est une “méthodologie défectueuse” qui conduit à des estimations invalides de “cas confirmés de COVID-19”.

    Ce que cet aveu de l’OMS confirme, c’est que  l’estimation de COVID positif issue d’un test PCR  (avec un seuil d’amplification de 35 cycles ou plus) est invalide. Dans ce cas, l’OMS recommande de refaire le test,  “un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté…”

    L’OMS appelle à “retester”, ce qui revient à dire  “on a merdé”.

    Cette recommandation est pro forma. Cela n’arrivera pas. Plusieurs milliards de personnes dans le monde ont déjà été testées, à partir de début février 2020.

    Depuis le début, le test PCR a été appliqué en routine à un seuil d’amplification Ct de 35 cycles ou plus. Cela signifie que la méthodologie PCR telle qu’appliquée dans le monde entier a, au cours des deux dernières années et demie, conduit à la compilation d’estimations COVID-19 erronées et trompeuses, qui,  selon l’OMS (20 janvier 2021) sont basées sur une méthodologie invalide.  

    Et ce sont ces statistiques qui servent à mesurer la progression de la soi-disant « pandémie ». Au-dessus d’un cycle d’amplification de 35 ou plus, le test ne détectera pas les fragments du virus. Par conséquent,  les « chiffres COVID » officiels (cas confirmés de COVID-19) n’ont aucun sens.

    Il s’ensuit qu’il n’y a aucune base scientifique pour confirmer l’existence d’une pandémie, ce qui signifie à son tour que les mesures de confinement/économiques qui ont entraîné la panique sociale, la pauvreté de masse et le chômage (prétendument pour freiner la propagation du virus) n’ont aucun effet. justification que ce soit. Selon l’avis scientifique:

    « Si quelqu’un est testé par PCR comme positif lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit effectivement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97 %  

    3. Le nombre de cycles d’amplification (moins de 35 ; de préférence 25-30 cycles);

    En cas de détection de virus, > 35 cycles ne détectent que les signaux qui ne sont pas en corrélation avec le virus infectieux tel que déterminé par l’isolement en culture cellulaire [examiné en 2]; si quelqu’un est testé positif par PCR lorsqu’un seuil de 35 cycles ou plus est utilisé (comme c’est le cas dans la plupart des laboratoires en Europe et aux États-Unis), la probabilité que ladite personne soit effectivement infectée est inférieure à 3 %, la probabilité que ledit résultat est un faux positif est de 97% » (soulignement ajouté) (Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, Michael Yeadon, Clare Craig, Kevin McKernan, et al. Critique of Drosten Study)24

    Comme indiqué ci-dessus, “la probabilité que ledit résultat soit un faux positif est de 97 %”, il s’ensuit que l’utilisation de la détection > 35 cycles contribuera de manière indélébile à “augmenter” le nombre de “faux positifs”.

    Le mea culpa de l’OMS confirme que la procédure de test PCR COVID-19 telle qu’appliquée n’a aucun sens.

     

    Le CDC ordonne le retrait du test PCR

    La rétractation historique de l’OMS est suivie six mois plus tard d’un mea culpa de la part du CDC. Le 21 juillet 2021, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC)  demandent le retrait du test PCR comme méthode valide de détection et d’identification du SRAS-CoV-2: 

    «Après le 31 décembre 2021, le CDC retirera la demande à la Food and Drug Administration (FDA ) des États-Unis pour l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du panneau de diagnostic RT-PCR en temps réel du CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV), le test introduit pour la première fois en février 2020 pour la détection du SRAS-CoV-2 uniquement.

    En prévision de ce changement, le CDC recommande aux laboratoires cliniques et aux sites de test qui utilisent le test CDC 2019-nCoV RT-PCR de sélectionner et de commencer leur transition vers un autre test COVID-19 autorisé par la FDA.

    Le CDC encourage les laboratoires à envisager l’adoption d’une méthode multiplexée qui peut faciliter la détection et la différenciation des virus du SRAS-CoV-2 et de la grippe. (nous soulignons)25

    A lire attentivement: ce que cette directive du CDC admet tacitement, c’est que le test PCR ne différencie pas efficacement le “SARS-CoV-2 et les virus de la grippe”. Nous le savons depuis le début.

    Depuis le 1er janvier 2022, le CDC a retiré son approbation du test RT-PCR aux États-Unis.

    Si le test PCR est invalide comme l’indiquent à la fois le CDC et l’OMS, plus de 574 millions de soi-disant « cas confirmés de COVID-19 » (juillet 2022) ainsi que plus de 6,3 millions  de décès présumés liés au COVID (juillet 2022) recueillies et compilées dans le monde entier depuis le début de la prétendue pandémie n’ont aucun sens. 

     

    La falsification des certificats de décès 

    Dans la mesure où le test PCR est invalide, il s’ensuit que les estimations de “cas confirmés COVID-19” incluant la détection de variants du SARS-CoV-2 sont totalement invalides. Cela signifie à son tour que la méthodologie relative à l’établissement des décès liés au COVID-19 dans le monde est également invalide.

    Il convient de noter que dans un rapport de décembre 2020, le CDC a rapporté que 94 % des décès attribués au COVID ont des « comorbidités » (c’est-à-dire des décès dus à d’autres causes).26

    Pour six pour cent des décès, le COVID-19 était la seule cause mentionnée. Pour les décès avec des conditions ou des causes autres que la COVID-19, en moyenne, il y avait 2,6 conditions ou causes supplémentaires par décès. Le nombre de décès pour chaque affection ou cause est indiqué pour tous les décès et par groupes d’âge.

    “Ils écrivent COVID sur tous les certificats de décès”, selon Michael Lanza, directeur de pompes funèbres à Staten Island, NY.

    “Les directeurs de pompes funèbres doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, les chiffres de la peur sont” rembourrés “.” (Projet Veritas)27

    De plus, le CDC avait-il utilisé les critères de son  manuel des médecins légistes et des coroners sur l’enregistrement des décès et la révision de 2003 des rapports sur les décès fœtaux: 

    « … le nombre de décès dus au COVID-19 aurait été inférieur d’environ 90,2 % » (voir  H. Ealy, M. McEvoy et et al. , 9 août 2020)28

    Décès aux États-Unis avec au moins 1 comorbidité. (Source: CDC via IPAK PHPI)

     

    COVID-19 : La « cause sous-jacente du décès » et la clause « Plus souvent qu’autrement » du CDC 

    Si le CDC a reconnu le problème des comorbidités, il a néanmoins édicté des instructions totalement invalides en ce qui concerne les certificats de décès.

    À peine une semaine après le verrouillage historique du 11 mars 2020,  des directives spécifiques ont été introduites par le CDC  concernant les certificats de décès (et leur tabulation dans le National Vital Statistics System (NVSS)).29

    Le  COVID-19 sera-t-il la cause sous-jacente du décès?  Cette notion est fondamentale.30

    La cause sous-jacente du décès  est définie par l’OMS comme

    « la maladie ou la blessure qui a déclenché la série d’événements menant directement à la mort ».  

    Ce que le CDC a recommandé en ce qui concerne le codage statistique et la catégorisation, c’est que le COVID-19 devrait être la cause sous-jacente du décès “le plus souvent”.

    Le CDC combine ces deux critères :  “cause sous-jacente de décès” et “le plus souvent”.

    Le COVID-19 sera-t-il la cause sous-jacente du décès? 

    «La cause sous-jacente dépend de quoi et où les conditions sont signalées sur le certificat de décès. Cependant, les règles de codage et de sélection de la cause sous-jacente du décès devraient faire en sorte que le COVID-19 soit la cause sous-jacente le plus souvent. »31

    La directive ci-dessus est catégorique.

    Les concepts et les justifications du CDC

    Le certificateur n’est pas autorisé à signaler le coronavirus sans identifier une souche spécifique. Et les lignes directrices recommandent que le COVID-19 soit toujours indiqué.

     

    Capture d’écran du système national de statistiques de l’état civil

    Le certificateur ne peut pas s’écarter des critères du CDC. Le COVID-19 s’impose. Lisez attentivement les critères du CDC.32

    Il n’y a pas d’échappatoires.

    Ces directives du CDC ont contribué à catégoriser le COVID-19 comme la « cause de décès » enregistrée. Deux concepts fondamentaux prévalent partout:

  • La « cause sous-jacente du décès »
  • La clause «Plus souvent qu’autrement» qui falsifie la cause du décès 
  • Et ces critères sont imposés malgré le fait que le test RT-PCR  utilisé pour corroborer la “cause du décès” donne des résultats trompeurs comme le reconnaissent à la fois l’OMS et le CDC.

    En pratique, comme indiqué ci-dessus, le  « COVID-19 probable » ou le « COVID-19 probable » sera considéré comme la  « cause sous-jacente du décès »  sans la réalisation d’un test PCR et sans la réalisation d’une autopsie. 

    Les critères établissant la cause « sous-jacente » du décès aux États-Unis sont basés sur la clause « le plus souvent qu’autrement » (voir ci-dessus) établie au niveau national par le CDC.

    Canada: « Estimations » erronées de la cause du décès

    Au Canada, les critères diffèrent d’une province à l’autre. La catégorisation des causes de décès dans la province de Québec au Canada a fait l’objet d’une manipulation grossière.33

    Selon une directive du ministère de la Santé du Québec (avril 2020):

    « Si la cause présumée du décès est le Covid-19 (avec ou sans test positif), une autopsie doit être évitée  et le décès doit être attribué au Covid-19 comme cause probable du décès. De plus, les décès dont la cause probable est le Covid-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l’objet d’un avis du coroner. » (souligné du document original)34

    La directive ne permet pas le comptage des comorbidités. Appliquée le 16 avril 2020, cette directive a été propice à une forte augmentation immédiate du nombre de décès attribués au COVID-19:

    44,9 % du total des décès au Québec ont été attribués à la COVID-19  (semaine du 11 au 18 avril 2020) (voir tableau ci-dessous).

    Selon  La Presse de Montréal,  « avril [2020] a été le mois le plus meurtrier » . Mais La Presse a-t-elle consulté les directives du ministère de la Santé?

    Ci-dessous les causes (quotidiennes) de décès pour le Québec correspondant à la semaine du 12 au 18 avril 2020 (suivant immédiatement la directive gouvernementale) mesurées selon les critères émis par le ministère de la Santé.35  Il n’y a eu pratiquement aucun cas de COVID ou décès enregistré en mars 2020.

    Tableau ci-dessous: Causes de décès, moyenne quotidienne 

     

    Source: Droit d’auteur  La Presse 

    Ces chiffres sont-ils le résultat de la soi-disant pandémie mortelle ? Ou sont-elles le résultat de « directives » du ministère de la Santé basées sur des critères erronés?

  • cas “présumé”  lié au COVID
  • “avec ou sans test positif”
  • cause “probable”  du décès
  • “l’autopsie doit être évitée” dans le cas du COVID-19
  • « Les décès dont la cause probable est la COVID-19 sont considérés comme naturels, et ne font pas l’objet d’un avis au coroner »
  • Selon M. Paul G. Brunet  du Conseil de protection des malades (CPM):

    « … On s’est rendu compte à travers les dénonciations de certains médecins que les gens ne mouraient pas du COVID, mais de déshydratation, de malnutrition, d’abandon , déplore M. Brunet. Alors de quoi sont vraiment morts les milliers de personnes en CHSLD et en résidences privées ? (cité dans La Presse, traduit de l’anglais)

     

    Tester, tester, tester: les données invalides et le « jeu des nombres »

    Les gens ont peur. Ils sont encouragés à faire le test PCR, ce qui augmente le nombre de faux positifs. Les gouvernements sont impliqués dans l’augmentation du nombre de tests PCR en vue de gonfler les estimations des soi-disant « cas confirmés de COVID-19 ».

    De plus, à partir de fin 2021, plusieurs milliards de kits de test d’antigènes et de tests à domicile ont été distribués dans le monde. Plus d’un milliard de kits de test ont été distribués aux États-Unis.

    Au Canada, qui compte 38,5 millions d’habitants, le gouvernement fédéral a ordonné (fin 2021, début 2022) la livraison de 291 millions de kits de test à domicile de l’antigène COVID-19. Cette décision n’a pas seulement contribué à lancer la campagne de peur, elle a créé une situation de chaos social. Elle a contribué à faire grimper le nombre de soi-disant « cas confirmés ». 36 Ces tests ne sont pas systématiquement accompagnés d’un diagnostic médical du patient.

     

     

    Annexe au chapitre III

    Texte intégral de la directive OMS du 20 janvier 202137

     

    Capture d’écran de l’OMS

     

    Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2

    Type de produit: Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2

    Date: 13 janvier 2021

    Identifiant OMS: 2020/5, version 2

    Public cible: professionnels de laboratoire et utilisateurs de DIV.

    Objet de cet avis: clarifier les informations précédemment fournies par l’OMS. Cet avis remplace l’avis d’information de l’OMS pour les utilisateurs de dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (IVD) 2020/05 version 1, publié le 14 décembre 2020.

    Description du problème: L’ OMS demande aux utilisateurs de suivre les instructions d’utilisation (IFU) lors de l’interprétation des résultats des échantillons testés à l’aide de la méthodologie PCR.

    Les utilisateurs de DIV doivent lire et suivre attentivement la notice d’utilisation pour déterminer si le réglage manuel du seuil de positivité PCR est recommandé par le fabricant.

    Les directives de l’OMS sur les tests de diagnostic pour le SRAS-CoV-2 indiquent qu’une interprétation prudente des résultats positifs faibles est nécessaire ( 1 ). Le seuil de cycle (Ct) nécessaire pour détecter le virus est inversement proportionnel à la charge virale du patient. Lorsque les résultats des tests ne correspondent pas à la présentation clinique, un nouvel échantillon doit être prélevé et retesté en utilisant la même technologie NAT ou une technologie différente.

    L’OMS rappelle aux utilisateurs de DIV que la prévalence de la maladie modifie la valeur prédictive des résultats des tests ; à mesure que la prévalence de la maladie diminue, le risque de faux positifs augmente ( 2 ). Cela signifie que la probabilité qu’une personne qui a un résultat positif (SARS-CoV-2 détecté) soit réellement infectée par le SARS-CoV-2 diminue à mesure que la prévalence diminue, quelle que soit la spécificité revendiquée.

    La plupart des tests PCR sont indiqués comme une aide au diagnostic, par conséquent, les prestataires de soins de santé doivent considérer tout résultat en combinaison avec le moment de l’échantillonnage, le type d’échantillon, les spécificités du test, les observations cliniques, les antécédents du patient, le statut confirmé de tout contact et les informations épidémiologiques.

    Actions à entreprendre par les utilisateurs IVD:

  • Veuillez lire attentivement la notice d’utilisation dans son intégralité.
  • Contactez votre représentant local si un aspect de la notice d’utilisation n’est pas clair pour vous.
  • Vérifiez l’IFU pour chaque envoi entrant afin de détecter toute modification de l’IFU.
  • Fournir la valeur Ct dans le rapport au fournisseur de soins de santé demandeur.
  •  

    Remarques

    1. Tests diagnostiques pour le SARS-CoV-2. Genève : Organisation mondiale de la Santé ; 2020, numéro de référence OMS WHO/2019-nCoV/laboratoire/2020.6.

    2. Altman DG, Bland JM. Tests diagnostiques 2 : Valeurs prédictives. BMJ. 9 juillet 1994;309(6947):102. doi : 10.1136/bmj.309.6947.102.

    Notes 

    1 OMS, 8 mars 2020. Déclaration aux médias : Connaître les risques de COVID-19. https://www.who.int/indonesia/news/detail/08-03-2020-knowing-the-risk-for-covid-19

    2 CDC, sd Similitudes et différences entre la grippe et le COVID-19. https://www.cdc.gov/flu/symptoms/flu-vs-covid19.htm#table

    3 Prof Michel Chossudovsky, 5 avril 2020. Fake Coronavirus Data, Fear Campaign. Propagation de l’infection au COVID-19. https://www.globalresearch.ca/fake-coronavirus-data-fear-campaign-spread-of-the-covid-19-infection/5708643

    4 Anthony Fauci, Clifford Lane, et al., 26 mars 2020.  Covid-19 — Navigating the Uncharted. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMe2002387#

    5 Ronald Bailey, 11 mars 2020. Le taux de mortalité lié au COVID-19 est “dix fois pire” que la grippe saisonnière, déclare le Dr Anthony Fauci. https://reason.com/2020/03/11/covid-19-mortality-rate-ten-times-worse-than-seasonal-flu-says-dr-anthony-fauci/

    6 Idem.

    7 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper toute l’humanité. Utiliser un “test” pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

    8 CDC, 21 juillet 2021. Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV). https://www.fda.gov/media/134922/download

    9 Dr Pascal Sacre, 5 novembre 2020. Le test RT-PCR COVID-19 : comment tromper toute l’humanité. Utiliser un “test” pour verrouiller la société. https://www.globalresearch.ca/covid-19-rt-pcr-how-to-mislead-all-humanity-using-a-test-to-lock-down-society/5728483

    10  Joseph Hadaya, Max Schumm, et al., 1er avril 2020.  Testing Individuals for Coronavirus Disease 2019 (COVID-19). https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2764238 

    11 Beda M Sadler, 2 juillet 2020. Coronavirus : pourquoi tout le monde s’est trompé. Ce n’est pas un “nouveau virus”. “Le conte de fées sans immunité”. https://www.globalresearch.ca/coronavirus-why-everyone-wrong/5718049

    12 Dr Pascal Sacre, 7 août 2020. COVID-19 : Plus près de la vérité : Tests et immunité. https://www.globalresearch.ca/covid-19-closer-to-the-truth-tests-and-immunity/5720160

    13  Victor M Corman, Olfert Landt, et al., 23 janvier 2020.  Détection du nouveau coronavirus 2019 (2019-nCoV) par RT-PCR en temps réel. https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.25.3.2000045

    14 Idem.

    15 Idem.

    16 Christine Massey, 4 août 2021. L’identité du virus : les institutions sanitaires/scientifiques du monde entier “n’ont aucune trace” de l’isolement/la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    17 Chaolin Huang, Yeming Wang, et al., 24 janvier 2020. Caractéristiques cliniques des patients infectés par le nouveau coronavirus 2019 à Wuhan, en Chine. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7159299/

    18 Fan Wu, Su Zhao, et al., 3 février 2020. Un nouveau coronavirus associé à une maladie respiratoire humaine en Chine. https://www.nature.com/articles/s41586-020-2008-3

    19 Christine Massey, 4 août 2021. L’identité du virus : les institutions sanitaires/scientifiques du monde entier « n’ont aucune trace » de l’isolement/la purification du SRAS-COV-2. https://www.globalresearch.ca/foi-reveal-health-science-institutions-around-world-have-no-record-sars-cov-2-isolation-purification-anywhere-ever/5751969

    20 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

    21 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport d’examen Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020.  https://cormanandrostenreview.com/report/

    22 Idem.

    23 OMS, 11 septembre 2020. Tests diagnostiques pour le SRAS-CoV-2. https://www.who.int/publications/i/item/diagnostic-testing-for-sars-cov-2

    24 Pieter Borger, Bobby Rajesh Malhotra, et al., 27 novembre 2020. Rapport d’examen Corman-Drosten et al. Eurosurveillance 2020.  https://cormanandrostenreview.com/report/

    25 CDC, 21 juillet 2021. Alerte de laboratoire : Modifications apportées à la RT-PCR du CDC pour le test du SRAS-CoV-2. https://www.cdc.gov/csels/dls/locs/2021/07-21-2021-lab-alert-Changes_CDC_RT-PCR_SARS-CoV-2_Testing_1.html

    26 CDC, 20 janvier 2022. Conditions contribuant aux décès dus au COVID-19, par État et âge, provisoire 2020-2021. https://data.cdc.gov/NCHS/Conditions-Contributing-to-COVID-19-Deaths-by-Stat/hk9y-quqm

    27 Project Veritas, 30 avril 2020. RUPTURE : Les directeurs de pompes funèbres dans l’épicentre de la COVID-19 doutent de la légitimité des décès attribués à la pandémie, les chiffres de la peur sont « rembourrés ». https://www.projectveritas.com/news/breaking-funeral-directors-in-covid-19-epicenter-doubt-legitimacy-of-deaths/

    28 H. Ealy, M. McEvoy, et al., 24 juillet 2020. Covid-19 : Politiques douteuses, règles manipulées de collecte et de communication des données. Est-il sécuritaire pour les élèves de retourner à l’école ? https://www.globalresearch.ca/covid-fatalities-wer-90-2-lower-how-would-you-feel-about-schools-reopening/5720264

    29 Système national de statistiques de l’état civil, 24 mars 2020. Nouveau code ICD introduit pour les décès liés au COVID-19. https://www.cdc.gov/nchs/data/nvss/coronavirus/Alert-2-New-ICD-code-introduced-for-COVID-19-deaths.pdf?fbclid=IwAR2XckyC93jfKqvOue5EdPlNA8LlKKgz4vPZTU1whI4vXLSOADSjsL9XY-M

    30 Idem.

    31 Idem.

    32 Idem.

    33 Pr Michel Chossudovsky, 14 février 2021. Québec : Falsification des données de mortalité relatives au Covid-19. https://www.globalresearch.ca/quebec-falsification-of-mortality-data-pertaining-to-covid-19/5737290

    34 Voir ceci :  https://amol.ca/wp-content/uploads/2020/04/19_avril_20-AU-00603_LET_Opatrny-Codirecteurs_Orientations_ministerielle….pdf

    35 Idem.

    36 Prof. Michel Chossudovsky, 19 juillet 2022. Le plus gros mensonge de l’histoire mondiale : Il n’y a jamais eu de pandémie. La base de données est défectueuse. Les mandats Covid, y compris le vaccin, sont invalides. https://www.globalresearch.ca/biggest-lie-in-world-history-the-data-base-is-flawed-there-never-was-a-pandemic-the-covid-mandates- including-the- vaccin-sont-invalides/5772008

    37 OMS, 20 janvier 2021. Technologies de test des acides nucléiques (NAT) qui utilisent la réaction en chaîne par polymérase (PCR) pour la détection du SRAS-CoV-2. https://www.who.int/news/item/20-01-2021-who-information-notice-for-ivd-users-2020-05

     

    Chapitre IV

    Dépression économique machinée

     

    Introduction

    Économie 101.  Le confinement du 11 mars 2020 appliqué simultanément dans 190 pays a entraîné : 

    “Le  confinement de la main-d’œuvre”  doublé de

    « La paralysie du travail ».  

    L’impact prévisible: 

    La crise économique la plus grave de l’  histoire mondiale.

    Le métier d’économiste

    La profession économique qui se concentre sur le « mécanisme du marché » a négligemment ignoré cette relation causale fondamentale. 

    Le consensus parmi les économistes politiques et les spécialistes des sciences sociales néoclassiques et «progressistes» est que «V le virus», à savoir le SRAS-CoV-2, est  responsable de la chute de l’  activité économique.

    Une position similaire a été adoptée par les organisations syndicales, dont l’AFL-CIO: le confinement de la main-d’œuvre était considéré comme un moyen de « protéger » les droits du travail. 

    Lorsque les travailleurs sont confinés chez eux, empêchés de se rendre sur leur lieu de travail, “l’impact du bon sens” est évident : le confinement est propice au chaos économique et social mondial. 

    Selon  les  économistes et analystes financiers   traditionnels , la crise économique a commencé début mars 2022, coïncidant avec l’assaut de la guerre en Ukraine.

    Cette position est erronée.

    La crise économique et sociale actuelle qui affecte l’humanité dans le monde entier a ses racines en janvier 2020 suite aux réunions du WEF à Davos et au lancement d’une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) par l’OMS (30 janvier 2020). 

    Phases et conséquences distinctes

    Il existe plusieurs phases distinctes dans la déstabilisation artificielle de l’économie mondiale qui sont examinées dans ce chapitre:

  • Fin janvier 2020: l’administration Trump a annoncé (31 janvier 2020) que les États-Unis refuseraient l’entrée aux  ressortissants étrangers « qui ont voyagé en Chine au cours des 14 derniers jours ».1  La décision de Trump a immédiatement déclenché une crise des transports aériens et des transports qui dure toujours. Le commerce sino-américain ainsi que l’industrie du tourisme ont été perturbés.
  • 20 février 2020: L’avertissement du directeur général de l’OMS, le Dr Tedros, selon lequel une pandémie était imminente, a déclenché le krach financier le plus grave depuis 1929.
  • Le  confinement du 11 mars 2020 a été propice à la « fermeture » d’environ 193 économies nationales, avec des conséquences économiques et sociales dévastatrices.
  • Novembre-décembre 2020: Un confinement partiel ainsi que le lancement du vaccin COVID-19
  • Novembre 2021-janvier 2022: La variante Omicron a été utilisée pour justifier un confinement partiel, le lancement du passeport vaccinal, l’application de mesures restrictives à l’encontre des non-vaccinés.
  • Avril-juillet 2022: L’application d’un mandat de confinement dans le cadre du mandat COVID de tolérance zéro de la Chine à Shanghai et dans les principales zones urbaines de Chine.
  •  

    La perturbation du commerce américano-chinois 

    La décision de Trump le 31 janvier 2020 a été prise immédiatement après l’annonce de la décision du directeur général de l’OMS de lancer une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) (30 janvier 2020). À bien des égards, il s’agissait d’un acte de “guerre économique” contre la Chine.

    Et puis, à la suite de la décision de Trump le 31 janvier 2020 de réduire les voyages aériens et les transports vers la Chine, une campagne a été lancée dans les pays occidentaux contre la Chine ainsi que contre les Chinois de souche. The Economist a rapporté  que “le coronavirus propage le racisme contre et parmi les Chinois de souche”.2

    “La communauté chinoise de Grande-Bretagne est confrontée au racisme à cause de l’épidémie de coronavirus.”

    Selon le  South China Morning Post (Hong Kong): « Les communautés chinoises à l’étranger sont de plus en plus confrontées à des abus racistes et à la discrimination au milieu de l’épidémie de coronavirus. Certains Chinois de souche vivant au Royaume-Uni disent avoir connu une hostilité croissante à cause du virus mortel originaire de Chine. »3

     

    Commerce américano-chinois. La dépendance de l’Amérique au “Made in China”

    Les effets sur les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine au début de la crise du coronavirus ont été dévastateurs : les importations américaines de matières premières en provenance de Chine ont diminué de 28,3 % au cours des trois premiers mois de la crise du coronavirus.

    Suite au confinement du 11 mars 2020 et à la fermeture (partielle) de l’activité économique dans le monde, la baisse des  importations américaines en provenance de Chine en mars 2020 a été de l’ordre de 36,5 % (par rapport à mars 2019).4  De plus, à la suite de la profonde crise financière qui a débuté en février 2020, la valeur des projets d’investissements directs chinois (annoncés) aux États-Unis avait chuté d’environ 90 % ( Financial Times ).5

    Alors que les États-Unis ont une économie de haute technologie avancée et diversifiée (à la fois dans la production civile et militaire), leur base manufacturière est faible. L’Amérique est une économie axée sur les importations (résultant de la délocalisation) fortement dépendante des importations de matières premières en provenance de la République populaire de Chine.

    De plus, malgré la domination financière de l’Amérique et les pouvoirs du dollar, il existe de graves défaillances dans la structure de «l’économie réelle» américaine qui ont été exacerbées par la crise corona.

    Des facteurs politiques et géopolitiques ont également joué un rôle clé, notamment la campagne anti-chinoise lancée en février 2020 ainsi que les menaces de Washington, affirmant que la Chine était responsable de la “propagation du virus”.

    Alors que l’économie américaine est entrée dans une crise profonde à partir du krach financier de février 2020 et du confinement de mars 2020, l’économie nationale chinoise s’est redressée. Les exportations chinoises ont considérablement augmenté au cours de l’année 2021.

    Les relations commerciales bilatérales entre les États-Unis et la Chine sont néanmoins menacées, marquées par une réduction significative des importations chinoises en provenance des États-Unis. Alors que les exportations de la Chine vers les États-Unis ont augmenté en 2021, l’excédent commercial mensuel de la Chine avec les États-Unis a augmenté de 31,1 % (Time, 14 janvier 2022).6

    En avril 2022, il y a eu un revirement spectaculaire de l’économie chinoise, marqué par l’adoption d’un  mandat de tolérance zéro COVID-19 (avec des millions de personnes confinées chez elles) conduisant à une fermeture partielle du secteur financier de Shanghai couplée à une paralysie du commerce des matières premières par le plus grand port du monde (voir analyse ci-dessous).

     

    Le krach financier de Corona de février 2020

    La fraude commerciale et financière spéculative a joué un rôle clé. Jeudi après-midi 20 février, à Genève (heure CET),  le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus,  a tenu une conférence de presse. Je suis “préoccupé”, a-t-il dit, “que la chance de contenir l’épidémie de coronavirus” se “ferme”…

    “Je crois que la fenêtre d’opportunité est toujours là, mais que la fenêtre se rétrécit.”7

    Ces déclarations « shock and awe » ont contribué à déclencher la panique, alors même que le nombre de cas confirmés hors de Chine était excessivement faible: 1 076 cas  pour une population de 6,4 milliards (hors Diamond Princess, il y avait 452 cas dits « confirmés »). » dans le monde entier) (voir chapitre II).

    La déclaration du Dr Tedros (basée sur des concepts et des statistiques erronés) a préparé le terrain pour l’effondrement financier de février déclenché par des informations privilégiées, des connaissances préalables, des échanges de produits dérivés, des ventes à découvert et une multitude d’opérations de fonds spéculatifs.

    Le COVID-19 a été étroitement identifié comme le catalyseur du krach financier.

    Qui était derrière ce catalyseur?

    Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers?

    Le petit nombre de « cas confirmés de COVID-19 » en dehors de la Chine (1 076) n’indique en aucun cas une épidémie mondiale en cours. Mais cela n’a pas empêché les marchés de s’effondrer.

    Les marchés avaient été manipulés. Quiconque aurait eu connaissance à l’avance («information privilégiée») de la déclaration du directeur général de l’OMS du 20 février 2020 aurait récolté des gains monétaires importants.

    Y a-t-il eu un conflit d’intérêts (tel que défini par l’OMS )?8  L’OMS est en partie financée par la Fondation Gates. Bill Gates a “60% de ses actifs investis dans des actions [y compris des actions et des fonds indiciels]”, selon un  rapport CNBC de septembre 2019.9

    Le krach boursier déclenché le 20 février, appelé krach du coronavirus 2020 (20 février-7 avril 2020), a été classé comme suit:

    “la chute la plus rapide des marchés boursiers mondiaux de l’histoire financière et le krach le plus dévastateur depuis le krach de Wall Street en 1929.”

    La cause du krach financier était (selon les “analystes”) V le virus, à savoir la “propagation massive” de l’épidémie hors de Chine. Mais c’était un pur mensonge. Il n’y a eu que  1 076 cas dans le monde  pour une population de 6,4 milliards hors de Chine (voir chapitre III). La désinformation des médias a joué un rôle clé dans le lancement de la campagne de peur.

     

    Délit d’initié et fraude financière

    La possibilité de fraude financière et de « délit d’initié » (qui est illégal) a été écartée avec désinvolture par les analystes financiers et les médias.

    Sans la main humaine, il n’y a pas de relation causale entre un virus microscopique et la gamme complexe de variables financières. 

    La campagne de peur du «virus tueur» associée aux «avertissements» opportuns du Dr Tedros sur la nécessité de mettre en œuvre une pandémie mondiale a servi de manière indélébile les intérêts des spéculateurs institutionnels et des fonds spéculatifs de Wall Street. Le krach financier a entraîné un changement majeur dans la répartition de la richesse monétaire (voir analyse au chapitre V).

    Dans la semaine qui a suivi l’annonce de l’OMS des 20 et 21 février, le Dow Jones s’est effondré de 12 %  (CNBC, 28 février 2020).10  Selon les analystes,  le plongeon du DJIA a été le résultat de la propagation mondiale du virus. Une déclaration absurde en contradiction avec le (petit) nombre d’estimations positives COVID de l’OMS (1 076 hors de Chine), dont la plupart étaient basées sur le test PCR défaillant.

    Le lundi 24 février, lors de la réouverture des marchés boursiers, il y a eu une chute sans précédent du Dow Jones attribuable aux “dangers imminents” que “le COVID propageait dans le monde entier créant des incertitudes sur les marchés financiers”.  

    “Les stocks ont fortement chuté lundi (24 février)  alors que le nombre de cas de coronavirus en dehors de la Chine a augmenté , alimentant les craintes d’un ralentissement économique mondial prolongé dû à la propagation du virus. Le Dow Jones Industrial Average a clôturé en baisse de 1 031,61 points, soit 3,56 %, à 27 960,80. (CNBC) (nous soulignons)

     

    Dow Jones Industrial Average Décembre 2019 – Mars 2020 (Source: Bloomberg Data)

     

    Toujours le 24 février, Trump a demandé une aide d’urgence de 1,25 milliard de dollars.

     

    Capture d’écran d’ Al Jazeera

     

    Selon la BBC,  les marchés boursiers mondiaux ont connu de fortes chutes  “en raison des inquiétudes concernant l’impact économique du virus”, suggérant que le virus était “la main invisible” responsable du déclin des marchés financiers.

    Le COVID-19 a été étroitement identifié comme le catalyseur du krach financier.

    Qui était derrière la campagne de peur qui a contribué à déclencher le chaos et l’incertitude sur les marchés financiers couplés à des faillites et une redistribution massive de la richesse monétaire?

     

    11 mars 2020: La pandémie de COVID-19, le confinement, la fermeture de 190  économies nationales

    Le 11 mars 2020, l’OMS a officiellement déclaré une pandémie mondiale au moment où le nombre de cas confirmés hors de Chine (6,4 milliards d’habitants) était de l’ordre de  44 279 et 1 440 décès (chiffres enregistrés pour le 11 mars par l’OMS le 12, 2020).11

    La «science» derrière cette décision de verrouillage mondial était basée sur «un modèle mathématique»  du Dr Neil Ferguson de l’Imperial College de Londres, comme moyen d’éviter les 600 000 décès «prévus» au Royaume-Uni.

    Le « modèle » de Ferguson (qui frôle le ridicule) a été utilisé par l’establishment financier comme justification pour déclencher le chaos économique et social dans le monde entier. Les efforts de Ferguson ont été généreusement financés par la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Immédiatement après l’annonce de l’OMS du 11 mars 2020, la campagne de peur est passée à la vitesse supérieure. Comme dans le cas du crash des 20 et 21 février 2020, la déclaration du 11 mars 2020 du directeur général de l’OMS avait planté le décor.

    Les marchés boursiers se sont effondrés dans le monde entier. Le lendemain matin, le Dow Jones (DJIA) a chuté de 9,99 % (une baisse de  2 352,60  pour clôturer à 21 200,62). Le jeudi noir 12 mars 2020 a été « la pire journée du Dow Jones » depuis 1987.12  La fraude financière a été le déclencheur. Un transfert massif de richesse financière avait eu lieu en faveur des milliardaires américains (voir chapitre V).

    Des consignes de confinement « Stay at Home » ont été transmises à 193 États membres des Nations unies. Les politiciens sont les instruments de puissants intérêts financiers. Cette décision de grande envergure était-elle justifiée comme moyen de lutte contre le virus?

    La décision était basée sur un modèle de verrouillage défectueux conçu par l’Imperial College de Londres.

    Le «confinement de la main-d’œuvre»  couplé à la paralysie du «lieu de travail»  (activités productives, commerciales, etc.) conduit indélébilement à une profonde dépression économique mondiale.

    Sans précédent dans l’histoire, appliqués presque simultanément dans un grand nombre de pays, des pans entiers de l’économie mondiale ont été déstabilisés. Les petites et moyennes entreprises ont été poussées à la faillite. Le chômage et la pauvreté sont endémiques.

    Dans plusieurs pays en développement, des famines ont éclaté (voir analyse ci-dessous). Les impacts sociaux de ces mesures sont dévastateurs. Les impacts sanitaires (mortalité et morbidité) dont la déstabilisation du système national de santé (dans de nombreux pays) dépassent de loin ceux attribués au COVID-19.

     

    Guerre économique

    Les instructions sont venues d’en haut, de Wall Street, du Forum économique mondial et des fondations milliardaires. Ce projet diabolique est décrit avec désinvolture par les grands médias comme une entreprise « humanitaire » de santé publique. La « communauté internationale » a une « responsabilité de protéger » (R2P). Un « partenariat public-privé » non élu sous les auspices du Forum économique mondial (WEF) est venu à la rescousse des 7,9 milliards d’habitants de la planète Terre. La fermeture de l’économie mondiale a été présentée comme un moyen de « tuer le virus ».

    Cela semble absurde. La fermeture de l’économie réelle de la planète Terre n’est pas la “solution” mais plutôt la “cause” d’un processus de déstabilisation et d’appauvrissement mondial, qui à son tour a un impact sur les schémas de morbidité et de mortalité. A cet égard, ce qu’il faut aborder, c’est la relation causale entre les variables économiques (par exemple le pouvoir d’achat, le chômage) et l’état de santé de la population.

    L’économie nationale associée aux institutions politiques, sociales et culturelles est à la base de la « reproduction de la vie réelle » : revenus, emploi, production, commerce, infrastructures et services sociaux.

    Déstabiliser l’économie de la planète Terre ne peut constituer une « solution » pour lutter contre le virus. Mais c’était la « solution » imposée à laquelle ils voulaient nous faire croire. Et c’est ce qu’ils font.

    Le verrouillage et le processus de faillite machinée

    Il existe une relation importante entre « l’économie réelle » et « Big Money », à savoir l’establishment financier.

    Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse, par lequel l’establishment financier (c’est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est appelé à s’approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que les actifs de l’État.

    L’« économie réelle » constitue « le paysage économique » de l’activité économique réelle : actifs productifs, agriculture, industrie, biens et services, commerce, investissement, emploi ainsi que les infrastructures sociales et culturelles, y compris les écoles, les hôpitaux, les universités, les musées, etc. L’économie réelle aux niveaux mondial et national est ciblée par le confinement et la fermeture de l’activité économique.

    Les consignes de confinement transmises aux gouvernements nationaux ont été propices à la déstabilisation du « paysage économique national » de nombreux pays, constitué d’  une structure économique et sociale complexe.

    Le confinement “rester à la maison” empêche les gens d’aller travailler. Du jour au lendemain, cela crée un chômage de masse (mondial). À son tour, le confinement s’accompagne de la fermeture de secteurs entiers de l’économie nationale.

    Le confinement contribue immédiatement au  désengagement des ressources humaines (travail) qui à son tour immobilise l’activité productive.

    Les canaux d’ approvisionnement et de distribution sont gelés, ce qui conduit éventuellement à des pénuries potentielles dans la disponibilité des produits de base. À leur tour, plusieurs centaines de millions de travailleurs dans le monde perdent leur emploi et leurs revenus.

    Alors que les gouvernements nationaux ont mis en place divers « filets de sécurité sociale » pour les chômeurs, le paiement des salaires et traitements par l’employeur est perturbé, ce qui entraîne à son tour un effondrement mondial dramatique du pouvoir d’achat.

    C’est une crise des paiements. Les salaires et traitements ne sont pas payés. Les ménages pauvres sont incapables d’acheter de la nourriture, de payer leur loyer ou leur hypothèque mensuelle. Les dettes personnelles et des ménages (y compris les dettes de cartes de crédit) montent en flèche. C’est un processus cumulatif.

    Cette mondialisation de la pauvreté entraîne une baisse de la demande des consommateurs qui se répercute ensuite sur le système productif, entraînant une nouvelle série de faillites. Inévitablement, la structure du commerce international des produits de base est également affectée.

     

    Endettement global

    Les institutions financières de Global Money sont les « créanciers » de l’économie réelle qui est en crise. La fermeture de l’économie mondiale à partir de mars 2020 a déclenché un processus d’endettement mondial. Sans précédent dans l’histoire mondiale, une aubaine de plusieurs billions de dettes libellées en dollars frappe simultanément les économies nationales de plus de 190 pays.

    Les créanciers chercheront également à acquérir la propriété et/ou le contrôle de la « richesse publique », y compris les actifs sociaux et économiques de l’État, par le biais d’un projet d’endettement massif sous la surveillance des institutions créancières, notamment le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement, etc.

    Dans le cadre de la soi-disant «nouvelle normalité»,  la grande réinitialisation proposée par le Forum économique mondial (WEF), les créanciers (y compris les milliardaires) ont l’intention de racheter des secteurs importants de l’économie réelle ainsi que de reprendre des entités en faillite (voir Chapitre XIII).13

     

    Crise de l’économie mondiale. La preuve

    Dans les sections ci-dessous, nous passons brièvement en revue les impacts dramatiques de la fermeture de l’économie mondiale en nous concentrant sur les faillites, la pauvreté mondiale, le chômage, l’apparition de famines ainsi que l’effondrement du système éducatif.

    La plupart des chiffres cités ci-dessous proviennent de l’ONU, des gouvernements et de sources connexes, qui ont tendance à sous-estimer la gravité de cette crise mondiale en cours, qui détruit littéralement la vie des gens.

    L’endettement dans tous les secteurs de l’activité économique dans le monde en est le moteur.

    Ce qui est présenté ci-dessous n’est que la pointe de l’iceberg.

     

    Faillites

    La vague de faillites déclenchée par la fermeture de l’économie mondiale touche aussi bien les petites et moyennes entreprises (PME) que les grands groupes. Les preuves confirment que les petites et moyennes entreprises sont littéralement anéanties.

    Selon une enquête de 2020 du Centre du commerce international, citée par l’OCDE, portant sur les PME de 132 pays:

    deux tiers des micro et petites entreprises déclarent que la crise a fortement affecté leurs activités commerciales, et un cinquième indiquent le risque de fermer définitivement dans les trois mois. Sur la base de plusieurs enquêtes dans divers pays, McKinsey (2020) indique qu’entre 25 % et 36 % des petites entreprises pourraient fermer définitivement à cause de la perturbation des quatre premiers mois de la pandémie. ( Rapport de l’ OCDE , italiques ajoutés)14

    Selon Bloomberg:

    « Plus de la moitié des petites et moyennes entreprises européennes déclarent qu’elles risquent la faillite l’année prochaine si les revenus ne reprennent pas, ce qui souligne l’ampleur des dommages causés par la crise du Covid-19.

    Une entreprise sur cinq en Italie et en France prévoit de déposer une demande d’insolvabilité dans les six mois, selon une enquête McKinsey & Co. réalisée en août auprès de plus de 2 200 PME dans les cinq plus grandes économies européennes.15

    Les enquêtes ont tendance à sous-estimer l’ampleur de cette catastrophe en cours. Les chiffres sont beaucoup plus importants que ce qui est rapporté.

    Aux États-Unis, le processus de faillite est en cours. Selon un groupe d’universitaires dans une lettre au Congrès:

    «Nous prévoyons qu’une fraction importante des petites entreprises viables seront contraintes de liquider, entraînant des pertes économiques élevées et irréversibles. « Les travailleurs perdront leur emploi même dans des entreprises par ailleurs viables. …

    Une série de valeurs par défaut semble presque inévitable. À la fin du premier trimestre de cette année, les entreprises américaines avaient accumulé près de 10 500 milliards de dollars de dettes – de loin le plus depuis que la Réserve fédérale de Saint-Louis a commencé à suivre ce chiffre à la fin de la Seconde Guerre mondiale. “Une explosion de la dette des entreprises”, a déclaré M. Altman. (NYT, 16 juin 2020)16

    En ce qui concerne les petites entreprises aux États-Unis :

    près de 90 % des petites entreprises ont subi un impact négatif fort (51 %) ou modéré (38 %) de la pandémie ; 45 % des entreprises ont connu des perturbations dans les chaînes d’approvisionnement ; 25 % des entreprises ont moins de 1 à 2 mois de réserves de trésorerie.“ (OCDE)17

    Les résultats d’une enquête auprès de plus de 5 800 petites entreprises aux États-Unis:

    … montre que 43% des commerces répondants sont déjà temporairement fermés. En moyenne, les entreprises ont réduit leurs effectifs de 40 %. Les trois quarts des répondants indiquent qu’ils ont deux mois ou moins en espèces en réserve. … (OCDE)

    Dans une enquête de 2020,18

     « La moitié de tous les propriétaires de petites entreprises américaines dans tout le pays pensent qu’elles pourraient bientôt être contraintes de fermer définitivement. Même pendant la Grande Dépression des années 1930, nous n’avons rien vu de tel ».19

    Il convient de noter que depuis le verrouillage de mars 2020 (aux États-Unis et au Canada), les petites et moyennes entreprises ainsi que les grandes entreprises ont reçu de nombreux dons et prêts dans le cadre des prêts dits d’urgence, ce qui a contribué à retarder le dépôt de bilan effectif (aux États-Unis, voir Chapitre VII et Chapitre XI). Dans le monde entier, le dépôt de bilan a été commodément reporté à la suite de ce que la Banque mondiale a décrit comme “des milliards de dollars de soutien financier des gouvernements” qui sont généreusement financés par les créanciers de Big Money.

     

     

    Chômage mondial

    Une contraction mondiale massive de l’emploi est en cours. Dans un rapport d’août 2020, l’ Organisation internationale du travail (OIT) confirme que:

    La crise du COVID-19 a gravement perturbé les économies et les marchés du travail dans toutes les régions du monde, avec des pertes estimées d’heures de travail équivalant à près de 400 millions d’emplois à temps plein au deuxième trimestre 2020 , dont la plupart dans les pays émergents et en développement…( OIT, 2020a). …

    Parmi les plus vulnérables figurent les 1,6 milliard de travailleurs de l’économie informelle, qui représentent la moitié de la main-d’œuvre mondiale, qui travaillent dans des secteurs connaissant d’importantes pertes d’emplois ou qui ont vu leurs revenus gravement affectés par les confinements.

    La crise du COVID‐19 affecte de manière disproportionnée 1,25 milliard de travailleurs occupant des emplois à risque, en particulier dans les secteurs les plus durement touchés tels que le commerce de détail, l’hébergement et la restauration, et l’industrie manufacturière (OIT, 2020b). La plupart de ces travailleurs sont des travailleurs indépendants, occupent des emplois à faible revenu dans le secteur informel… Les jeunes, par exemple, subissent de multiples chocs, notamment une interruption de l’éducation et de la formation, de l’emploi et des revenus, en plus de plus grandes difficultés à trouver un emploi.20

    L’OIT n’explique en aucune manière les causes politiques du chômage de masse, résultant d’actions prises par les gouvernements nationaux, prétendument en vue de résoudre la pandémie de COVID. De plus, l’OIT a tendance à sous-estimer à la fois les niveaux et l’augmentation spectaculaire du chômage.
     

    Le chômage mondial devrait augmenter en 2022-23

    La pandémie est présentée comme la cause du chômage. Selon l’ OIT:

    Le chômage mondial devrait rester au-dessus des niveaux d’avant la COVID-19 jusqu’en 2023 au moins. Le niveau de 2022 est estimé à 207 millions, contre 186 millions en 2019.21

    L’OIT reconnaît que l’impact global sur l’emploi n’est pas révélé par les projections ci-dessus du chômage mondial, « car de nombreuses personnes ont quitté la population active ».  

    Ce qui est en jeu, c’est que de larges secteurs de la main-d’œuvre sont victimes de faillites ainsi que de mandats politiques discriminatoires qui les ont marginalisés du marché du travail.

    Les gouvernements nationaux restent sous le contrôle des créanciers mondiaux. Ce qui est envisagé pour l’ère post-COVID est la mise en œuvre de mesures d’austérité massives, y compris l’annulation des avantages sociaux et des filets de sécurité sociale.

     

    Chômage aux États-Unis

    Aux États-Unis, « plus de 30 millions de personnes, soit plus de 15 % de la population active, ont demandé des allocations de chômage… » dans le sillage immédiat du confinement de mars 2020. (SMC, 6 mai 2020)22

    Annoncé début décembre 2020, « Plus de 10 millions d’ Américains devraient perdre leurs allocations de chômage le lendemain de Noël [2020] à moins que le Congrès n’agisse pour étendre les principaux programmes liés à la pandémie – une perspective qui, pour l’instant, semble au mieux incertaine. (Nouvelles Américaines Et Rapport Mondial)23

    Le bord de la falaise se profile alors que les cas de coronavirus augmentent dans tout le pays et que les demandes d’allocations de chômage augmentent avec les États et les localités réimposant les restrictions liées aux virus. La déchéance devrait également se produire à mesure que les protections pour les locataires, les emprunteurs étudiants et les propriétaires expirent – ​​une confluence dévastatrice potentielle d’événements à la fois pour les individus, dont les économies ont été ravagées par la pandémie, et pour l’économie dans son ensemble, qui se fraye progressivement un chemin de retour de la récession induite par le coronavirus.

    Lorsque les programmes expireront fin décembre [2020], environ 12 millions de personnes pourraient perdre des allocations de chômage, selon la Century Foundation. (Nouvelles Américaines Et Rapport Mondial)24
     
    Au cours  de l’ effondrement économique le plus grave de Main Street de l’histoire des États-Unis – avec plus d’un quart des Américains en âge de travailler sans emploi – une calamité supplémentaire se profile:

    Selon les estimations du Census Bureau, 30 à 40 millions d’Américains risquent d’être expulsés en 2021-22 faute de revenus pour payer le loyer ou le service des hypothèques.

    Sans aide fédérale ou moratoire prolongé sur les loyers, une calamité aux proportions bibliques pourrait se produire dans les mois à venir. (Stephen Lendman)25

     

    Chômage dans l’Union européenne (UE)

    ” Le chômage dans l’ensemble de l’Union européenne devrait atteindre 9 % en 2020, à la suite de la pandémie de coronavirus et des blocages ultérieurs imposés par les gouvernements nationaux”.26

    Selon les chiffres officiels de l’UE:

    La Grèce, l’Espagne et le Portugal … ont de nouveau connu de fortes hausses du chômage des jeunes depuis le début de la pandémie. La Grèce a connu une augmentation de 31,7 % en mars [2020] à 39,3 % en juin [2020], tandis que l’Espagne et le Portugal ont connu des augmentations similaires, de 33,9 % à 41,7 % et de 20,6 % à 27,4 %, respectivement.27

     

    Chômage en Amérique latine

    En Amérique latine, le taux de chômage moyen était estimé à 8,1 % fin 2019. L’OIT affirme  qu’il pourrait augmenter de 4 à 5 points de pourcentage pour atteindre 41 millions de chômeurs.28

    En chiffres absolus, ces taux impliquent que le nombre de personnes qui recherchent un emploi mais ne sont pas embauchées est passé de 26 millions avant la pandémie à 41 millions en 2020, comme l’ont annoncé les experts de l’OIT.

    Ces estimations de l’OIT et de la Banque mondiale sont trompeuses. Selon la Banque interaméricaine de développement (BID), l’augmentation du chômage pour la région latino-américaine a été de l’ordre de 24 millions en 2020, avec des pertes d’emplois en Colombie de l’ordre de 3,6 millions, au Brésil de 7,0 millions et au Mexique de 7,0 millions.29

    Même ces chiffres tendent à sous-estimer l’augmentation spectaculaire du chômage. Et la situation a évolué en 2021-22, suite à des confinements partiels qui ont déclenché une nouvelle vague de faillites.

    Selon une enquête menée par l’Instituto Nacional de Estadística y Geografía (INEGI), l’augmentation du  chômage au Mexique était de l’ordre de 12,5 millions  en avril 2020, soit dans le mois qui a suivi le confinement du 11 mars 2020 et la fermeture du économie.30

     

    Le déclenchement des famines

    La pauvreté et la sous-alimentation chronique sont des conditions préexistantes.

    Premièrement, il existe un processus historique à long terme de réforme des politiques macroéconomiques et de restructuration économique mondiale qui a contribué à la baisse du niveau de vie dans le monde entier, tant dans les pays en développement que dans les pays développés.

    Deuxièmement, ces conditions historiques préexistantes de pauvreté de masse ont été exacerbées et aggravées par l’imposition du confinement lié à la COVID.

    Avec de vastes secteurs de la population mondiale déjà bien en dessous du seuil de pauvreté avant le confinement de mars 2020 lié au COVID-19, les récentes hausses des prix des denrées alimentaires de base sont dévastatrices.

    Selon le Programme alimentaire mondial (PAM), “690 millions de personnes n’ont pas assez à manger tandis que 130 millions de personnes supplémentaires risquent d’être poussées au bord de la famine”. (déclaration de novembre 2020)

    Ces chiffres sont discutables. La FAO et le PAM n’ont pas réussi à aborder le rôle central du verrouillage et de la fermeture des économies nationales en tant que «mécanisme de choc» qui déclenche simultanément une pauvreté de masse associée à la déstabilisation de la production agricole dans les pays en développement et développés, dans toutes les grandes régions. du monde.

    La causalité sous-jacente n’est tout simplement pas abordée. L’analyse du climat et des conflits prime:

    « Nous voyons une catastrophe se dérouler sous nos yeux. La famine – provoquée par les conflits et alimentée par les chocs climatiques et la pandémie de la faim liée au COVID-19 – frappe à la porte de millions de familles. (David Beasley, directeur exécutif du PAM)

     

    Le rapport de la FAO

    Selon la FAO, des famines ont éclaté dans au moins 25 pays en développement. C’est une étude incomplète : la plupart de l’Asie et de l’Amérique latine, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Amérique du Nord ne sont pas inclus (voir la carte ci-dessous):

    « L’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et le Programme alimentaire mondial (PAM) ont identifié 27 pays qui sont en première ligne des crises alimentaires imminentes provoquées par le COVID-19, car les effets d’entraînement de la pandémie aggravent les facteurs préexistants de la faim.

    Aucune région du monde n’est à l’abri, de l’Afghanistan et du Bangladesh en Asie, à Haïti, au Venezuela et à l’Amérique centrale, en passant par l’Irak, le Liban, le Soudan et la Syrie au Moyen-Orient, le Burkina Faso, le Cameroun, le Liberia, le Mali, le Niger, le Nigeria, le Mozambique, la Sierra Leone. et le Zimbabwe en Afrique.

    L’ analyse conjointe de la FAO et du PAM avertit que ces “pays du hotspot” courent un risque élevé – et dans certains cas connaissent déjà – des détériorations importantes de la sécurité alimentaire dans les mois à venir, y compris un nombre croissant de personnes poussées dans une famine aiguë.

    Source: FAO, avril 2020

    La pandémie de COVID-19 a des impacts indirects potentiellement considérables et multiformes sur les sociétés et les économies, qui pourraient durer longtemps après la fin de l’urgence sanitaire. Celles-ci pourraient aggraver les instabilités ou les crises existantes, ou en entraîner de nouvelles avec des répercussions sur la sécurité alimentaire, la nutrition et les moyens de subsistance.

    Avec plus de deux milliards de personnes, soit 62 pour cent de tous ceux qui travaillent dans le monde, employées dans l’économie informelle selon les données de l’OIT, des millions de personnes sont confrontées à un risque croissant de faim. On estime que les revenus des travailleurs informels ont diminué de 82 %, l’Afrique et l’Amérique latine faisant face à la plus forte baisse (OIT 2020). (FAO, p. 6)31

     

    Famine mondiale. Faim aiguë dans 80 pays

    Un rapport du Programme alimentaire mondial (PAM) de novembre 2021 pointe vers  la famine mondiale et la « faim aiguë dans 80 pays »: 

    La faim dans le monde continue d’augmenter à un rythme alarmant : nos dernières estimations montrent que 282,7 millions de personnes dans 80 pays connaissent des niveaux extrêmes de faim aiguë. Cela représente une augmentation d’environ 110 pour cent par rapport à 2019 (lorsque 135 millions de personnes dans 58 pays étaient classées en situation d’insécurité alimentaire aiguë).

    Cette « estimation » de 287,7 millions de cas de faim aiguë frise le ridicule et les « fausses statistiques » . La pauvreté de masse est répandue dans le monde entier. L'”estimation” est basée sur le concept suivant, qui est mis en avant par le Programme alimentaire mondial (un organe des Nations Unies) comme un critère humanitaire et de compassion:

    « un repas par jour, la base nécessaire pour survivre – coûtant 0,43 USD par personne et par jour ». (PAM, p 1)

    Demandez à Bill Gates, qui rachète activement des fermes familiales en faillite : « combien a coûté votre déjeuner »?

    Les récentes hausses des prix des denrées alimentaires contribuent dans un sens très réel à “l’élimination des pauvres” à travers les “morts de faim”. Selon les mots d’ Henry Kissinger:

    « Contrôlez le pétrole et vous contrôlez les nations; contrôlez la nourriture et vous contrôlez les gens.

    A cet égard, Kissinger avait laissé entendre, dans le cadre du « 1974 National Security Study Memorandum 200 : Implications of Worldwide Population Growth for US Security and Overseas Interests »,  que la récurrence des famines pourrait constituer un instrument de facto de contrôle de la population. Cela fait partie de l’agenda eugénique du WEF. 

     

    Famine et désespoir en Inde 

    Les impacts sociaux et économiques du confinement du 11 mars 2020 en Inde ont été dévastateurs, déclenchant une vague de famine et de désespoir. « Des millions de personnes qui ont perdu leurs revenus sont désormais confrontées à une pauvreté et à une faim accrues, dans un pays où même avant la pandémie, 50 % de tous les enfants souffraient de malnutrition ».32

    Fin novembre 2020, la plus grande grève générale de l’histoire du pays a été menée contre le gouvernement Modi avec plus de 200 millions de travailleurs et d’agriculteurs. Selon le Syndicat des enseignants de l’université et du collège de Mumbai: 

    Cette grève est contre la crise sanitaire et économique dévastatrice déclenchée par le COVID-19 et le confinement des travailleurs du pays. Cette situation a été encore aggravée par une série de législations anti-populaires sur l’agriculture et le code du travail promulgué par le gouvernement central. Parallèlement à ces mesures, la politique nationale d’éducation (NEP) imposée à la nation pendant la pandémie causera en outre un préjudice irréparable à l’équité et à l’accès à l’éducation.33

    Selon Left Voice:

    « La pandémie s’est propagée des grandes villes telles que Delhi, Mumbai et d’autres centres urbains aux zones rurales où les soins de santé publics sont rares ou inexistants. Le gouvernement Modi a géré la pandémie en donnant la priorité aux profits des grandes entreprises et en protégeant la fortune des milliardaires plutôt qu’en protégeant la vie et les moyens de subsistance des travailleurs.34

     

    « L’insécurité alimentaire » aux États-Unis 

    La sous-alimentation et la soi-disant « insécurité alimentaire » ne se limitent pas aux pays en développement.

    La terminologie n’est pas tout à fait la même. La « famine » en Amérique qui est aujourd’hui une réalité est rarement évoquée. Le confinement (confinement de la main-d’œuvre) n’est pas non plus reconnu comme un mécanisme qui a déclenché ce que l’on appelle « l’insécurité alimentaire ».

    Le Département américain de l’agriculture définit « l’insécurité alimentaire » comme « une condition économique et sociale au niveau des ménages caractérisée par un accès limité ou incertain à une alimentation adéquate ».

    La « faim » est définie comme « un état physiologique au niveau individuel qui peut résulter de l’insécurité alimentaire ». « Famine » apparaît dans le glossaire de l’USDA.

    Des estimations récentes de Feeding America suggèrent qu’un Américain sur sept représentant 45 millions de personnes en 2020, dont 15 millions d’enfants, a connu une « insécurité alimentaire »:

    Avant le début de la pandémie, le taux global d’insécurité alimentaire avait atteint son point le plus bas depuis qu’il a commencé à être mesuré dans les années 1990, mais ces améliorations ont été bouleversées par la pandémie.35

    Selon Stephen Lendman:

    “Environ un ménage américain sur quatre a connu l’insécurité alimentaire cette année [2020] – plus de 27% des ménages avec enfants.

    Une étude du Northwestern University Institute for Policy Research estime à près de 30 % le nombre de ménages en situation d’insécurité alimentaire avec enfants.  Les familles noires sont deux fois plus en situation d’insécurité alimentaire que leurs homologues blancs. Les ménages latinos sont également touchés de manière disproportionnée.36

     

    La « solution à la famine mondiale » des milliardaires? 

    Ironie du sort, le Programme alimentaire mondial (PAM) a annoncé que les philanthropes milliardaires (dont la Fondation Bill et Melinda Gates, la Fondation Rockefeller, etc.), qui se sont enrichis au cours de la crise du COVID-19, sont généreusement venus au  secours de 42 millions de personnes touchées par la famine.

    Gardez à l’esprit que ce processus d’appauvrissement mondial est la conséquence directe de l’enrichissement des milliardaires invariablement mené par le biais de la fausse science et de transactions frauduleuses (voir chapitre V).

    Selon Oxfam, « Pour chaque nouveau milliardaire créé pendant la pandémie. … des millions de personnes ont été poussées dans l’extrême pauvreté ».

    «Les milliardaires réunis à Davos ont connu une augmentation obscène de leur fortune au cours des deux dernières années. La pandémie et maintenant la forte hausse des prix des denrées alimentaires et de l’énergie ont été une aubaine pour les plus riches, tandis que des millions de personnes sont confrontées à la faim et à la pauvreté alors que le coût de la vie grimpe en flèche. (Oxfam)

     

    Éducation: les impacts sur nos enfants

    Les fondements mêmes de la société civile sont menacés. L’UNICEF estime que 1,6 milliard d’enfants et d’adolescents ont été touchés par la fermeture des écoles dans le monde.37

    « Alors que la pandémie de COVID-19 s’est propagée à travers le monde, une majorité de pays ont annoncé la fermeture temporaire d’écoles, touchant plus de 91 % des élèves dans le monde… Jamais auparavant autant d’enfants n’avaient été non scolarisés en même temps… ”

    Les collèges et les universités sont également paralysés. Les étudiants sont privés du droit à l’éducation. Si l’UNESCO confirme que plus d’un milliard d’apprenants sont concernés, elle ne propose aucune solution concrète ni critique. Le récit officiel du soi-disant « partenariat public/privé » imposé aux gouvernements nationaux a été adopté pour argent comptant.38

    Des fermetures d’écoles ont eu lieu dans 132 pays. Voir schéma ci-dessous (UNESCO, mai 2020).

     

    Capture d’écran de l’UNESCO

     

    L’examen ci-dessus des impacts économiques et sociaux met en évidence un processus complexe. De vastes secteurs de la population mondiale ont été précipités dans la pauvreté et le désespoir. Les différentes agences des Nations Unies citées ci-dessus ont tendance à effleurer la surface. Les causes sous-jacentes ne sont tout simplement pas traitées.

     

    L’économie mondiale du voyage et du tourisme

    Avant la crise du coronavirus, les voyages et le tourisme représentaient une part majeure de l’économie mondiale : environ 10 % du PIB mondial avec une main-d’œuvre estimée à plus de 320 millions d’emplois dans le monde.39

    L’industrie du voyage et du tourisme, qui comprend les compagnies aériennes, les installations aéroportuaires, les transports terrestres, les hôtels, les centres de villégiature, les restaurants, les musées, les salles de concert, les parcs et une variété de services urbains, a été précipitée dans la faillite, entraînant un chômage de masse.

    Les impacts économiques et sociaux sont dévastateurs, en particulier dans les pays qui ont une économie touristique importante (par exemple, l’Italie, la France, la Suisse, la Thaïlande, le Vietnam, le Mexique, Cuba, la République dominicaine, le Pérou et le Panama, entre autres).

    La perte estimée d’emplois dans l’industrie du tourisme est estimée à environ 100 millions dans le monde (rapport de novembre 2020, voir également le rapport du FMI).40

    Pertes d’emplois aux États-Unis

    Selon le Conseil mondial du voyage et du tourisme (WTTC), « 9,2 millions d’emplois  pourraient être perdus aux États-Unis… si les obstacles aux voyages mondiaux restent en place ». Le WTTC estime que plus de la moitié de tous les emplois soutenus par le secteur aux États-Unis en 2019 devraient être perdus. Entre 10,8 millions et 13,8 millions d’emplois dans le secteur du voyage et du tourisme “sont gravement menacés”.41

    Alors que les restrictions sur les voyages aériens couplées au verrouillage du 11 mars 2020 ont provoqué la disparition de petites compagnies aériennes régionales, au cours de la période 2020-2022, un grand nombre de transporteurs nationaux ont été précipités dans une situation de faillite de facto, y compris Aero -Mexico, Avianca et South African Airlines, entre autres. Selon un  rapport, « 43 compagnies aériennes commerciales ont fait faillite depuis janvier 2020 , … ont complètement cessé ou suspendu leurs opérations » en 2020. Il y a également eu un contrecoup sur la production d’avions civils.42

    La suspension par Trump des voyages aériens vers la Chine le 31 janvier 2020 sur la base de cinq cas positifs confirmés de COVID-19 aux États-Unis a joué un rôle clé dans la préparation du terrain pour la crise des voyages aériens et du tourisme, qui au moment de la rédaction est toujours en cours.

    Le confinement a également sapé le plus grand projet d’infrastructure de transport en Europe, à savoir le tunnel souterrain entre le Royaume-Uni et l’Europe continentale. L’Eurostar a été précipité dans une situation de faillite de facto.

    Toutes ces perturbations des voyages internationaux sont présentées à l’opinion publique comme un moyen de lutter contre le virus tueur. C’est un gros mensonge.

    Les chaînes hôtelières et les grandes compagnies aériennes en faillite seront selon toute vraisemblance « récupérées » à des prix défiant toute concurrence par les multimilliardaires.

     

    Le mandat de tolérance zéro COVID de Shanghai 2022. La déstabilisation de l’économie d’exportation chinoise ?   

    À partir de fin mars, début avril 2022, le gouvernement chinois a ordonné le  verrouillage de Shanghai, une ville portuaire de 26 millions d’habitants.

    Le confinement de la main-d’œuvre de Shanghai a été effectué dans le cadre d’un « mandat de tolérance zéro COVID » : « Au moins 38 000 travailleurs médicaux de toute la Chine ont été déployés pour aider Shanghai… dans la lutte contre la variante Omicron… » (Global Times)43

    Image: Dr George Gao Fu (par 中国新闻网, sous licence CC BY 3.0)

    Visiblement, les autorités sanitaires chinoises avaient approuvé le consensus de verrouillage de la «fausse science» de Fauci-Gates  sans sourciller. Le Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies (CCDC) est dirigé par le Dr George Gao Fu, un collègue d’Anthony Fauci, et al. Anthony Fauci est le mentor du Dr Gao Fu. 

    Le mandat COVID de tolérance zéro de la Chine  était un “copier-coller” du verrouillage du 11 mars 2020 (basé sur de la “fausse science”) parrainé par Anthony Fauci, Bill Gates, et al. sous les auspices de l’OMS (en étroite consultation avec le Forum économique mondial). Le mandat COVID de tolérance zéro de la Chine est fondé sur une campagne de peur.

    À la mi-juillet 2022, les autorités sanitaires chinoises ont annoncé que plusieurs grandes zones urbaines avaient reçu pour instruction de mettre en œuvre le mandat de tolérance zéro COVID comme moyen de lutter contre la «sous-variante hautement transmissible d’Omicron BA.5».

    La main-d’œuvre était confinée dans un grand nombre de villes industrielles, entraînant ainsi un chaos économique et social ainsi qu’un déclin dramatique de l’activité économique. Selon Reuters:

    La lignée BA.5 [sous-variante], se répandant rapidement dans de nombreux autres pays, a été détectée dans des villes telles que Xian dans la province du Shaanxi et Dalian dans la province du Liaoning, … Elle a été découverte pour la première fois en Chine le 13 mai chez un patient qui avait transporté par avion à Shanghai depuis l’Ouganda, a déclaré le Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies, sans aucune infection locale liée au cas ce mois-là.44

    Ce « patient » ougandais a-t-il passé le test PCR à son retour en Chine? Les variants et sous-variants ne peuvent en aucun cas être détectés par le test PCR (le virus SARS-CoV-2 original ne peut pas être détecté par le test PCR, voir Chapitre III).

    Un grand nombre de zones urbaines ont été fermées  dans les principales régions de Chine. Le 11 juillet 2022,  la Commission nationale chinoise de la santé a  confirmé les données suivantes pour la Chine continentale45:

  • un total de 352 nouvelles infections à COVID transmises localement  enregistrées le 10 juillet,
  • 46 nouveaux  cas symptomatiques, et
  • 306 nouveaux cas asymptomatiques.
  • 46 nouveaux cas symptomatiques sur une population de 1,45 milliard d’habitants ne justifient pas la fermeture des principales zones urbaines chinoises.

     

    Déstabilisation économique: Shanghai et l’économie mondiale 

    Les impacts de ces mesures mises en place par la Commission nationale chinoise de la santé et le CCDC chinois ont précipité les chaînes d’approvisionnement chinoises en danger.

    « COVID Zero Tolerance » a contribué à déstabiliser le secteur financier de Shanghai ainsi que son économie d’exportation dynamique. Elle a également contribué à saper les transports intérieurs et les voies d’approvisionnement en matières premières.

    Depuis la mi-avril 2022 (coïncidant avec le verrouillage de Shanghai), le yuan (CNY) a chuté brusquement par rapport au dollar américain (USD).

     

    Graphique du taux de change du Yuan Renminbi chinois en Dollar américain (Source: Xe)

     

    Le volume du commerce des matières premières entrant et sortant du port de Shanghai (et d’autres grandes villes portuaires) a diminué, ce qui a inévitablement une incidence sur la disponibilité des matières premières “Made in China” dans le monde.

     

    Produits fabriqués en Chine (par  ThiNguyen2021, sous licence CC BY-SA 4.0)

     

    « Made in China » est l’épine dorsale du commerce de détail qui soutient de manière indélébile la consommation des ménages dans pratiquement toutes les principales catégories de produits de base, des vêtements aux chaussures en passant par le matériel, l’électronique, les téléphones portables, les téléviseurs, les jouets, les bijoux, les appareils ménagers, la nourriture, etc. le consommateur américain: la liste est longue.

    Importer de Chine est une opération lucrative de plusieurs billions de dollars. C’est la source d’énormes profits et richesses aux États-Unis parce que les biens de consommation importés de l’économie chinoise à bas salaires sont souvent vendus au détail plus de dix fois leur prix d’usine.

    Le commerce mondial des matières premières aux niveaux de gros et de détail est en crise. Les impacts potentiels dans toutes les grandes régions du monde sont dévastateurs – pénuries mondiales de biens de consommation essentiels associées à des pressions inflationnistes.

    Ces développements affectent également la souveraineté de la Chine en tant qu’État-nation avec une économie affaiblie, sans parler de son initiative “la Ceinture et la Route”.

    Dans le contexte de la crise actuelle, y compris le « pivot vers l’Asie » de Washington, il existe de graves implications géopolitiques qui ont une incidence directe sur la confrontation entre la Chine et les États-Unis.

    Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky,  The Shanghai « COVID Zero Tolerance Mandate ». Dépression machinée de l’économie chinoise?

     

     L’ industrie   automobile à l’arrêt : pénurie machinée dans la production de semi-conducteurs?

    L’industrie automobile mondiale a connu une baisse de production de 15 % en 2020. La baisse en 2021-22 est importante, affectant largement la production au Japon, en Corée du Sud et en Chine.

    Cette baisse a été accentuée par une pénurie de disponibilité des semi-conducteurs:

    “Les constructeurs automobiles, qui s’appuient sur des dizaines de puces pour construire un seul véhicule, ont été particulièrement touchés, contraints d’arrêter les chaînes de production dans le monde en attendant l’approvisionnement en puces. La débâcle coûtera probablement 450 milliards de dollars à l’industrie automobile en ventes mondiales… En septembre 2021, Toyota  a été contraint de réduire la production dans 14 usines au Japon en raison d’un manque de semi-conducteurs. Certaines des réductions se poursuivront jusqu’en octobre en raison d’un manque de composants en provenance d’Asie du Sud-Est, a déclaré Toyota. (Washington Post, septembre 2021)46

    Les semi-conducteurs constituent un bien stratégique, utilisé dans une variété de secteurs dont l’électronique, les dispositifs médicaux, les réseaux électroniques et de communication, etc.

    Il y a des indications de manipulations possibles, qui ont conduit à des pénuries artificielles de semi-conducteurs affectant un certain nombre de secteurs clés de l’économie mondiale.

    Il y a des implications géopolitiques. Le plus grand producteur mondial de semi-conducteurs est la Taiwan Semiconductor Manufacturing Company (TSMC).

     

    « Perturbations de la chaîne d’approvisionnement » mondiale et  relations  avec la demande

    Les fermetures à partir du 11 mars 2020 ont déclenché un processus de  déstabilisation économique mondiale qui affecte directement les relations à la fois « de l’offre » et « de la demande ». C’est la crise économique la plus grave de l’histoire du monde qui affecte simultanément plus de 190 pays.

    « L’offre » concerne la production de biens et de services, à savoir les activités de « l’économie réelle ».

    La « demande » concerne la capacité des ménages compte tenu de leur pouvoir d’achat à acquérir des biens et services essentiels.

    Les relations entre l’offre et la demande sont menacées.

    Dans le monde entier, de vastes secteurs de l’industrie, de l’agriculture et des services urbains sont inactifs. Les politiques de confinement initiées en mars 2020 ont déclenché des faillites et du chômage, qui à leur tour ont été propices à un processus de désengagement des ressources humaines (travail) et des actifs productifs du paysage économique.

    Du côté de l’offre , une contraction massive de la production et de la disponibilité des biens et services (matières premières) se déroule. Des secteurs entiers de l’économie mondiale « ne produisent pas » , des pénuries de certains produits et services sont apparues. De leur côté, les voies de transport terrestre et maritime (par exemple le commerce de conteneurs) sont perturbées depuis mars 2020.

    Du côté de la demande , le chômage de masse et la pauvreté déclenchés par les politiques de confinement ont contribué à un effondrement sans précédent du pouvoir d’achat (des familles et des ménages dans le monde), qui à son tour a entraîné l’effondrement de la demande de biens et de services. La pauvreté est endémique, de larges pans de la population mondiale n’ont pas d’argent pour acheter de la nourriture et des biens de consommation essentiels.

    La contraction de la production (offre) couplée à l’effondrement du pouvoir d’achat (demande) est propice à une profonde dépression économique mondiale couplée à des pressions inflationnistes. 

    À son tour, l’effondrement du pouvoir d’achat résultant du chômage de masse a conduit à une crise croissante de la dette personnelle,notamment à l’incapacité de faire face aux loyers mensuels et aux paiements hypothécaires. Ce processus aboutit finalement à une confiscation des biens immobiliers.

    Aux États-Unis,  68 % de ceux qui étaient en retard de loyer  (chiffres de mai 2021) étaient devenus chômeurs à la suite du confinement.47

    Ces développements sont imputés avec désinvolture aux «retombées économiques de la pandémie» sans analyser comment les politiques de verrouillage ratées ont contribué à déclencher le chaos économique et le chômage dans le monde.

     

    La crise fiscale de l’État-nation

    Les activités du secteur public financées par l’État, notamment la santé, l’éducation, la culture, les sports et les arts, sont menacées. Pendant ce temps, aux États-Unis, l’administration Biden a favorisé une augmentation massive des dépenses militaires et liées à la sécurité ainsi que de la biotechnologie avec de généreuses aumônes à Big Pharma et au complexe militaro-industriel.

    Depuis le début de la crise du coronavirus, la dette publique pays après pays a explosé, largement précipitée par le chaos économique.

    Les entreprises en faillite ne paient plus d’impôts. Les chômeurs (sans rémunération) ne paient plus d’impôts. L’argent des contribuables ne rentre plus dans les caisses de l’État.

    L’augmentation du chômage et de la pauvreté dans le monde, associée aux faillites, a conduit à une crise budgétaire sans précédent.

    À leur tour, les revenus du gouvernement ont été redirigés vers le financement des subventions aux entreprises.

    L’appropriation privée de la richesse a précipité une crise mondiale de la dette. Pays après pays, la dette publique a explosé.

     

    Mesures d’austérité massives, insolvabilité mondiale 

    Des subventions généreuses et des filets de sécurité sociale ont été utilisés par les gouvernements nationaux comme moyen de faire respecter et d’accepter les mandats de la COVID-19 . Ces aumônes (dont les prêts à 0 %) devraient à terme être abolies et remplacées par les mesures d’austérité les plus drastiques de l’histoire mondiale.

    Une dette publique impayable de plusieurs billions de dollars se déroule dans le monde entier , associée à un processus que nous pourrions qualifier d’« insolvabilité mondiale ».

    Les créanciers de l’État sont « Big Money ». En fin de compte, ils appellent les coups.

    L’enrichissement de la classe des milliardaires a également contribué à la déstabilisation de l’État-nation (voir chapitre V).

    Ce qui se déroule également, c’est la « privatisation de l’État-nation », y compris la disparition progressive de « l’État-providence » et de ses institutions publiques (éducation, santé, culture).

     

    Notes

    1 Allison Aubrey, 31 janvier 2020. Trump déclare le coronavirus comme une urgence de santé publique et restreint les voyages depuis la Chine. https://www.npr.org/sections/health-shots/2020/01/31/801686524/trump-declares-coronavirus-a-public-health-emergency-and-restricts-travel-from-c

    2 The Economist, 17 février 2020.  Le coronavirus propage le racisme contre et parmi les Chinois de souche. https://www.economist.com/china/2020/02/17/the-coronavirus-spreads-racism-against-and-among-ethnic-chinese

    3 Wallis Wang, 13 février 2020. La communauté chinoise britannique est confrontée au racisme à cause de l’épidémie de coronavirus. https://www.scmp.com/video/world/3050436/britains-chinese-community-faces-racism-over-coronavirus-outbreak

    4 Prof Michel Chossudovsky, 5 novembre 2020. La pandémie de corona et la guerre commerciale de Trump contre la Chine : la dépendance de l’Amérique au « fabriqué en Chine ». Perturbation potentielle de l’économie américaine. https://www.globalresearch.ca/the-corona-pandemic-and-trumps-trade-war-against-china-americas-dependence-on-made-in-china-potential-disruption-of-the-us- économie/5713552

    5 Financial Times, 11 mai 2020. Le découplage économique entre les États-Unis et la Chine s’accélère au premier trimestre 2020.  https://www.ft.com/content/115fc14f-4a8a-45da-8688-c59605a5191a

    6 Joe Mcdonald, 14 janvier 2022. L’excédent commercial de la Chine a atteint un record en 2021 — avec des exportations bondissant de 30 % face à une demande pandémique. https://time.com/6139334/china-record-trade-surplus-2021/

    7 OMS, 20 février 2020. Remarques d’ouverture du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse sur le COVID-19 du 20 février 2020.  https://www.who.int/director-general/speeches/detail/who-director-general -s-remarques-liminaires-lors-de-la-briefing-media-sur-covid-19-le-20-fevrier-2020

    8 OMS, nd Déclarations d’intérêt. https://www.who.int/about/ethics/declarations-of-interest

    9 Maggie Fitzgerald, 17 septembre 2019. Plus de 60 % de la richesse de Bill Gates est investie en actions. https://www.cnbc.com/2019/09/17/bill-gates-gave-away-35-billion-this-year-but-net-worth-didnt-drop.html

    10 Fred Imbert, Maggie Fitzgerald, et al., 28 février 2020. Récapitulatif du marché boursier vendredi : Dow perd 3 500 points sur la semaine, ferme les creux, la Fed s’engage à soutenir. https://www.cnbc.com/2020/02/28/stock-market-live-updates-dow-loses-3200-points-and-counting-on-week-bond-yields-collapsing.html

    11 OMS, 12 mars 2020. Rapport de situation sur la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) – 52.  https://www.who.int/docs/default-source/coronaviruse/situation-reports/20200312-sitrep-52-covid -19.pdf

    12 Pipa Stevens, Maggie Fitzgerald, et al., 12 mars 2020. Bourse en direct jeudi : Dow tank 2 300 dans la pire journée depuis le lundi noir, marché baissier S&P 500. https://www.cnbc.com/2020/03/12/stock-market-today-live.html

    13 WEF, sd La grande réinitialisation. https://www.weforum.org/great-reset/

    14 OCDE, 15 juillet 2020.  Coronavirus (COVID-19) : Réponses politiques pour les PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/

    15 Voir ceci :  https://www.bloomberg.com/news/articles/2020-10-22/half-of-europe-s-smaller-businesses-risk-bankruptcy-within-year

    16 Voir ceci :  https://www.nytimes.com/2020/06/18/business/corporate-bankruptcy-coronavirus.html

    17 OCDE, 15 juillet 2020.  Coronavirus (COVID-19) : Réponses politiques pour les PME. https://www.oecd.org/coronavirus/policy-responses/coronavirus-covid-19-sme-policy-responses-04440101/

    18  Michael Snyder, 10 décembre 2020. 48 % des petites entreprises américaines craignent d’être bientôt contraintes de « fermer définitivement ». https://www.globalresearch.ca/48-us-small-businesses-fear-forced-shut-down-permanently-soon/5732050

    19 Chuck Casto, 25 novembre 2020. Alignable : 48 % des petites entreprises risquent de fermer au quatrième trimestre, selon un nouveau sondage. https://www.alignable.com/forum/alignable-48-of-small-businesses-risk-closing-for-good-new-poll

    20 OIT, 23 septembre 2020. La COVID-19 entraîne des pertes massives de revenus du travail dans le monde. https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_755875/lang–en/index.htm

    21 BIT, 17 janvier 2022. L’OIT dégrade les prévisions de reprise du marché du travail pour 2022.  https://www.ilo.org/global/about-the-ilo/newsroom/news/WCMS_834117/lang–en/index.htm

    22 Ned Temko, 6 mai 2020. Pas d’emplois, alors quel avenir ? La moitié de la main-d’œuvre mondiale en marge. https://www.csmonitor.com/World/2020/0506/No-jobs-so-what-future-Half-the-world-s-workforce-on-the-edge

    23 Claire Hansen, 2 décembre 2020. Quelque 12 millions de personnes perdront l’aide au chômage après Noël avec une relance encore incertaine. https://www.usnews.com/news/national-news/articles/2020-12-02/some-12-million-to-lose-unemployment-aid-after-christmas-with-stimulus-still-uncertain

    24 Idem.

    25 Stephen Lendman, 2 décembre 2020. Des millions d’Américains vulnérables à l’expulsion. https://www.globalresearch.ca/millions-americans-vulnerable-eviction/5730985

    26 Statista, janvier 2022. Taux de chômage dans certains pays européens en novembre 2021.  https://www.statista.com/statistics/1115276/unemployment-in-europe-by-country/

    27 James Poulter, 15 septembre 2020. L’Europe fait face à une crise du chômage des jeunes. https://www.vice.com/en/article/v7gknm/europe-is-face-a-youth-unemployment-crisis

    28 BIT, 1er juillet 2020. BIT : La forte hausse du chômage en Amérique latine et dans les Caraïbes laisse des millions de personnes sans revenu. https://www.ilo.org/caribbean/newsroom/WCMS_749692/lang–en/index.htm

    29 Semana, 19 août 2020. Colombie, el tercer país que más empleos perdió en América Latina. https://www.semana.com/empresas/confidencias-on-line/articulo/empleos-que-mas-se-perdieron-en-america-latina-segun-el-bid/296265/

    30 Forbes, 3 juin 2020. Desempleo en México alcanza a casi 25% de la población : Heath. https://www.forbes.com.mx/economia-desempleo-mexico-casi-25-poblacion-heath/

    31 FAO et PAM, juillet 2020. Analyse d’alerte précoce FAO-PAM des points chauds d’insécurité alimentaire aiguë. https://www.fao.org/3/cb0258en/CB0258EN.pdf

    32 Global Research News, 4 décembre 2020. Inde : la plus grande grève de l’histoire mondiale : plus de 200 millions de travailleurs et d’agriculteurs protestent contre la pauvreté et le chômage déclenchés par le confinement de Covid. https://www.globalresearch.ca/india-largest-strike-in-world-history-over-200-million-workers-and-farmers-paralyze-india/5731395

    33 Idem. 

    34 Idem.

    35 Feeding America, mars 2021. L’impact du coronavirus sur l’insécurité alimentaire en 2020 et 2021.  https://www.feedingamerica.org/sites/default/files/2021-03/National%20Projections%20Brief_3.9.2021_0.pdf

    36 Stephen Lendman, 3 octobre 2020. La crise de Covid a déclenché un chômage de masse en Amérique : plus d’un million de demandes d’assurance-chômage aux États-Unis pendant 28 semaines consécutives. https://www.globalresearch.ca/over-one-million-ui-claims-us-28-straight-weeks/5725527

    37 Jason Miks et John McIlwaine, 20 avril 2020. Maintenir l’apprentissage des enfants du monde grâce à la COVID-19. https://www.unicef.org/coronavirus/keeping-worlds-children-learning-through-covid-19

    38 UNESCO, nd Éducation : De la perturbation à la reprise. https://en.unesco.org/covid19/educationresponse

    39 Adam Behsudi, décembre 2020. Les économies dépendantes du tourisme sont parmi celles qui sont le plus touchées par la pandémie. https://www.imf.org/external/pubs/ft/fandd/2020/12/impact-of-the-pandemic-on-tourism-behsudi.htm

    40 Margaux MacDonald, Roberto Piazza, et al., 2 septembre 2020. Un guide simple pour estimer l’impact de la COVID-19 sur les activités de voyage et d’accueil. Lien PDF

    41 World Travel and Tourism Council, 11 novembre 2020. Les États-Unis devraient perdre 9,2 millions d’emplois en 2020 en raison du COVID-19 et des restrictions de voyage, selon le WTTC. https://wttc.org/Portals/0/Documents/Press%20Releases/US-looks-set-to-lose-9-million-jobs-in-2020-due-to-COVID-19-and-travel- restrictions.pdf

    42 Abigail Ng, 8 octobre 2020. Plus de 40 compagnies aériennes ont échoué jusqu’à présent cette année – et d’autres sont à venir. https://www.cnbc.com/2020/10/08/over-40-airlines-have-failed-in-2020-so-far-and-more-are-set-to-come.html

    43 Global Times, 4 avril 2022. Plus de 38 000 travailleurs médicaux déployés pour aider Shanghai dans la bataille d’Omicron, le nombre le plus élevé depuis Wuhan au début de 2020.  https://www.globaltimes.cn/page/202204/1257497.shtml

    44 Roxanne Liu et Ryan Woo, 11 juillet 2022. Mise à jour 3-Shanghai prévoit davantage de tests COVID au milieu de nouvelles bordures à travers la Chine. https://ca.news.yahoo.com/1-shanghai-braces-more-mass-040242739.html

    45 Idem.

    46 Jeanne Whalen, 23 septembre 2021. La pénurie de semi-conducteurs qui a entravé la fabrication dans le monde s’aggrave. https://www.washingtonpost.com/us-policy/2021/09/23/chip-shortage-forecast-automakers/

    47 Sarah Treuhaft, Michelle Huang, et al., 16 septembre 2021. Rent Debt in America: Stabilizing Renters Is Key to Equitable Recovery. https://nationalequityatlas.org/rent-debt-in-america

     

    Chapitre V

    L’enrichissement des super riches

    L’appropriation et la  redistribution des richesses 

     

    « V the Virus » serait responsable de la vague de faillites et de chômage. C’est un mensonge. Il n’y a pas de relation causale entre le virus et les variables économiques.

    Le processus décisionnel doit être abordé. Ce sont les puissants financiers et milliardaires qui sont derrière ce projet qui a contribué à la déstabilisation (mondiale) de l’économie réelle.

    Depuis début février 2020, les super riches ont encaissé des milliards de dollars. En l’espace de quatre mois, coïncidant avec le verrouillage du 11 mars 2020,  la richesse totale détenue par les milliardaires du monde entier est passée de 8 000 milliards de dollars à plus de 10 000 milliards de dollars.

    Il existe trois phases distinctes qui sont directement liées à la crise corona. Chacun d’entre eux est marqué par des changements majeurs dans la répartition de la richesse mondiale.

  • La crise financière déclenchée le 20 février  a été propice à une redistribution dramatique de la richesse et de la propriété des actifs financiers. La connaissance préalable, les informations privilégiées et le commerce spéculatif ont joué un rôle clé. Y avait-il une connaissance préalable et/ou des informations privilégiées de la déclaration du 20 février du Dr Tedros de l’OMS? (Voir Chapitre IV)
  • Le verrouillage et la fermeture des économies nationales de 190 États membres de l’ONU le 11 mars, qui ont déclenché des faillites d’entreprises et de PME dans le monde entier. L’événement du 11 mars a également marqué le plongeon des bourses mondiales, à partir du jeudi noir du 12 mars 2020 (voir chapitre IV).
  • La troisième étape de l’enrichissement des milliardaires concerne la mise en œuvre en 2021-2022 de “confinements partiels”, de mandats politiques et de mesures restrictives qui ont contribué à déclencher une nouvelle vague de faillites et de chaos économique.
  • La redistribution des richesses en faveur de la classe des milliardaires est confirmée par une  étude IPS  issue de la fermeture de l’économie mondiale en mars 2020.1

    Au niveau mondial, les milliardaires ont été les grands gagnants de la pandémie de COVID-19.

    Selon un rapport UBS 2020, environ 2 189 milliardaires mondiaux ont une richesse estimée à 10,2 billions de dollars.2

    Il s’agit d’une augmentation estimée à 1,5 billion de dollars pendant la pandémie de 2020 sur la base des données des milliardaires UBS et Forbes de 2019.

    Le rapport UBS pose la question: les milliardaires sont-ils des « innovateurs » ou des « perturbateurs »?

    Une fois la tempête passée, une nouvelle génération d’innovateurs milliardaires semble prête à jouer un rôle essentiel dans la réparation des dégâts. En utilisant le répertoire croissant de technologies émergentes, les innovateurs de demain numériseront, actualiseront et révolutionneront l’économie.

    Ne nous faisons pas d’illusions, ces milliardaires corrompus sont  des « appauvrisseurs ».

     

    « Armes financières de destruction massive » (FWMD)

    Bien que le rapport UBS et Forbes (cité ci-dessus) n’expliquent pas comment la pandémie de COVID-19 a contribué à cette redistribution massive de la richesse, ils confirment néanmoins que “la richesse collective des milliardaires a augmenté à son rythme le plus rapide sur n’importe quelle période au cours de la dernière décennie”.3

    En fait, il s’agit de la plus grande redistribution de la richesse mondiale dans l’histoire du monde. Elle repose sur un processus systématique d’appauvrissement mondial. C’est un acte de guerre économique.

    Les milliardaires n’étaient pas seulement les bénéficiaires de généreux « plans de relance gouvernementaux » (c’est-à-dire des subventions), l’essentiel de leurs gains financiers depuis le début de la campagne de peur COVID au début de février 2020 était le résultat de délits d’initiés, de commerce dérivé et de la manipulation de à la fois les marchés financiers et les marchés des matières premières.

    Warren Buffett identifie à juste titre ces instruments spéculatifs (soutenus par des algorithmes sophistiqués) comme des « armes financières de destruction massive ».

    Le 18 mars 2020 (coïncidant avec le confinement aux États-Unis), les milliardaires américains possédaient une richesse combinée de 2 947 000 milliards de dollars. Au 8 octobre 2020, leur richesse avait bondi à 3,8 billions de dollars – une augmentation monétaire de  850 milliards de dollars, une augmentation de leur richesse combinée de l’ordre de plus de 28% (voir l’étude IPS ).4

    Cette estimation ne tient pas compte de l’augmentation de la richesse au cours de la période précédant le 18 mars 2020 qui a été marquée par une série de krachs boursiers.5

    Et à partir de la fin de 2020, la classe des milliardaires a été impliquée dans le maintien d’une deuxième vague de verrouillage impliquant la fermeture partielle de l’économie mondiale.

    Le tableau ci-dessous identifie l’augmentation de la richesse personnelle des cinq milliardaires américains les plus riches (18 mars – 17 juin 2020). (La richesse des milliardaires américains n’est pas indiquée dans le tableau, qui a augmenté de 266 milliards de dollars supplémentaires de juin à octobre 2020).

     

    Source: Institute for Policy Studies  

     

    Croissance de la richesse des milliardaires (mars 2020 – mars 2021) résultant de la mise en œuvre du verrouillage de mars 2020,  Chuck Collins (dans une étude incisive publiée par Inequality.org) estime la croissance de la richesse des milliardaires sur une année complète, sur la base des données Forbes compilées dans ce rapport par ATF et IPS.6,7

    Le 18 mars [2020] est utilisé comme le début officieux de la crise car à ce moment-là, la plupart des restrictions économiques fédérales et étatiques répondant au virus étaient en place. Le 18 mars était également la date choisie par Forbes pour mesurer la richesse des milliardaires pour l’édition 2020 de son rapport annuel sur les milliardaires, qui a fourni une base de référence que l’ATF et l’IPS comparent périodiquement avec les données en temps réel du site Web de Forbes. PolitiFact a évalué favorablement cette méthodologie.8

    Source: Données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et Institute for Policy Studies

    Source: Institute for Policy Studies 

    Source: Données Forbes analysées par Americans for Tax Fairness et Institute for Policy Studies 

     

    L’enrichissement des Big Pharma

    Le rapport Forbes  souligne l’enrichissement des PDG des conglomérats Big Pharma occidentaux et chinois impliqués dans le vaccin COVID ainsi que dans la vente lucrative (dans le monde entier) de masques faciaux et de fournitures médicales.9

    Il s’agit notamment du PDG de Moderna, Stéphane Bancel, et du co-fondateur de BioNTech, Uğur Şahin.

    La Big Pharma chinoise est un partenaire à part entière dans ce processus d’enrichissement. Les PDG de plusieurs sociétés pharmaceutiques basées en Chine comprennent CanSino Biologics de Tianjin, Inco, Contec Medical Systems de Shenzhen et Sansure Biotech, qui effectue des tests COVID-19, ainsi que le conglomérat de vaccins chinois Sinovac.

    Parmi les multimilliardaires de Big Pharma en Chine figure Li Jianquan, président du fabricant chinois de produits médicaux Winner Medical. Plusieurs des produits liés à la pandémie de COVID, y compris les masques faciaux, sont fabriqués par Winner Medical.

    Li Jianquan a une valeur nette de 6,8 milliards (pour plus de détails, voir le rapport Forbes ).10

    Pour la liste complète des milliardaires en 2020-2021, consultez la liste Forbes .11

     

    La géopolitique de la richesse mondiale

    En 2022, Forbes a fait état d’un remaniement de la richesse mondiale des milliardaires au détriment de la Russie et de la Chine. 34 milliardaires de moins en Russie (par rapport à 2021) et « 87 milliardaires chinois de moins sur la liste »:

    L’Amérique est toujours en tête du monde, avec 735 milliardaires d’une valeur collective de 4,7 billions de dollars, dont Elon Musk, qui figure pour la première fois en tête de liste des milliardaires du monde. La Chine (y compris Macao et Hong Kong) reste numéro deux, avec 607 milliardaires d’une valeur collective de 2,3 billions de dollars.

    Pour la liste complète des milliardaires du monde 2022, consultez le classement Forbes des milliardaires en temps réel.

     

    Enrichissement milliardaire et disparition de la ferme familiale 

    La disparition en cours de l’agriculture familiale a été exacerbée par les politiques de confinement.

    Bill Gates utilise l’argent approprié pendant la crise financière pour étendre son contrôle d’entreprise dans une variété d’activités économiques, « achetant des actifs dévalués à des prix bradés », y compris l’acquisition de terres agricoles (voir Robert F. Kennedy, Jr. sur Neo- féodalité).12

    Selon The Land Report (février 2021), Bill et Melinda Gates sont désormais les plus grands propriétaires agricoles d’Amérique au détriment de l’agriculture familiale, qui au fil des ans a été acculée à la faillite.

    Le portefeuille de Gates comprend « 242 000 acres de terres agricoles américaines et près de 27 000 acres d’autres terres à travers la Louisiane, l’Arkansas, le Nebraska, l’Arizona, la Floride, Washington et 18 autres États » (voir l’analyse de Robert F. Kennedy, Jr.).13

    Voir la carte ci-dessous indiquant un total de 268 984 acres revenant aux portes. Cela équivaut à l’expropriation de facto de milliers de fermes familiales sur une vaste zone des États-Unis.

    Ce processus, mené par l’augmentation des dettes et des faillites, a commencé avant la pandémie et se poursuivra selon toute vraisemblance dans le cadre de la soi-disant « nouvelle normalité ».

     

    Ce graphique est basé sur un rapport de 2021 de The Land Report

     

    La richesse d’un milliardaire n’est pas le résultat de la croissance économique

    Cet enrichissement d’une minorité sociale ne repose pas sur la création de « nouvelles richesses » issues de la croissance économique réelle. Plutôt l’inverse. C’est le résultat d’une dépression économique mondiale artificielle.

    Le processus d’  enrichissement des milliardaires  se nourrit du chaos économique et social. Elle s’appuie fortement sur la « campagne de peur » et la déstabilisation mondiale des marchés financiers et de l’économie réelle.

    Elle a contribué à déclencher un processus sans précédent de redistribution des revenus et des richesses. De vastes secteurs de la population mondiale ont été poussés dans l’extrême pauvreté. 

    L’enrichissement milliardaire implique l’acquisition d’actifs économiques et financiers à des prix défiant toute concurrence, la reprise d’entreprises en faillite dans les principaux secteurs d’activité économique, la manipulation des marchés (obligations, actions, matières premières, marchés des devises, etc.) y compris l’utilisation d’instruments spéculatifs , le commerce dérivé, impliquant la «préconnaissance» et les «informations privilégiées» (voir chapitre IV).

     

    Notes

    1 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/

    2 UBS, 2020. Surfer sur la tempête : les turbulences du marché accélèrent les fortunes divergentes. https://www.ubs.com/content/dam/static/noindex/wealth-management/ubs-billionaires-report-2020-spread.pdf

    3 Ollie A. Williams, 6 octobre 2020. La fortune d’un milliardaire atteint 10 000 milliards de dollars pour la première fois grâce à la relance gouvernementale : UBS. https://www.forbes.com/sites/oliverwilliams1/2020/10/06/billionaire-wealth-hits-10-trillion-for-first-time-ever-thanks-to-government-stimulous/?sh=49cd0e6549ba

    4 Chuck Collins, 8 octobre 2020. La richesse des milliardaires américains a augmenté de 850 milliards de dollars depuis le 18 mars. https://ips-dc.org/us-billionaire-wealth-up-850-billion/

    5 Prof Michel Chossudovsky, 7 novembre 2020. Feuille de route Covid-19 : vers le chaos économique mondial et la destruction sociétale. https://www.globalresearch.ca/the-covid-19-roadmap-towards-economic-chaos-and-societal-destruction/5725602

    6 Chuck Collins, 23 mars 2021. Qui sont les 10 plus gros profiteurs de la pandémie ? https://inequality.org/great-divide/10-biggest-pandemic-profiteers/

    7 Americans for Tax Fairness and IPS, 18 mars 2021. Données sur les milliardaires. https://docs.google.com/spreadsheets/d/15n35QH3mq7jxxLmOnrcn2LGtMSssi-x1aCU9_2V9YVM/edit#gid=1259834744

    8 Nusaiba Mizan, 12 octobre 2020. Biden dit que les milliardaires ont gagné 800 milliards de dollars, mais une étude examine la croissance depuis le creux du marché. https://www.politifact.com/factchecks/2020/oct/12/joe-biden/biden-says-billionaires-gained-800-billion-study-l/

    9 Giacomo Tognini, 6 avril 2021. Rencontrez les 40 nouveaux milliardaires qui se sont enrichis en combattant Covid-19. https://www.forbes.com/sites/giacomotognini/2021/04/06/meet-the-40-new-billionaires-who-got-rich-fighting-covid-19/?sh=278895b117e5

    10 Idem. 

    11 Voir ceci :  https://www.forbes.com/billionaires/

    12 Robert F. Kennedy Jr., 4 février 2021. Bill Gates et le néo-féodalisme : un regard plus attentif sur Farmer Bill. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-neo-feodalism-closer-look-farmer-bill/5736504 

    13 Idem.

     

    Chapitre VI

    Les impacts sur la santé mentale 

     

    « Si nous ne nous dressons pas contre cette folie du confinement en ce moment, nous sommes complices du meurtre de l’âme de nos enfants ! Pourtant, la majorité des parents et des éducateurs dans les jardins d’enfants et les écoles… acceptent en silence que des gouvernements corrompus poussent leurs enfants à la folie ou même au suicide et étranglent ainsi notre avenir à tous.  – Rudolf Haensel,  septembre 2021

    “Le sourire en tant qu’expression faciale existe depuis l’aube de l’humanité. C’est une caractéristique inhérente à l’être humain. Couplé à la distanciation sociale obligatoire, le masque Covid cache nos visages et nous empêche d’exprimer nos sentiments lors de rencontres et d’interactions avec nos semblables. Les mandats créent une aura de désespoir social. Le sourire et le rire réduisent le stress, encouragent le dialogue, l’échange, la solidarité, la résolution des conflits. Le sourire constitue également un moyen de faire face à la campagne de peur du Covid-19 ». – Michel Chossudovsky, mai 2022

    « Il y a eu un autre coût que nous avons constaté, en particulier dans les écoles secondaires. Malheureusement, nous constatons maintenant beaucoup plus de suicides que de décès dus au COVID. Nous constatons des décès bien plus importants dus à une surdose de drogue »,  – Dr  Robert Redfield, ancien directeur du CDC, 14 juillet 2020

     

    Introduction

    Distanciation physique, Corona, Covid-19

    La situation difficile de santé mentale liée au coronavirus de plusieurs milliards de personnes dans le monde est le résultat de

  • l’ingénierie sociale incluant le confinement, l’isolement, la distanciation sociale et le masque,
  • la campagne de peur incessante menée 24h/24 et 7j/7 par les médias et les gouvernements,
  • la montée en flèche du chômage, de la pauvreté de masse et du désespoir provoqués par la déstabilisation mondiale des économies nationales.
  • Image:  Licence Pixabay /Aucune attribution requise

    Les psychiatres se sont penchés sur les « impacts négatifs » sur la santé mentale liés aux facteurs mentionnés ci-dessus. Confirmés par des rapports évalués par des pairs, les confinements ont également été propices au déclenchement de la dépression, de l’incertitude et de l’anxiété.

    « On craint que la pandémie de la maladie à coronavirus (COVID)-19 ait un impact négatif sur la santé mentale de la population générale à travers une gamme de mécanismes suggérés: peur, incertitude et anxiété; distanciation sociale/isolement; solitude; et les répercussions économiques.1

    L’image globale des impacts de la crise corona sur la santé mentale n’a pas encore été pleinement prise en compte. Notre analyse se concentrera sur les questions suivantes pour lesquelles des données sont disponibles:

  • l’augmentation spectaculaire des suicides  dans le monde dans les pays où le confinement a été imposé,
  • l’augmentation de la mortalité attribuable aux surdoses de drogues (cocaïne, opioïdes),
  • la montée de l’alcoolisme résultant d’une hausse de la consommation d’alcool.
  •  

    Hausse mondiale des suicides

    L’OMS n’a pas fait rapport sur les décès par suicide depuis le début de la pandémie. De même, au moment de la rédaction de cet article, les statistiques sur les suicides signalées aux États-Unis pour 2021-2022 ne sont pas disponibles. Notre analyse est largement basée sur des rapports d’études de cas.

    Suicides aux États-Unis

    En 2019, les suicides étaient la dixième cause de décès aux États-Unis,  47 511 Américains sont morts par suicide.2 Le nombre estimé de tentatives de suicide en 2019 était de l’ordre de 1,38 million.3

    Les preuves sont rares.

    Un rapport parrainé par le CDC et évalué par des pairs  (Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane, Emiko Petrosky, et al.) confirme que la perte d’emplois et de pouvoir d’achat au lendemain du confinement de mars 2020 a joué un  rôle  clé groupes sociaux « vulnérables » et à faible revenu, en déclenchant une vague de dépression et d’anxiété, qui a abouti à ce qu’ils décrivent comme  des « idées suicidaires » (penser à différentes façons de mourir).4 

    Les auteurs confirment que:

    Les symptômes de trouble anxieux et de trouble dépressif ont considérablement augmenté aux États-Unis d’avril à juin 2020 par rapport à la même période en 2019 (1,2). ….

    Le pourcentage de répondants qui ont déclaré avoir sérieusement pensé au suicide dans les 30 jours précédant l’enquête (10,7 %) était significativement plus élevé parmi les répondants âgés de 18 à 24 ans (25,5 %), les groupes raciaux/ethniques minoritaires (répondants hispaniques [18,6 %], répondants noirs [noirs] non hispaniques [15,1 %]), soignants non rémunérés autodéclarés pour adultes (30,7 %) et travailleurs essentiels (21,7 %).5

    Une autre étude confirme que « l’éloignement social/l’isolement et la solitude » résultant des politiques de confinement sont des facteurs qui peuvent avoir contribué au suicide:

    “Les conséquences secondaires de la distanciation sociale peuvent augmenter le risque de suicide”, ont noté des chercheurs dans un article du 10 avril 2020 publié par l’American Medical Association.6

    “Il est important de tenir compte des changements dans une variété de facteurs de risque économiques, psychosociaux et associés à la santé.” (Voir FRAIS)

    Essentiellement, les chercheurs ont averti  que l’isolement forcé pourrait s’avérer être «une tempête parfaite» pour le suicide. (nous soulignons)7

    La question centrale – qui n’est pas abordée par les  rapports évalués par des pairs  – est de savoir comment la perte artificielle d’emplois et de pouvoir d’achat résultant du verrouillage couplée au confinement conduit à la dépression et au désespoir.8

    L’anxiété et la dépression résultant du chômage et de la perte de revenus sont un phénomène mondial sans précédent dans l’histoire du monde. Pays par pays, on observe des tendances similaires. Les pays en développement à faible revenu comme l’Inde connaissent une situation de désespoir total qui touche de vastes secteurs d’une population appauvrie.

    Suicides en Inde

    Le verrouillage en Inde  a été propice à une flambée des suicides qui est la conséquence de “graves difficultés … alors que des moyens de subsistance entiers se sont défaits, au milieu d’une crise de l’emploi qui s’aggrave”.9

    “Il ne devrait donc pas être surprenant que le spectre du suicide ait levé sa tête laide, avec des pointes dans les rapports de personnes, qui ne voient aucun changement de fortune à l’horizon, se suicidant.”

    Le Brookings Institute a également abordé le rôle de la crise corona dans le  déclenchement des suicides en Inde:

    Des preuves anecdotiques pour l’Inde, quant à elles, suggèrent une augmentation des suicides en milieu rural. L’Inde a institué l’un des confinements les plus stricts au monde dans un contexte de taux de pauvreté élevés. … Les blocages ont entraîné la pauvreté de millions d’Indiens supplémentaires et exacerbé l’un des taux de suicide les plus élevés au monde. Le nombre supplémentaire de suicides est estimé à plusieurs milliers.10

    Suicide au Japon

    Alors que le nombre total de suicides a diminué régulièrement ces dernières années, 2020 a marqué la première fois au cours de la dernière décennie que le nombre de suicides a de nouveau augmenté. (Statistique)11  
     
     
     
    Remarquez la flambée des taux de suicide immédiatement après le confinement (Source: Ministère de la Santé, du Bien-être et du Travail/Graphique: Jason Kwok et Natalie Croker, CNN)
     

    Cette tendance à la hausse soudaine a été déclenchée par les politiques de confinement liées au COVID-19. En 2020, environ 21 000 personnes se sont suicidées au Japon,12

    «Beaucoup plus de Japonais meurent du suicide, probablement exacerbé par les répercussions économiques et sociales de la pandémie, que de la maladie COVID-19 elle-même. … Les statistiques provisoires de l’Agence nationale de la police montrent que les suicides ont grimpé à 2 153 en octobre [2020] seulement, marquant le quatrième mois consécutif d’augmentation. Rapport de novembre 2020 de la SCS  (soulignement ajouté)13

    Le rapport ci-dessus  confirme que les suicides chez les femmes au Japon ont considérablement augmenté à la suite du confinement de mars 2020. En octobre 2020 (par rapport à octobre de l’année précédente), les suicides féminins avaient augmenté de 83 % (par rapport aux suicides masculins qui avaient augmenté de 22 % sur la même période).14

    Suicides parmi  les écoliers japonais

    Un rapport de 2021 du ministère japonais de l’Éducation  confirme que le suicide chez les écoliers japonais a atteint un niveau record au cours de l’année scolaire 2020.

    “Le Japon a enregistré 415 suicides parmi les écoliers âgés de 6 à 18 ans au cours de l’année scolaire 2020 – le nombre le plus élevé depuis le début des enregistrements en 1974…. Ce chiffre était supérieur de 31 % à celui de l’année scolaire précédente, où 317 écoliers étaient décédés.15

    Le rapport du ministère de l’Éducation suggère que « la pandémie a provoqué des changements dans l’environnement scolaire et familial et a eu un impact sur le comportement des enfants ».

     

    Décès résultant d’une surdose de drogue

    Les principales catégories d’opioïdes médicamenteux  (CDC) sont les suivantes:

  • héroïne illégale
  • opioïdes synthétiques tels que le fentanyl
  • soi-disant “analgésiques” dont l’oxycodone (OxyContin®), l’ hydrocodone (Vicodin®)
  • codéine
  • morphine
  • etc.
  • Les médicaments énumérés ci-dessus sont “chimiquement liés et interagissent avec les récepteurs opioïdes sur les cellules nerveuses du corps et du cerveau” (CDC).

    Enregistrée en 2020, la crise corona a contribué à une augmentation significative des ventes d’opioïdes et de cocaïne aux États-Unis.

    D’après le CDC:

    Les opioïdes synthétiques ([classés par le CDC comme] fentanyl fabriqué principalement de manière illicite) semblent être le principal moteur de l’augmentation des décès par surdose, augmentant de 38,4 % par rapport à la période de 12 mois précédant juin 2019 par rapport à la période de 12 mois précédant jusqu’en mai 2020. …

    Les décès par surdose de cocaïne ont également augmenté de 26,5 % . … Les décès par surdose impliquant des psychostimulants, tels que la méthamphétamine [produite par GSM], ont augmenté de 34,8 %. Le nombre de décès impliquant des psychostimulants dépasse désormais le nombre de décès liés à la cocaïne.16 ( rapport CDC décembre 2020)  (soulignement ajouté)

    Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ont rapporté en décembre 2020  que la pandémie pourrait avoir contribué à “une augmentation des surdoses mortelles de drogue”.  Bien que les données soient incomplètes, le rapport du CDC confirme une augmentation importante du nombre de décès attribuables à une surdose de drogue (liée à la consommation de cocaïne et d’opioïdes):

    Les surdoses de drogue ont été liées à plus de 81 000 décès de personnes entre juin 2019 et mai 2020 , selon les Centers for Disease Control and Prevention, bondissant de 18% par rapport à la période de 12 mois précédente. Ces décès ont augmenté de 20% ou plus dans 25 États et le district de Columbia, selon le rapport.17 (rapport PBS)

    Le graphique du CDC basé à la fois sur les valeurs prévues et rapportées (c’est-à-dire le nombre) de décès attribués aux surdoses de drogue révèle que le décompte mensuel a commencé à s’accélérer en février 2020.18

     

    Capture d’écran du CDC

    En avril 2020, 2 146 personnes sont décédées d’une surdose d’opioïdes, suivies de 3 388 décès en mai 2020 , marquant les plus fortes augmentations mensuelles depuis 2015, lorsque le gouvernement fédéral a commencé à collecter ces données.17 (Cité dans le rapport PBS)

    Le graphique suivant indique les données mensuelles américaines. Dans les mois qui ont précédé la crise corona (juillet 2019 à janvier 2020), le nombre mensuel de décès par surdose de drogue était nettement inférieur à 1 000.

    La hausse commence en février (coïncidant avec le krach financier). Après le verrouillage de la mi-mars, les décès par surdose de drogue ont explosé.

    En mai 2020, le nombre de décès par surdose dépassait 3 000, soit une multiplication par plus de trois par rapport aux décès par surdose de drogue enregistrés avant la crise du coronavirus. Aux États-Unis, le nombre mensuel  de décès par surdose de drogue enregistré en 2020 a plus que triplé.17

     

    Graphique basé sur les données CDC citées ci-dessus. Source: PBS  

     

    Des données plus récentes du CDC confirment que l’augmentation des décès attribuables à une surdose de drogue a continué d’augmenter:

    De 71 130 décès en 2019 (fin décembre 2019) à 92 478 en 2020 (fin décembre 2020), soit une augmentation de 21 348 décès au cours de l’année 2020 par rapport àm 2019.19

    Cette tendance à la hausse s’est poursuivie au cours de l’année 2021.

    Au cours de la période de douze mois se terminant en juin 2021, le nombre de décès par surdose de drogue enregistrés a atteint près de 100 000 décès (fin juin 2021: 98 022).20

    Décès liés aux opioïdes au Canada

    La tendance au Canada est conforme à celle observée aux États-Unis. Une augmentation spectaculaire des décès liés aux opioïdes a été enregistrée en Ontario à la suite de l’urgence de confinement du 17 mars 2020, qui a été associée au chômage à la suite de la fermeture de l’activité économique:

    Le nombre de décès liés aux opioïdes a augmenté rapidement dans les semaines qui ont suivi la déclaration de l’état d’urgence en Ontario le 17 mars 2020. Dans l’ ensemble, il y a eu une augmentation de 38,2 % des décès liés aux opioïdes au cours des 15 premières semaines de la pandémie de COVID-19. (695 décès; moyenne de 46 décès par semaine) par rapport aux 15 semaines immédiatement précédentes (503 décès; moyenne de 34 décès par semaine).21

    Il convient de noter qu’au cours de la pandémie, le fentanyl (opioïde pharmaceutique) représentait 87 % des décès liés aux opioïdes  (87,2 % [N=538 sur 617]) par rapport à la cohorte pré-pandémique (79,2 % [N= 399 sur 504]).22

     

    Source:  Santé publique Ontario

     

    Le graphique suivant donne une image claire de l’augmentation spectaculaire des visites aux urgences pour surdose d’opioïdes à Ottawa de janvier 2020 à décembre 2020.

     

    Source: Santé publique Ontario

     

    La production et le commerce des  opioïdes

    Selon des sources onusiennes, l’Afghanistan produit actuellement 94 % de l’approvisionnement mondial en opium, qui est transformé en héroïne, en morphine ainsi qu’en opioïdes pharmaceutiques. Le commerce de l’héroïne est protégé.23 La présence militaire américaine en Afghanistan joue un rôle clé. Il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars impliquant à la fois les cartels de la drogue (héroïne illégale) et (indirectement) Big Pharma qui est impliqué dans la vente et la distribution d’opioïdes pharmaceutiques.24

    Plusieurs grandes sociétés pharmaceutiques impliquées dans la commercialisation du vaccin COVID-19, dont Pfizer et Johnson & Johnson, sont également impliquées dans la vente très rentable (et légale) d’opioïdes pharmaceutiques, qui au cours de la crise corona (2020-2021) ont devenir l’une des principales sources de surdose de drogue.

    Grandes sociétés pharmaceutiques corrompues

    Les communautés locales à travers l’Amérique ont pris position contre les géants pharmaceutiques en ce qui concerne les opioïdes. En 2019-2020, un règlement de plusieurs milliards de dollars  sur les opioïdes a  été conclu avec Purdue Pharma  au nom de milliers de villes et de comtés américains.

    “En octobre [2020], le fabricant d’Oxycontin Purdue a admis avoir permis la fourniture de médicaments” sans but médical légitime”, payant aux médecins et à d’autres des pots-de-vin illégaux pour prescrire les médicaments, entre autres allégations. Il a accepté de payer 8,3 milliards de dollars. (BBC, 4 février 2021)25

    Au plus fort de la crise corona (novembre 2020):

    “Quatre grands distributeurs de Big Pharma (Johnson & Johnson, McKesson, Cardinal Health, Amerisource Bergen) impliqués dans la production (J&J) et la distribution d’ opioïdes sur ordonnance” sont parvenus à un règlement provisoire de plusieurs milliards  avec les comtés et les villes qui les ont poursuivis en dommages-intérêts”.26 

    Le règlement a été appelé «l’ épidémie d’opioïdes».  Quelle est sa relation avec la crise corona? Ironie du sort, Johnson & Johnson, qui a fait l’objet d’un recours collectif contre les opioïdes sur ordonnance, est également un important distributeur du vaccin COVID-19.

    Ces mêmes distributeurs Big Pharma ont bénéficié de la flambée des ventes d’opioïdes résultant du confinement, qui à son tour a contribué à une augmentation significative  des décès par surdose de drogue  au cours de l’année 2020-2021 (voir graphiques ci-dessus).

    Ironie du sort, la flambée des surdoses de drogue a entraîné une augmentation des bénéfices de Big Pharma.

    Alors que Big Pharma fait l’objet d’une poursuite civile de plusieurs milliards de dollars pour distribution frauduleuse d’opioïdes sur ordonnance, plusieurs de ces entreprises corrompues sont désormais impliquées dans la promotion de l’initiative de vaccination contre la COVID-19. Selon Bloomberg, “plus de 400 000 Américains sont morts au cours des deux dernières décennies d’une surdose [de drogue]”.27

    Et maintenant, depuis le début de la crise corona en février 2020, les décès mensuels résultant d’ une surdose de drogue ont plus que triplé (voir graphique ci-dessus).

     

    Alcoolisme

    La toxicomanie et l’alcoolisme sont souvent liés.

    « L’abus de drogues et d’alcool a augmenté avec le COVID , tout comme le suicide. Les hotlines d’assistance sont inondées et certaines statistiques – les ventes d’alcool en ligne ont augmenté de plus de 200% aux États-Unis – brossent un tableau sombre.

    « La toxicomanie monte en flèche », déclare Cindi Brand, thérapeute en toxicomanie, qui a travaillé auparavant avec CAMH.

    La pandémie a même augmenté toutes les formes d’anxiété et de stress… La distanciation sociale signifie que les personnes ayant des problèmes de dépendance « ne peuvent pas obtenir l’aide dont elles ont besoin en ce moment », dit-elle. (nous soulignons)28

    Augmentation des ventes d’alcool

    Une tendance à la hausse de l’alcoolisme pendant la crise corona aux États-Unis est confirmée par une augmentation significative de la vente d’alcool. Selon une  étude de Nielsen, les commandes de séjour à domicile en mars 2020 ont entraîné « une augmentation de 54 % des ventes nationales d’alcool pour la semaine se terminant le 21 mars 2020, par rapport à un an auparavant; les ventes en ligne ont augmenté de 262 % par rapport à 2019. »29

    Une enquête par sondage de la RAND Corporation  menée avec le soutien du National Institute of Alcohol Abuse and Alcoholism (NIAAA) a consisté à comparer les habitudes de consommation des adultes en 2019 avec celles qui prévalaient pendant la crise corona (2020):

    “Les adultes américains ont fortement augmenté leur consommation d’alcool pendant l’arrêt déclenché par la pandémie de coronavirus, les femmes augmentant leurs épisodes de forte consommation d’alcool (quatre verres ou plus en quelques heures) de 41 %

    Une enquête nationale a révélé que la fréquence globale de consommation d’alcool a augmenté de 14 % chez les adultes de plus de 30 ans, par rapport à la même période l’an dernier. L’augmentation était de 19% chez tous les adultes âgés de 30 à 59 ans, de 17% chez les femmes et de 10% chez les adultes blancs non hispaniques. (Société Rand)30

    Si l’étude de la Rand Corporation  sur les habitudes de consommation révèle une augmentation de la consommation d’alcool, les résultats doivent être interprétés avec prudence. L’augmentation enregistrée de la vente réelle d’alcool (54 %) était nettement supérieure à l’augmentation estimée de la consommation d’alcool, selon l’enquête par sondage Rand. Parallèlement, cependant, pendant le verrouillage, la consommation d’alcool a eu lieu en grande partie dans les maisons, plutôt que dans les bars et restaurants (fermés).31

    Selon Michael Pollard, auteur principal de l’étude de la RAND, “la dépression des gens augmente, l’anxiété augmente, [et] la consommation d’alcool est souvent un moyen de faire face à ces sentiments”.32

     

    Notes

    1 Stefania Chiappini,  Amira Guirguis, et al., 29 juillet 2020. COVID-19 : L’impact caché sur la santé mentale et la toxicomanie. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7403495/

    2 Fondation américaine pour la prévention du suicide, nd Suicide Statistics. https://afsp.org/suicide-statistics/

    3 Institut national de la santé mentale, sd Suicide. https://www.nimh.nih.gov/health/statistics/suicide#part_154969

    4 Mark É. Czeisler, Rashon I. Lane, et al., 14 août 2020. Santé mentale, consommation de substances et idées suicidaires pendant la pandémie de COVID-19 — États-Unis, 24-30 juin 2020.  https://www.cdc. gov/mmwr/volumes/69/wr/mm6932a1.htm

    5 Idem.

    6  Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020.  Mortalité suicidaire et maladie à coronavirus 2019—Une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_ 

    7 Jon Miltimore, 24 novembre 2020. Le suicide a fait plus de morts en octobre que 10 mois de COVID-19 au Japon, selon un rapport. https://fee.org/articles/suicide-claimed-more-lives-in-october-than-10-months-of-covid-19-in-japan-report-shows/

    8  Mark A. Reger, Ian H. Stanley, et al., 10 avril 2020.  Mortalité suicidaire et maladie à coronavirus 2019—Une tempête parfaite ? https://jamanetwork.com/journals/jamapsychiatry/fullarticle/2764584?guestAccessKey=c40eefb2-c634-47ed-b3c3-f00b005e3cf2&utm_ 

    9 Times Now Digital, 14 septembre 2020. Au milieu de l’épidémie de COVID-19, l’épidémie de suicide en Inde reste sans réponse – ces graphiques montrent comment. https://www.timesnownews.com/india/article/amid-covid-19-outbreak-indias-suicide-epidemic-remains-unaddressed-these-graphs-show-how/652188

    10 Carol Graham, 17 novembre 2020. Les coûts humains de la pandémie : est-il temps de donner la priorité au bien-être ? https://www.brookings.edu/research/the-human-costs-of-the-pandemic-is-it-time-to-prioritize-well-being/

    11 Statista, mars 2021. Nombre total de suicides commis au Japon de 2011 à 2020.  https://www.statista.com/statistics/622065/japan-suicide-number/

    12 L. Kettenhofen, 30 novembre 2021. Suicide au Japon – statistiques et faits. https://www.statista.com/topics/5259/suicide-in-japan/

    13 Lucy Craft, 13 novembre 2020. Le suicide a fait plus de victimes japonaises en octobre que 10 mois de COVID. https://www.cbsnews.com/news/japan-suicide-coronavirus-more-japanese-suicides-in-october-than-total-covid-deaths/

    14 Idem.

    15 Emiko Jozuka, 14 octobre 2021. Les suicides d’enfants au Japon sont à un niveau record. https://edition.cnn.com/2021/10/14/asia/suicide-children-japan-intl-hnk/index.html

    16 CDC, 17 décembre 2020. Accélération des décès par surdose pendant le COVID-19. https://www.cdc.gov/media/releases/2020/p1218-overdose-deaths-covid-19.html

    17 Laura Santhanam, 28 décembre 2020. Qu’est-ce qui se cache derrière le pic historique de décès par surdose de drogue sous COVID-19. https://www.pbs.org/newshour/health/whats-behind-the-historic-spike-in-drug-overdose-deaths-under-covid-19

    18 CDC, 12 janvier 2022. Nombre provisoire de décès par surdose de drogue. https://www.cdc.gov/nchs/nvss/vsrr/drug-overdose-data.htm#data-tables

    19 Idem.

    20 Deidre McPhillips, 17 novembre 2021. Les décès par surdose de drogue dépassent les 100 000 par an pour la première fois, entraînés par le fentanyl, selon les données du CDC. https://edition.cnn.com/2021/11/17/health/drug-overdose-deaths-record-high/index.html

    21 Réseau ontarien de recherche sur les politiques sur les drogues, Bureau du coroner en chef de l’Ontario/Service de médecine légale de l’Ontario, et al., novembre 2020. Preliminary Patterns in Circumstances Surrounding Opioid-Related Deaths in Ontario during the COVID-19 Pandemic. https://www.publichealthontario.ca/-/media/documents/o/2020/opioid-mortality-covid-surveillance-report.pdf?la=fr

    22 Idem.

    23 Prof Michel Chossudovsky, 14 juin 2005. Le butin de guerre : le commerce d’héroïne de plusieurs milliards de dollars en Afghanistan. https://www.globalresearch.ca/the-spoils-of-war-afghanistan-s-multibillion-dollar-heroin-trade/91

    24 MarketWatch, 13 janvier 2022. Taille du marché des médicaments opioïdes, part de l’analyse mondiale 2022 couvrant l’impact du COVID-19 | Aperçus détaillés sur les tendances à venir, le taux de croissance et les prévisions futures jusqu’en 2025.  https://www.marketwatch.com/press-release/opioids-drugs-market-size-share-2022-global-analysis-covers-covid-19- aperçu-détaillé-de-l’impact-sur-les-tendances-à-venir-du-taux-de-croissance-et-des-prévisions-futures-jusqu’en-2025-2022-01-13

    25 BBC, 4 février 2021. McKinsey accepte un règlement d’opioïdes de 573 millions de dollars aux États-Unis. https://www.bbc.com/news/business-55939224

    26 KHN Morning Briefing, 6 novembre 2020. 4 compagnies pharmaceutiques acceptent un règlement sur les opioïdes de 26 milliards de dollars. https://khn.org/morning-breakout/4-drug-companies-agree-to-26-billion-opioid-settlement/

    27 Jef Feeley, 4 février 2021. McKinsey paiera 573 millions de dollars pour résoudre les réclamations américaines liées aux opioïdes. https://www.bloomberg.com/news/articles/2021-02-04/mckinsey-said-to-agree-to-550-million-opioid-claim-settlement-kkq6xumb

    28 Liz Braun, 1er octobre 2020. Augmentation de la consommation de drogue et d’alcool pendant la COVID. https://torontosun.com/news/local-news/drug-and-alcohol-use-rising-during-covid

    29 NielsenIQ, 7 mai 2020. Rééquilibrage de « l’effet COVID-19 » sur les ventes d’alcool. https://nielseniq.com/global/en/insights/analysis/2020/rebalancing-the-covid-19-effect-on-alcohol-sales/

    30 RAND, 29 septembre 2020. La consommation d’alcool augmente fortement pendant l’arrêt de la pandémie ; La consommation excessive d’alcool chez les femmes augmente de 41 %. https://www.rand.org/news/press/2020/09/29.html

    31 Sasha Pezenik, 30 septembre 2020. La consommation d’alcool augmente fortement pendant la pandémie, en particulier chez les femmes. https://abcnews.go.com/US/alcohol-consumption-rising-sharply-pandemic-women/story?id=73302479

    32 Idem.  

     

    Chapitre VII

    Science corrompue : “Il n’y a pas de remède”

    Suppression de l’hydroxychloroquine (HCQ), 

    Un médicament bon marché et efficace 

     

    Il y avait une bataille en cours pour supprimer l’ hydroxychloroquine (HCQ), un médicament bon marché et efficace pour le traitement du COVID-19. La campagne contre HCQ a été menée à travers des déclarations politiques diffamatoires, des diffamations médiatiques, sans parler d’une «évaluation» faisant autorité et revue par des pairs publiée le 22 mai par The Lancet, qui était basée sur de faux chiffres et des essais.

    L’étude aurait été basée sur l’analyse des données de 96 032 patients hospitalisés avec COVID-19 entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020 dans 671 hôpitaux du  monde entier. La base de données avait été fabriquée. L’objectif était de tuer la cure d’ hydroxychloroquine (HCQ) pour le compte de Big Pharma.

    Alors que l’article de The Lancet a été rétracté, les médias ont blâmé avec désinvolture “une petite entreprise basée aux États-Unis” nommée Surgisphere dont les employés comprenaient “un écrivain de science-fiction et un modèle de contenu pour adultes” pour avoir diffusé des “données erronées” (Guardian). Cette tenue basée à Chicago a été accusée d’avoir induit en erreur à la fois l’OMS et les gouvernements nationaux, les incitant à interdire l’HCQ. Aucun de ces essais n’a eu lieu.

     

    Capture d’écran de The Lancet  

    Alors que le blâme a été attribué à Surgisphere, la vérité tacite (que ni la communauté scientifique ni les médias n’ont reconnue) est que l’étude a été coordonnée par le  professeur de Harvard Mandeep Mehra  sous les auspices du Brigham and Women’s Hospital (BWH), qui est un partenaire de la Harvard Medical School.

    Lorsque l’escroquerie a été révélée, le Dr Mandeep Mehra, titulaire de la chaire de médecine distinguée Harvey au Brigham and Women’s Hospital, s’est excusé:

    « J’ai toujours effectué mes recherches conformément aux directives éthiques et professionnelles les plus élevées. Cependant, nous ne pouvons jamais oublier la responsabilité qui nous incombe en tant que chercheurs de nous assurer scrupuleusement que nous nous appuyons sur des sources de données qui respectent nos normes élevées.

    Il est maintenant clair pour moi que dans mon espoir de contribuer à cette recherche pendant une période de grand besoin, je n’ai pas fait assez pour m’assurer que la source de données était appropriée pour cette utilisation. Pour cela, et pour toutes les perturbations – directes et indirectes – je suis vraiment désolé. » (nous soulignons)

    Mandeep R. Mehra, MD, MSC (déclaration officielle sur le site Web de BWH)1

    Mais cette note “vraiment désolé” n’était que la pointe de l’iceberg. Pourquoi?

    Les études respectivement sur le remdesivir de Gilead Sciences et sur l’hydroxychloroquine (HCQ) ont été menées simultanément par le Brigham and Women’s Hospital (BWH).

    Alors que le rapport The Lancet (22 mai 2020) coordonné par le Dr Mandeep Mehra visait à « tuer » la légitimité de l’HCQ en tant que remède contre le COVID-19, une autre étude importante (connexe) était en cours (simultanément) au BWH concernant au remdesivir au nom de Gilead Sciences, Inc.

    Le Dr Francisco Marty, spécialiste des  maladies infectieuses et professeur associé à la Harvard Medical School, s’est vu confier la coordination des  tests d’essais cliniques du médicament antiviral remdesivir dans le cadre du contrat de Brigham avec Gilead Sciences, Inc2:

    « Le Brigham and Women’s Hospital a commencé à recruter des patients dans deux essais cliniques pour le remdesivir, un médicament antiviral de Gilead. Le Brigham est l’un des multiples sites d’essais cliniques pour une étude initiée par Gilead du médicament chez 600 participants atteints d’une maladie à coronavirus modérée (COVID-19) et une étude initiée par Gilead de 400 participants atteints de COVID-19 sévère.

    … Si les résultats sont prometteurs, cela pourrait conduire à l’approbation de la FDA, et s’ils ne le sont pas, cela nous donne des informations essentielles dans la lutte contre le COVID-19 et nous permet de passer à d’autres thérapies.

    Bien que le Dr Mandeep Mehra n’ait pas été directement impliqué dans l’étude Gilead Remdesivir BWH sous la supervision de son collègue le Dr Francisco Marty, il a néanmoins eu des contacts avec Gilead Sciences, Inc:

    “Il a participé à une conférence sponsorisée par Gilead début avril 2020 dans le cadre du débat Covid-19” (France Soir, 23 mai 2020)3

    Quelle était l’intention de son étude (échouée)? Pour saper la légitimité de l’hydroxychloroquine?

    Selon France Soir, dans un rapport publié après la rétractation de The Lancet:

    Les réponses souvent évasives produites par le Dr Mandeep R. Mehra ,… professeur à la Harvard Medical School, n’ont pas produit de confiance, alimentant plutôt le doute sur l’intégrité de cette étude rétrospective et de ses résultats. (France Soir, 5 juin 2020)4

    Le Dr Mandeep Mehra était-il en conflit d’intérêts? (C’est à BWH et à la Harvard Medical School de décider)

     

    Qui étaient les principaux acteurs ? 

    Le Dr Anthony Fauci, décrit comme «le meilleur expert américain des maladies infectieuses», a joué un rôle clé dans la salir le remède HCQ qui avait été approuvé des années plus tôt par le CDC ainsi que dans la légitimation du remdesivir de Gilead.

    Le Dr Fauci est à la tête de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) depuis l’administration Reagan. Il est connu pour être le porte-parole de Big Pharma.

    Le Dr Fauci a lancé le remdesivir fin juin (voir détails ci-dessous). Selon Fauci, le remdesivir est le “médicament miracle corona” développé par Gilead Sciences, Inc. C’est une aubaine de 1,6 milliard de dollars.

     

    Gilead Sciences, Inc.: Histoire

    Gilead Sciences, Inc est une société biopharmaceutique de plusieurs milliards de dollars qui est maintenant impliquée dans le développement et la commercialisation du remdesivir. Galaad a une longue histoire. Il bénéficie du soutien de grands conglomérats d’investissement, dont le groupe Vanguard et Capital Research & Management Co, entre autres. Il a développé des liens avec le gouvernement américain.

    En  1999, Gilead Sciences, Inc a développé Tamiflu (utilisé comme traitement de la grippe saisonnière et de la grippe aviaire). À l’époque, Gilead Sciences, Inc était dirigée par Donald Rumsfeld (1997-2001), qui a ensuite rejoint l’administration George W. Bush en tant que secrétaire à la Défense (2001-2006). Rumsfeld était responsable de la coordination des guerres illégales et criminelles contre l’Afghanistan (2001) et l’Irak (2003).

    Rumsfeld a maintenu ses liens avec Gilead Sciences, Inc tout au long de son mandat de secrétaire à la Défense (2001-2006). Selon CNN Money (2005): « La perspective d’une épidémie de grippe aviaire… était une très bonne nouvelle pour le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld [qui possédait toujours des actions de Gilead] et d’autres investisseurs politiquement connectés dans Gilead Sciences.5

    Anthony Fauci  est à la tête du NIAID depuis 1984, utilisant sa position d ‘«intermédiaire» entre le gouvernement américain et Big Pharma. Pendant le mandat de Rumsfeld en tant que secrétaire à la Défense, le budget alloué au bio-terrorisme a considérablement augmenté, impliquant des contrats avec Big Pharma dont Gilead Sciences, Inc. Anthony Fauci considérait que l’argent alloué au bio-terrorisme au début de 2002 permettrait:

    « accélérer notre compréhension de la biologie et de la pathogenèse des microbes qui peuvent être utilisés dans les attaques, et de la biologie des hôtes des microbes — les êtres humains et leur système immunitaire. Un résultat devrait être des vaccins plus efficaces avec moins de toxicité. (Washington Post, 7 février 2022)6

    En 2008, le Dr Anthony Fauci a reçu la Médaille présidentielle de la liberté du président George W. Bush “pour ses efforts déterminés et agressifs pour aider les autres à vivre plus longtemps et en meilleure santé”.7

    Le Dr Anthony S. Fauci, écoute le jeudi 19 juin 2008, alors qu’il est annoncé comme récipiendaire de la Médaille présidentielle de la liberté 2008, lors de cérémonies dans la salle Est de la Maison Blanche. (Photo de la Maison Blanche par Shealah Craighead)

     

    Le projet Remdesivir 2020 de Gilead Sciences, Inc.

    Nous nous concentrerons sur les documents (et événements) clés.

    Chronologie (février-juin 2020)

    21 février 2020: Publication initiale concernant l’essai de test placebo NIH-NIAID sur le remdesivir

    10 avril: L’étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l’utilisation compassionnelle du remdesivir »

    29 avril: NIH publie une étude sur le remdesivir (rapport publié le 22 mai dans NEJM)

    22 mai:  L’étude BWH-Harvard sur l’hydroxychloroquine coordonnée par le Dr Mandeep Mehra publiée dans The Lancet

    22 mai:  Remdesivir pour le traitement de la COVID-19 — Rapport préliminaire, Institut national des allergies et des maladies infectieuses, National Institutes of Health, New England Journal of Medicine (NEJM) 

    5 juin:  Le (faux) rapport du Lancet  (22 mai) sur l’HCQ est rétracté

    29 juin:  Annonce de Fauci. L’accord de remdesivir HHS de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences, Inc

     

    10 avril 2020 : L’étude de Gilead Sciences, Inc publiée dans le NEJM sur « l’utilisation compassionnelle du remdesivir »

    Un rapport sponsorisé par Gilead a été publié dans  le New England Journal of Medicine  dans un article intitulé  « Compassionate Use of Remdesivir for Patients with Severe COVID-19 ». Il a été co-écrit par une liste impressionnante de 56 médecins et scientifiques distingués, dont beaucoup ont reçu des honoraires de consultation de Gilead Sciences, Inc.

    Gilead Sciences, Inc. a financé l’étude qui comprenait plusieurs membres du personnel en tant que co-auteurs.

    « Les tests ont inclus un total de 61 patients [qui] ont reçu au moins une dose de remdesivir le 7 mars 2020 ou avant ; 8 de ces patients ont été exclus en raison d’informations post-inclusion manquantes (7 patients) et d’une date de début de remdesivir erronée (1 patient)… Sur les 53 patients restants inclus dans cette analyse, 40 (75%) ont reçu le traitement complet de 10 jours de remdesivir , 10 (19%) ont reçu 5 à 9 jours de traitement, et 3 (6%) moins de 5 jours de traitement. (NEJM, 10 avril 2020)8

    L’article du NEJM indique que “Gilead Sciences, Inc a commencé à accepter les demandes de cliniciens pour une utilisation compassionnelle du remdesivir le 25 janvier 2020”.

    De qui, d’où? Selon l’OMS (30 janvier 2020), il y a eu 86 cas dans 18 pays hors de Chine dont 5 aux États-Unis, 5 en France et 3 au Canada.

    Plusieurs médecins et scientifiques éminents  ont mis en doute l’étude sur l’utilisation compassionnelle du remdesivir  menée par Gilead, en se concentrant sur la petite taille de l’essai. Ironiquement, le nombre de patients dans le test est inférieur au nombre de co-auteurs: “53 patients” contre “56 co-auteurs”.

    Ci-dessous, nous fournissons des extraits de déclarations scientifiques sur le projet Gilead NEJM (Science Media Center)  publiées immédiatement après la publication de l’article9 du NEJM:

    « ‘L’utilisation compassionnelle’ est mieux décrite comme l’utilisation d’une thérapie non autorisée pour traiter un patient parce qu’il n’y a pas d’autres traitements disponibles . Les recherches basées sur ce type d’utilisation doivent être traitées avec une extrême prudence car il n’y a pas de groupe témoin ou de randomisation, qui sont quelques-unes des caractéristiques des bonnes pratiques dans les essais cliniques. (Professeur Duncan Richard, Thérapeutique clinique, Université d’Oxford)

     « Il est essentiel de ne pas surinterpréter cette étude. Plus important encore, il est impossible de connaître le résultat pour ce groupe relativement restreint de patients s’ils n’avaient pas reçu de remdesivir. (Dr Stephen Griffin, professeur agrégé, École de médecine, Université de Leeds)

     “La recherche est intéressante mais ne prouve rien à ce stade : les données proviennent d’une petite étude non contrôlée.” (Simon Maxwell, professeur de pharmacologie clinique et de prescription, Université d’Édimbourg)

    « Les données de cet article sont presque ininterprétables. Il est très surprenant, peut-être même contraire à l’éthique, que le New England Journal of Medicine l’ ait publié. Il serait plus approprié de publier les données sur le site Web de la société pharmaceutique qui a parrainé et rédigé l’étude. Au moins, Gilead a été clair sur le fait que cela n’a pas été fait de la manière dont un article scientifique de haute qualité serait écrit. (Prof Stephen Evans, professeur de pharmacoépidémiologie, London School of Hygiene & Tropical Medicine)

    “Il est très difficile de tirer des conclusions utiles d’études non contrôlées comme celle-ci, en particulier avec une nouvelle maladie pour laquelle nous ne savons vraiment pas à quoi nous attendre et avec de grandes variations dans les résultats entre les lieux et dans le temps. Il faut vraiment remettre en question l’éthique de ne pas faire de randomisation – cette étude représente vraiment plus que toute autre chose, une occasion manquée. (Pr Adam Finn, professeur de pédiatrie, Université de Bristol)

    Pour consulter le document complet du Science Media Center relatif aux expertises, cliquez ici.

     

    29 avril 2020: Étude des National Institutes of Health (NIH) sur le Remdesivir

    Le 29 avril suite à la publication de l’étude de Gilead Sciences, Inc dans le NEJM le 10 avril, un communiqué de presse des National Institutes of Health (NIH) sur le remdesivir a été publié.  Le document complet a été publié le 22 mai par le NEJM sous le titre: Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report (NEJM). 

    L’étude avait été lancée le 21 février 2020. Le titre du communiqué de presse du 29 avril était:  « Des données examinées par des pairs montrent que le remdesivir pour le COVID-19 améliore le temps de récupération.

    C’est un rapport parrainé par le gouvernement qui comprend des données préliminaires d’un essai randomisé impliquant 1 063 patients hospitalisés. Les résultats de l’essai intitulé Adaptive COVID-19 Treatment Trial (ACTT) sont préliminaires, menés sous la direction du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) du Dr Fauci:

    Un comité indépendant de surveillance des données et de la sécurité (DSMB) supervisant l’essai s’est réuni le 27 avril pour examiner les données et partager son analyse intermédiaire avec l’équipe de l’étude. Sur la base de leur examen des données, ils ont noté que le remdesivir était meilleur que le placebo du point de vue du critère principal, le temps de récupération, une métrique souvent utilisée dans les essais sur la grippe. La récupération dans cette étude a été définie comme étant suffisamment bien pour la sortie de l’hôpital ou le retour à un niveau d’activité normal.

    Les résultats préliminaires indiquent que les patients qui ont reçu du remdesivir ont eu un temps de récupération 31 % plus rapide que ceux qui ont reçu un placebo (p<0,001). Plus précisément, le délai médian de récupération était de 11 jours pour les patients traités par remdesivir contre 15 jours pour ceux qui ont reçu un placebo. Les résultats ont également suggéré un bénéfice en termes de survie, avec un taux de mortalité de 8,0 % pour le groupe recevant le remdesivir contre 11,6 % pour le groupe placebo (p = 0,059). (nous soulignons)10

    Dans le rapport du 21 février 2020 du NIH (publié au début de l’étude), la méthodologie était décrite comme suit:

    … Un essai clinique randomisé et contrôlé pour évaluer l’innocuité et l’efficacité de l’antiviral expérimental remdesivir chez des adultes hospitalisés diagnostiqués avec la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) …

    Nombres. Où? Lorsque? 

    Le rapport du 21 février a confirmé que le premier participant à l’essai était “un Américain qui a été rapatrié après avoir été mis en quarantaine sur le bateau de croisière Diamond Princess” qui a accosté à Yokohama (eaux territoriales japonaises) (voir chapitre II). “Treize personnes rapatriées par le Département d’Etat américain du bateau de croisière Diamond Princess” ont été sélectionnées comme patients pour le test placebo.

    Ironiquement, au début de l’étude, 58,7 % des « cas confirmés » dans le monde (542 cas sur 924) (en dehors de la Chine) se trouvaient sur le bateau de croisière Diamond Princess à partir duquel les patients placebo de l’essai initial ont été sélectionnés.

    Où et Quand: Le test d’essai dans les 68 sites sélectionnés ? Cela est venu plus tard car au 19 février (données OMS), les États-Unis n’avaient enregistré que 15 cas positifs (voir tableau ci-dessous).

    “Au total, 68 sites ont finalement rejoint l’étude – 47 aux États-Unis et 21 dans des pays d’Europe et d’Asie.” (nous soulignons)

    Dans le rapport final du NEJM du 22 mai intitulé  Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report: 

    Il y avait 60 sites d’essai et 13 sous-sites aux États-Unis (45 sites), au Danemark (8), au Royaume-Uni (5), en Grèce (4), en Allemagne (3), en Corée (2), au Mexique (2), en Espagne (2), Japon (1) et Singapour (1). Les patients éligibles ont été répartis au hasard selon un rapport 1:1 pour recevoir soit du remdesivir, soit un placebo. La randomisation a été stratifiée selon le site de l’étude et la gravité de la maladie au moment de l’inscription.11

    Le Washington Post a applaudi l’annonce d’Anthony Fauci (29 avril)12:

    « Les résultats préliminaires, divulgués à la Maison Blanche par Anthony S. Fauci, … sont en deçà de la solution miracle ou du remède … Mais sans traitement approuvé pour Covid-19, [Lie] Fauci a déclaré, cela deviendra la norme de soins pour patients hospitalisés…

    Les données montrent que le remdesivir a un effet net, significatif et positif sur la réduction du temps de récupération », a déclaré Fauci.

    «Le premier essai clinique rigoureux du gouvernement sur le médicament expérimental  remdesivir en tant que traitement contre les coronavirus a donné des résultats mitigés à la communauté médicale mercredi – mais a rallié les marchés boursiers et a fait naître l’espoir qu’une arme précoce pour aider certains patients était à portée de main.

    Les résultats préliminaires, divulgués à la Maison Blanche par Anthony Fauci, chef de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses, qui a dirigé l’essai contrôlé par placebo, ont révélé que le médicament accélérait le rétablissement des patients hospitalisés mais n’avait qu’un avantage marginal dans le taux. de la mort.

    … Les remarques de Fauci ont stimulé les spéculations selon lesquelles la Food and Drug Administration demanderait une autorisation d’utilisation d’urgence qui permettrait aux médecins de prescrire le médicament.

    En plus des essais cliniques, le remdesivir a été administré à plus de 1 000 patients dans le cadre d’un usage compassionnel. [Se réfère également à l’étude Gilead publiée le 10 avril dans le NEJM]

    L’étude, impliquant [plus de]  1 000 patients sur 68 sites aux États-Unis et dans le monde  [??], offre la première preuve [??] d’une grande étude clinique [??] randomisée [??] de l’efficacité du remdesivir contre le COVID-19.

    L’étude du test placebo du NIH a fourni des “résultats préliminaires”. Alors que le test placebo était « randomisé », la sélection globale des patients sur les 68 sites n’était pas entièrement randomisée. Voir le rapport complet.13

     

    22 mai 2020 :  Le rapport controversé (rétracté) du Lancet sur l’hydroxychloroquine (HCQ)

    Il est à noter que le rapport complet du NIH-NIAID  intitulé  Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report  a été publié le 22 mai 2020 dans le NEJM, le même jour que le rapport controversé du Lancet sur l’hydroxychloroquine.

    Immédiatement après sa publication, les médias sont passés à la vitesse supérieure, salissant le remède HCQ, tout en applaudissant le rapport NIH-NIAID sur le remdesivir publié le même jour.

    R emdesivir, le seul médicament autorisé pour traiter le COVID-19, aaccéléré le temps de récupération des patients atteints de la maladie, … “C’est un médicament très sûr et efficace”, a déclaré Eric Topol, fondateur et directeur du Scripps Research Translational Institute. “Nous avons maintenant un premier médicament efficace pour Covid-19, qui est un grand pas en avant et qui sera développé avec d’autres médicaments, [et des combinaisons de médicaments].”14

    Lorsque l’article du Lancet HCQ de Bingham-Harvard a été retiré le 5 juin, il était trop tard, il a reçu une couverture médiatique minimale. Malgré la rétractation, le remède HCQ “avait été tué”.

     

    29 juin 2020 :  feu vert Fauci. Le contrat Remdesivir de 1,6 milliard de dollars avec Gilead Sciences, Inc

    Le Dr Anthony Fauci a accordé le « feu vert » à Gilead Sciences, Inc. le 29 juin 2020.

    Le rapport semi-officiel du gouvernement américain parrainé par le NIH-NIAID (22 mai) intitulé  Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report  (NEJM)  a été utilisé pour justifier un accord majeur avec Gilead Sciences, Inc. (Un rapport final a été publié le 5 novembre 2020)

    Le rapport a été largement financé par l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) dirigé par le Dr Anthony Fauci et les National Institutes of Health (NIH).

    Le 29 juin, sur la base des conclusions du rapport NIH-NIAID publié dans le NEJM, le ministère de la Santé et des Services sociaux (HHS) a annoncé au nom de l’administration Trump un accord pour sécuriser des approvisionnements importants du médicament remdesivir de Gilead Sciences, Inc. pour le traitement du COVID-19 dans les hôpitaux et cliniques privés américains.

    L’étude antérieure de Gilead basée sur de rares résultats de tests publiés dans le NEJM (10 avril) de 53 cas (et 56 co-auteurs) n’a pas été mise en évidence. Les résultats de cette étude avaient été remis en question par plusieurs éminents médecins et scientifiques.

    Qui pourra se payer le remdesivir ? 500 000 doses de remdesivir sont envisagées à 3 200 dollars par patient, soit 1,6 milliard de dollars  (voir l’ étude d’Elizabeth Woodworth).15

    Le médicament a également été approuvé pour la commercialisation dans l’Union européenne  sous le nom de marque Veklury.

    Si ce contrat est mis en œuvre comme prévu, il représente pour Gilead Sciences, Inc. et les hôpitaux et cliniques privés américains bénéficiaires une somme d’argent colossale.

    Selon le secrétaire du HHS de l’administration Trump, Alex Azar (29 juin 2020):

    « Dans la mesure du possible, nous voulons nous assurer que tout patient américain qui a besoin de remdesivir puisse l’obtenir . [at $3200] L’administration Trump fait tout ce qui est en son pouvoir pour en savoir plus sur les thérapies vitales pour le COVID-19 et garantir l’accès à ces options pour le peuple américain.

     

    Remdesivir versus Hydroxychloroquine (HCQ)

    Timing prudent:

    L’étude Lancet  (publiée le 22 mai 2020 puis rétractée) visait à saper la légitimité de l’hydroxychloroquine en tant que remède efficace contre le COVID-19, en vue de maintenir l’accord de 1,6 milliard de dollars entre le HHS et Gilead Sciences, Inc. sur 29 juin. La légitimité de cet accord reposait sur l’étude NIH-NIAID du 22 mai au NEJM qui était considérée comme “préliminaire”.16

    Ce que le Dr Fauci n’a pas reconnu, c’est que la chloroquine avait été “étudiée” et testée il y a 15 ans par le CDC comme médicament à utiliser contre les infections à coronavirus. Et que l’hydroxychloroquine a été utilisée courant 2020 dans le traitement du COVID-19 dans plusieurs pays.

    Selon le (2005) Virology Journal,  “La chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS“.17  Il a été utilisé lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Il avait l’aval du CDC.

    Le HCQ n’est pas seulement efficace, il est “peu coûteux” par rapport au remdesivir à environ “3 120 $ pour un patient américain avec une assurance privée”.

     

    Remarques finales

    L’étude sur le remdesivir de Gilead Sciences, Inc. (plus de 50 auteurs) a été publiée dans le New England Journal of Medicine le 10 avril 2020.

    Il a été suivi du NIH-NIAID  Remdesivir for the Treatment of COVID-19 — Preliminary Report  le 22 mai 2020 dans le NEJM. Et ce même jour, le 22 mai, le rapport sur l’hydroxychloroquine  coordonné par BWH-Harvard Dr. Mehra a été publié par le Lancet (qui a ensuite été rétracté).

    La Harvard Medical School et le BWH portent la responsabilité d’avoir hébergé et financé le rapport du Lancet sur l’HCQ coordonné par le Dr Mandeep Mehra.

    Y a-t-il conflit d’intérêts? BWH a participé simultanément à une étude sur le remdesivir dans le cadre d’un contrat avec Gilead Sciences, Inc.

    Bien que le rapport du Lancet coordonné par le Dr Mehra de Harvard ait été retiré, il a néanmoins servi les intérêts de Gilead Sciences, Inc.

    Il est important qu’une évaluation scientifique et médicale indépendante soit entreprise, respectivement de l’étude à comité de lecture de Gilead Sciences, Inc New England Journal of Medicine (NEMJ) (10 avril 2020) ainsi que de l’étude NIH-NIAID également publiée dans le NEJM (22 mai 2020).

     

    Remarques

    1 Brigham and Women’s Hospital, 22 mai 2020. Aucune amélioration du taux de mortalité pour les patients COVID-19 ayant reçu de l’hydroxychloroquine. https://www.brighamandwomens.org/about-bwh/newsroom/press-releases-detail?id=3592

    2 Brigham and Women’s Hospital, 30 mars 2020. Deux essais cliniques sur le remdesivir en cours au Brigham and Women’s Hospital. https://www.brighamhealthonamission.org/2020/03/26/two-remdesivir-clinical-trials-underway-at-brigham-and-womens-hospital/

    3 Xavier Azalbert & Eric Gyssler, 5 juin 2020. De coïncidences en coïncidences, la connexion de Boston sert Remdesivir ? https://www.francesoir.fr/politique-monde/coincidences-coincidences-boston-connexion-serves-remdesivir

    4 Idem.

    5 Nelson D. Schwartz, 31 octobre 2005. La participation croissante de Rumsfeld dans Tamiflu Le secrétaire à la Défense, ancien président du détenteur des droits sur le traitement de la grippe, voit la valeur du portefeuille augmenter. https://money.cnn.com/2005/10/31/news/newsmakers/fortune_rumsfeld/

    6 George F. Will, 7 février 2002. Guerre et santé. https://www.washingtonpost.com/archive/opinions/2002/02/07/war-and-health/c1e5dfb2-c373-45ef-87d1-eb89f0db557c/

    7 Bibliothèque George W Bush, 30 mars 2020.  https://twitter.com/gwblibrary/status/1244601539227942914?lang=en

    8 Jonathan Grein, Norio Ohmagari, et al, 11 juin 2020. Utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de Covid-19 sévère. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007016#article_references

    9 Prof. Stephen Evans & Prof. Adam Finn, 11 avril 2020. Réaction d’experts à une étude sur l’utilisation compassionnelle du remdesivir pour les patients atteints de COVID-19 sévère. https://www.sciencemediacentre.org/expert-reaction-to-a-study-about-compassionate-use-of-remdesivir-for-patients-with-severe-covid-19/

    10 Institut national des allergies et des maladies infectieuses, 25 février 2020. Début de l’essai clinique du NIH sur le remdesivir pour traiter le COVID-19. https://www.niaid.nih.gov/news-events/nih-clinical-trial-remdesivir-treat-covid-19-begins

    11 John H. Beigel, Kay M. Tomashek, et al., 5 novembre 2020. Remdesivir pour le traitement du Covid-19 — Rapport final. https://www.nejm.org/doi/full/10.1056/NEJMoa2007764?query=recirc_mostViewed_railB_article

    12 Laurie Mcginley et Christopher Rowland, 29 avril 2020. Le remdesivir de Gilead améliore le temps de récupération des patients atteints de coronavirus dans l’essai NIH. https://www.seattletimes.com/nation-world/gileads-remdesivir-improves-recovery-time-of-coronavirus-patients-in-nih-trial/

    13 Idem.

    14 Matthew Herper, 22 mai 2020. L’étude Covid-19 détaille les avantages du traitement par le remdesivir, ainsi que ses limites. https://www.statnews.com/2020/05/22/covid-19-study-details-benefits-of-treatment-with-remdesivir-and-also-its-limitations/

    15 Elizabeth Woodworth, 27 août 2020. Remdesivir pour Covid-19 : 1,6 milliard de dollars pour un médicament « modestement bénéfique » ? https://www.globalresearch.ca/remdesivir-covid-19-1-6-billion-modestly-beneficial-drug/5717690

    16 Mandeep R. Mehra, Sapan S. Desai, et al., 29 mai 2020. Hydroxychloroquine ou chloroquine avec ou sans macrolide pour le traitement du COVID-19 : une analyse de registre multinational. https://www.thelancet.com/pdfs/journals/lancet/PIIS0140-6736(20)31180-6.pdf

    17 Martin J. Vincent, Eric Bergeron, et al., 22 août 2005. La chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1232869/

     

    Chapitre VIII

    Le « vaccin » COVID de Big Pharma

     

     

    Nos enfants sont les victimes

    Élève au Lycée Valabre de Luynes-Gardannem, Aix-en-Provence, 16 ans  Sofia Benharira   est décédée le 21 septembre [2021] oui, 7 jours après avoir reçu le vaccin mortel de Pfizer. Deux crises cardiaques, thrombose. Puisse-t-elle reposer en paix.

    ***

    “L’amie de 13 ans de sa fille qui n’a pas voulu prendre le vaccin COVID-19. « Son cœur s’est arrêté. Elle est en soins intensifs. Cela se passe ici en ce moment à Halifax, en Nouvelle-Écosse, parce qu’elle voulait jouer au soccer. 

    Elle ne voulait pas prendre le vaccin. Mais quand notre premier ministre a rendu obligatoire le vaccin pour les enfants qui font du sport. …. 

    “Je suis dégoûté de notre gouvernement.”

    (Voix puissante d’une mère canadienne)

    ***

    « Hier soir, nous avons eu des nouvelles de France d’un jeune homme de 22 ans décédé neuf heures après avoir été vacciné. Il voulait voyager en vacances en Grèce. « Il voulait juste vivre, dit son père. … c’était mon fils unique, et il est mort, tué par un vaccin merdique qui n’a jamais été validé ni correctement testé ». 

    Les médias grand public ont fourni leur propre interprétation en citant des « sources médicales faisant autorité ».

    « Ce n’est pas le vaccin qui a déclenché la mort de Maxime Beltra. Il est mort d’une réaction allergique, ont-ils dit: “une probable allergie alimentaire grave, selon des sources médicales”.

    Ce n’est pas une fausse nouvelle faisant autorité , citant des responsables de l’hôpital. Aujourd’hui Nos pensées vont à Maxime Beltra et sa famille.

    ***

    Si vous permettez que cela se produise [vaccin], je vous garantis qu’il y aura  des décès évitables d’enfants en parfaite santé  et des maladies graves chez dix fois plus. Et sans bénéfice possible. Sachant ce que je sais de 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents dont nous avons la charge ne peut être classé d’aucune autre manière que le meurtre »- Dr Michael Yeadon, scientifique éminent, ancien vice-président Président de Pfizer

    « Trois médecins de l’Ontario sont décédés après que l’hôpital où ils travaillaient a commencé à administrer la quatrième injection de rappel à son personnel. Est-ce une coïncidence ou sont-ils victimes de cette diabolique campagne mondiale de vaccination ? – Mark Taliano, auteur, associé de recherche du Centre de recherche sur la mondialisation

    “Cette campagne de vaccination restera comme le plus grand scandale de l’histoire médicale, … de plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité.”  – Députée Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022

     

    Oui, c’est un vaccin tueur. Ce message doit être fort et clair. Cela se passe partout dans le monde: des enfants et des adolescents meurent. Crimes contre l’humanité, crimes contre nos enfants. 

    Les autorités sanitaires sont régulièrement chargées de catégoriser les décès et les blessures liés au vaccin au COVID-19: « Les vaccinés meurent du COVID ». C’est un gros mensonge. 

     

    Introduction

    Le vaccin a été lancé le 9 novembre 2020, à peine six mois après le confinement du 11 mars 2020. Ces deux mandats politiques interdépendants constituent les piliers stratégiques de la crise du COVID:

  • Le confinement a été un acte de guerre économique et sociale dirigé contre toute l’humanité.
  • Abondamment documenté (à partir du début de 2021), le vaccin à ARNm COVID-19 est une substance toxique qui a entraîné une tendance à la hausse soutenue de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin.
  • Des rapports évalués par des pairs confirment les causes des décès et des blessures liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, la thrombose, la myocardite et la fertilité.

    Les impacts du vaccin sont également documentés par un rapport secret de Pfizer qui a été publié sous le régime de la liberté d’information (voir l’analyse ci-dessous).

    Vidéo : Impact des vaccinations COVID sur la mortalité (décembre 2020 – avril 2021, pays sélectionnés), cliquez ici pour regarder.

    Les derniers chiffres officiels  au moment de la rédaction (3 avril 2022) indiquent environ: 

    69 053 décès liés à l’injection de COVID-19 et 10 997 126 blessures pour l’UE, les États-Unis et le Royaume-Uni combinés pour une population de 830 millions de personnes.1

    Mais seule une petite fraction des victimes ou des familles des personnes décédées passera par le processus fastidieux de déclaration des décès et des événements indésirables liés au vaccin aux autorités sanitaires nationales.

    De plus, les autorités sanitaires participent activement à la dissimulation des décès et des blessures résultant du « vaccin » COVID-19 « non approuvé » et « expérimental ».

    Sur la base de données historiques (Electronic Support for Public Health–Vaccine Adverse Event Reporting System (ESPH-VAERS) p. 6):

    « Les événements indésirables liés aux médicaments et aux vaccins sont courants, mais sous-déclarés. … moins de 0,3 % de tous les événements indésirables liés aux médicaments et 1 à 13 % des événements graves sont signalés à la Food and Drug Administration (FDA). De même, moins de 1 % des événements indésirables liés aux vaccins sont signalés. (nous soulignons)2

    Il s’agit de statistiques officielles basées sur un processus formel d’enregistrement des décès et des blessures. Le nombre réel de décès et de blessures provoqués par le vaccin à ARNm est beaucoup plus élevé.

    Multipliez les chiffres par le paramètre pertinent pour obtenir les nombres RÉELS; nous parlons de chiffres très élevés.

     

    L’ARNm “Vaccin”. Agenda caché? 

    Le vaccin ne sauve pas de vies et ne contient pas la pandémie car il n’y a pas de pandémie. C’est une opération lucrative pour Big Pharma dans les centaines de milliards de dollars.

    De plus, ce n’est pas un vaccin ponctuel. Plusieurs doses sont envisagées sur plusieurs années.

    Il est appliqué dans le monde entier et renforcé par de puissants intérêts financiers. Pas un seul pays, à l’exception du Burundi, de la Tanzanie et d’Haïti, n’a eu le courage de refuser le vaccin à ARNm.

    Bien qu’il n’y ait aucune preuve fiable, il convient de noter que les présidents de la Tanzanie et du Burundi sont morts dans des circonstances mystérieuses.

    Haïti était le seul pays de l’hémisphère occidental à refuser catégoriquement de mettre en œuvre le vaccin à ARNm.

    Dans une ironie amère, immédiatement après l’assassinat du président Jovenel Moise le 7 juillet 2021, le président Joe Biden a rapidement envoyé un demi-million de doses de vaccin (et plus à venir, avec l’aimable autorisation de l’Oncle Sam) livrées par COVAX à Port-au-Prince six jours après le décès de Moise.3

    Cette première expédition vers Haïti faisait partie d’un programme d’aide américain consistant en  500 millions de doses du «vaccin tueur» qui devait être envoyé à un grand nombre de pays en développement.  

     

    Beaucoup d’argent pour Big Pharma

    Le gouvernement américain a commandé 100 millions de doses de vaccin au lendemain du confinement du 11 mars 2020. L’UE a acheté plus de 1,8 milliard de doses, ce qui représente quatre fois la population de l’Union européenne. C’est beaucoup d’argent pour Big Pharma, des paiements généreux aux politiciens corrompus aux dépens des contribuables.

    L’objectif est finalement de gagner de l’argent, en vaccinant la planète entière de 7,9 milliards de personnes contre le SRAS-CoV-2.

    Le vaccin COVID nécessite au moins trois doses. Il s’agit  du plus grand projet de vaccin de l’histoire mondiale et de la plus grande opération lucrative pour Big Pharma.

    Dans le monde entier, les gens sont amenés à croire que le vaccin corona est une solution. Et cette « normalité » sera alors rétablie.

     

    Le vaccin à ARNm est « non approuvé » et « expérimental » 

    Comment se fait-il qu’un vaccin contre le virus SARS-CoV-2, qui, dans des conditions normales, prendrait des années à se développer, ait été rapidement lancé le 9 novembre 2020?

    De plus, le vaccin annoncé par Pfizer, Moderna Inc, AstraZeneca et Johnson & Johnson (J&J) est basé sur une technologie expérimentale  d’ARNm d’édition de gènes qui a une incidence sur le génome humain.

    Couplé à l’initiative du vaccin à ARNm, s’ajoute le développement d’un passeport dit numérique qui est actuellement imposé à des populations entières (voir analyse ci-dessous).

    Et pourquoi avons-nous besoin d’un vaccin contre le COVID-19 alors que l’OMS, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis ainsi que de nombreux scientifiques ont confirmé sans équivoque que le COVID-19 est “similaire à la grippe saisonnière”? (Voir analyse au chapitre III)

    Quatre grandes entreprises, dont Pfizer Inc, Moderna Inc, AstraZeneca et Johnson & Johnson (J&J), sont impliquées dans la commercialisation du vaccin expérimental à ARNm avec le soutien indéfectible des gouvernements nationaux.

    Aux États-Unis, le «feu vert» pour commercialiser le vaccin expérimental à ARNm a été accordé en décembre 2020, malgré le fait que, selon la FDA, le vaccin est un «produit non approuvé».

    La FDA, dans une déclaration ambiguë, a fourni une soi-disant autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) au vaccin Pfizer-BioNTech, à savoir “pour permettre l’utilisation d’urgence du produit non approuvé, …  pour une immunisation active …”4 (voir ci-dessous)

     

    Capture d’écran de la FDA

     

    Il y a quelque chose de louche et de « contradictoire » dans cette affirmation. Le vaccin expérimental à ARNm de Pfizer est à la fois « non approuvé » et « autorisé ».

    J’ai vérifié cette déclaration auprès d’un éminent avocat. Il est manifestement illégal de commercialiser un « produit non approuvé ».

    Aux États-Unis, le vaccin Pfizer-Moderna a été classé par le CDC comme un « médicament expérimental ». La clause « d’usage d’urgence » est là pour justifier le lancement de ce que l’on pourrait qualifier de « drogue illégale ».

    Il y a une campagne de peur en cours mais il n’y a pas d'”urgence” qui justifie “l’utilisation d’urgence”. Pourquoi?

  • L’OMS et le CDC ont tous deux confirmé que le COVID-19 est  “similaire à la grippe saisonnière”; ce n’est pas un virus tueur.
  • Le test PCR utilisé pour estimer les “cas positifs confirmés” est défectueux. Depuis mars 2020, les «chiffres» du COVID-19 ont été manipulés, augmentés.
  • La validité globale du test PCR (et des estimations) tel qu’appliqué depuis janvier 2020  a été remise en cause (janvier 2021) par l’OMS (voir notre analyse au chapitre III).
  •  

    Pfizer a un casier judiciaire: “commercialisation frauduleuse” d’un “produit non approuvé”

    Retour en arrière en 2009. Dans une  décision historique du ministère américain de la Justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable à des accusations criminelles.5 Il s’agissait  du « plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé » de l’histoire du ministère de la Justice des États-Unis:

    Le géant pharmaceutique américain Pfizer Inc. et sa filiale Pharmacia & Upjohn Company Inc. … ont accepté de payer 2,3 milliards de dollars, le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de l’histoire du ministère de la Justice, pour résoudre la responsabilité pénale et civile découlant de la promotion illégale de certains produits pharmaceutiques , … » (2 septembre 2009)6

     

    Capture d’écran du ministère de la Justice

     

    Pour visionner la vidéo C-Span, cliquez ici.

     

    Déjà Vu: Flash Forward jusqu’en 2020-2022

    Comment diable pouvez-vous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable à des accusations criminelles par le ministère américain de la Justice, y compris « marketing frauduleux » et  « violation criminelle de la Food, Drug and Cosmetic Act »?

    Je dois cependant mentionner qu’en 2009, Pfizer a été pour ainsi dire « mis en probation »  par le ministère américain de la Justice.7 Elle était obligée de conclure  « un accord d’intégrité d’entreprise » avec l’Inspecteur général du Département de la santé et des services sociaux (DHHS). Cet accord prévoyait « des procédures et des examens pour… éviter et détecter rapidement » une mauvaise conduite de la part de Pfizer Inc.

    Johnson & Johnson et « l’épidémie d’opioïdes » 

    Au plus fort de la crise corona, à peine couverte par les médias, coïncidant avec le lancement du vaccin COVID-19 début novembre 2020, Johnson & Johnson (et ses trois distributeurs) (impliqués dans la commercialisation d’ opioïdes sur ordonnance)  “ont atteint un règlement provisoire de plusieurs milliards  avec les comtés et les villes qui les ont poursuivis en dommages-intérêts ».8 Le recours collectif était « la plus grande affaire devant un tribunal fédéral de l’histoire américaine » (pour plus de détails, voir le chapitre VI concernant « Les impacts sur la santé mentale »).

    Ces antécédents juridiques sont-ils pertinents pour comprendre l’initiative vaccinale de Big Pharma?

    Johnson & Johnson est actuellement impliqué dans la production et la commercialisation d’un  vaccin à vecteur viral adénovirus COVID qui implique également une thérapie génique (le recours collectif J&J ci-dessus est l’un parmi plusieurs procès contre J&J).

     

    Cobayes humains

    En ce qui concerne le vaccin COVID, le “marketing frauduleux” est un euphémisme. Le vaccin à ARNm annoncé par Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson et AstraZeneca est un “médicament non approuvé” basé sur la technologie “expérimentale”  d’édition de gènes qui a une incidence sur le génome humain.9

    De plus, les tests de laboratoire standard sur des animaux utilisant des souris ou des furets n’ont pas été effectués. Pfizer “est allé directement aux ‘cobayes’ humains.”10

    « Les tests humains ont commencé fin juillet et début août [2020]. Trois mois, c’est du jamais vu pour tester un nouveau vaccin. Plusieurs années est la norme. (F. William Engdahl, Global Research, novembre 2020)11

    Le Dr Michael Yeadon, ancien vice-président de Pfizer,  a pris une position ferme: 

    « Tous les vaccins contre le virus SARS-COV-2 sont par définition nouveaux. Aucun vaccin candidat n’est… en développement depuis plus de quelques mois.

    “Si un tel vaccin est approuvé pour une utilisation dans des circonstances qui ne sont pas EXPLICITEMENT expérimentales, je pense que les destinataires sont induits en erreur dans une mesure criminelle.”12

    Début décembre 2020,  le Dr Michael Yeadon et le  Dr Wolfgang Wodarg  « ont déposé une demande auprès de l’EMA », l’Agence européenne des médicaments responsable de l’approbation des médicaments à l’échelle de l’UE, pour la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin contre le SRAS-CoV-2, notamment l’étude Pfizer-BioNtech sur le BNT162b (numéro EudraCT 2020-002641-42).13

     

    Historique du projet de vaccin contre le SRAS-CoV-2 

    Il existe de nombreuses contradictions. L’analyse ci-dessous aborde les premières étapes du projet de vaccin ainsi que le rôle de la simulation 201 d’une pandémie de coronavirus sous les auspices de la Johns Hopkins School of Medicine qui s’est tenue à New York le 18 octobre 2019 (voir chapitre I).

    Le vaccin COVID est une opération Big Pharma de plusieurs milliards de dollars qui contribuera à augmenter la dette publique de plus de 150 gouvernements nationaux.

    Soutenu par la campagne de peur, l’argent – plutôt que la santé publique – est le moteur de cette initiative.

    Le partenariat GSK-Pfizer 

    Cinq mois avant le début de la crise du COVID-19, deux des plus grands conglomérats pharmaceutiques mondiaux ont décidé de s’associer dans une relation stratégique. En août 2019, GSK a confirmé la formation d’un partenariat majeur avec Pfizer intitulé Consumer  Health Joint Venture.14

    Alors que la relation se limiterait aux “marques de santé grand public de confiance”, l’accord prévoyait des procédures financières conjointes, y compris des projets d’investissement conjoints de plusieurs milliards de dollars. Bien qu’elle ne constitue pas une fusion, l’alliance GSK-Pfizer implique une intégration sélective et une collusion de facto dans de nombreuses activités des deux sociétés, y compris le marché des vaccins.

    « L’achèvement de la joint-venture avec Pfizer marque le début de la prochaine phase de notre transformation de GSK. C’est un moment important pour le Groupe, jetant les bases de deux grandes entreprises, l’une dans la Pharmacie et les Vaccins et l’autre dans la Santé Grand Public. (GSK, 1er août 2019, nous soulignons)15

    Cette relation GSK-Pfizer englobe également un réseau de sociétés pharmaceutiques partenaires, de laboratoires de recherche, d’instituts de virologie, d’entités militaires et biotechnologiques, etc. dont beaucoup sont actuellement impliqués dans l’initiative de vaccin COVID.

    À l’heure actuelle, une poignée de sociétés multinationales, dont GSK et Pfizer, contrôlent 80 % du marché mondial des vaccins. En vertu de l’accord entre les deux sociétés, GSK-Pfizer devrait jouer un rôle dominant et coordonné en ce qui concerne le vaccin COVID-19.

     

    L’exercice de simulation de l’événement Coronavirus 201 d’octobre 2019. Développement d’un “vaccin efficace”

    Le coronavirus a été initialement nommé nCoV-19  par le CEPI et l’OMS – exactement le même nom que celui adopté dans le WEF-Gates-Johns Hopkins Event 201 (2019-nCov) concernant un exercice de simulation de coronavirus tenu à la mi-octobre 2019. Il Ce n’est que plus tard que le COVID-19 a été identifié par l’OMS non pas comme un virus mais comme une maladie: maladie à  coronavirus  (COVID-19), le virus a été identifié comme « syndrome respiratoire aigu sévère » coronavirus 2 (SRAS-CoV-2).

    La simulation Event 201 Johns Hopkins (examinée au chapitre I)  a abordé le développement d’un vaccin efficace  en réponse à des millions de cas lors de la simulation d’octobre 2019 d’une épidémie d’un nouveau coronavirus intitulé 2019-nCoV. La simulation annonçait un scénario dans lequel toute la population de la planète serait affectée :

    “Nous avons mené une simulation de pandémie virale massive…, 65 millions de décès dans le monde.”

    « Au cours des premiers mois de la pandémie, le nombre cumulé de cas [dans la simulation] augmente de façon exponentielle, doublant chaque semaine. Et à mesure que les cas et les décès s’accumulent, les conséquences économiques et sociétales deviennent de plus en plus graves.

    Le scénario se termine au bout de 18 mois, avec 65 millions de décès. La pandémie commence à ralentir en raison de la diminution du nombre de personnes sensibles. La pandémie se poursuivra à un certain rythme jusqu’à ce qu’il y ait un vaccin efficace ou jusqu’à ce que 80 à 90 % de la population mondiale ait été exposée. À partir de ce moment, il est probable qu’il s’agisse d’une maladie infantile endémique.16

    Pour regarder la vidéo du Forum économique mondial, The 201 Johns Hopkins Simulation,  cliquez ici.

     

    Le rôle central de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI)

    L’entité principale de l’initiative de vaccin contre le nouveau coronavirus est la  Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI),  une organisation parrainée et financée par le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Bill et Melinda Gates.

    Deux semaines après l’identification officielle du virus par la République populaire de Chine (7 janvier 2020), un vaccin contre le nouveau coronavirus a été annoncé par le CEPI lors du Forum économique mondial de Davos du 20 au 24 janvier 2020.

    Notez la chronologie: Le développement du vaccin 2019-nCoV a été annoncé au Forum économique mondial (WEF) de Davos une semaine avant le lancement officiel par l’OMS d’une urgence mondiale de santé publique (30 janvier 2020) à un moment où le le nombre de « cas confirmés » dans le monde (hors Chine) était de 83 (voir chapitre II).

    La pandémie a été lancée par l’OMS le 11 mars 2020. Et cinq jours plus tard, à peine couverts par les médias, les premiers tests impliquant des volontaires humains ont été menés par Moderna à Seattle le 16 mars 2020.

    Les preuves suggèrent que le projet de vaccin a été lancé à un stade beaucoup plus précoce. Selon  Richard Hatchett, PDG de la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI), le projet de développement d’un vaccin a commencé non seulement avant la découverte et l’identification du coronavirus (7 janvier 2020) mais plusieurs mois avant la simulation d’octobre 2019 exercice (voir entretien avec Richard Hatchett ci-dessous).17

    Le CEPI, au nom de la Fondation Gates et du WEF, recherchait un rôle de « monopole » dans le secteur de la vaccination dont l’objectif était un « projet mondial de vaccins », en partenariat avec un grand nombre de « candidats ».

    Le PDG Stéphane Bancel  de Moderna Inc. a décrit les caractéristiques du vaccin à ARNm lors d’une conférence de presse du Forum économique mondial à Davos (janvier 2020). “Nous injectons des instructions … l’ARNm est une plate-forme.” Il a confirmé que la recherche était déjà bien avancée en collaboration avec l’INS et le CEPI. Cliquez ici pour voir la vidéo.

    Image: Stéphane Bancel, PDG de Moderna (sous licence GFDL, utilisation gratuite)

    Le 31 janvier 2020, au lendemain du lancement officiel par l’OMS de l’urgence mondiale de santé publique (USPPI) et de la décision de Trump de réduire les voyages aériens avec la Chine, le CEPI a annoncé son partenariat avec  CureVac AG, une société biopharmaceutique basée en Allemagne.

    Quelques jours plus tard, début février 2020, le CEPI “a annoncé que le principal fabricant de vaccins GSK autoriserait l’utilisation de ses adjuvants propriétaires  – des composés qui renforcent l’efficacité des vaccins – dans la riposte” (la pandémie a été officiellement lancée le 11 mars 2020).18

    Il y avait de nombreux “vaccins potentiels en préparation” avec “des dizaines de groupes de recherche à travers le monde se précipitant pour créer un vaccin contre le COVID-19”.

     

    Le programme mondial de vaccination contre la COVID-19 

    Le CEPI (pour le compte de Gates-WEF, qui a financé l’exercice de simulation 201) a joué un rôle clé dans un programme de vaccination mondial à grande échelle en partenariat avec des sociétés de biotechnologie, Big Pharma, des agences gouvernementales ainsi que des laboratoires universitaires.

     

    Capture d’écran du Twitter du CEPI  

     

    La déclaration précédente du CEPI a été faite près de deux mois avant la déclaration officielle d’une pandémie le 11 mars 2020. Le nombre de cas confirmés hors de Chine au 30 janvier 2020 était de 83.

    “Nous avons des conversations avec un large éventail de partenaires potentiels”. Et l’essentiel de ces conversations est: quel est le plan pour fabriquer de très grandes quantités de vaccins dans un délai potentiellement pertinent pour ce que les gens semblent être de plus en plus certains qu’il s’agira d’une pandémie, si ce n’est déjà fait ? … » [Richard Hatchett, PDG du CEPI  dans une interview avec stat.news.com] (soulignement ajouté)19

     

    Connaissance préalable de la pandémie de COVID. Le vaccin à ARNm était déjà en préparation

    Fait important, Hatchett a confirmé que le projet de développement d’un vaccin a commencé non seulement avant la découverte et l’identification du coronavirus (7 janvier 2020) mais plusieurs mois avant l’exercice de simulation d’octobre 2019 201.

    «Nous l’avons fait au cours de la dernière année environ  [début 2019]… Nous utilisons les informations que nous avons collectées et cette équipe réfléchit maintenant aux opportunités de mise à l’échelle de vaccins de différents types. C’est un travail en cours. Pour certaines des technologies, le transfert de technologie [à un fabricant] peut être quelque chose qui pourrait être fait dans un laps de temps pertinent pour l’épidémie, potentiellement.

    Je pense qu’il sera vraiment important d’engager les gens qui ont accès à une capacité de production vraiment importante. Et avoir les grands producteurs à la table — en raison de leur profondeur, en raison de leur expérience, en raison de leurs ressources internes — serait très, très important.

    Les vaccins candidats seront très, très rapides. Le Dr Anthony Fauci, directeur du NIAID [qui a semé la panique sur la télévision en réseau], a déclaré publiquement qu’il pensait que l’essai clinique du vaccin Moderna pourrait avoir lieu dès le printemps [2020]. (nous soulignons)20

    Le directeur du CEPI, Richard Hatchettle Dr Anthony Fauci, qui dirige le NIAID, et le PDG de Moderna,  Stéphane Bencel, avaient-ils une “connaissance préalable” de l’apparition de la pandémie de COVID-19?

    Les déclarations de Hatchett suggèrent qu’ils travaillaient déjà sur un vaccin à ARNm début 2019. De plus, le  12 décembre 2019, deux semaines avant la confirmation officielle de l’existence d’un soi-disant « nouveau coronavirus » par les autorités sanitaires chinoises, Moderna Inc.  en collaboration avec l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) avait déjà «envoyé des candidats vaccins contre le coronavirus à ARNm»  à un chercheur de laboratoire de l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill  (voir Joseph Mercola, 10 juillet 2021).21

    Les conglomérats de vaccins parrainés par le CEPI avaient déjà planifié leurs investissements bien avant l’urgence sanitaire mondiale (déclarée par l’OMS le 30 janvier 2020).

    Moderna a annoncé le 24 février 2020 le développement d'”un vaccin expérimental (messager) à ARNm COVID-19, connu sous le nom d’ ARNm-1273“. “Le lot initial du vaccin a déjà été expédié aux chercheurs du gouvernement américain du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID)” dirigé par le Dr Antony Fauci.

    Dans les mots de Fauci:

    “Trouver un vaccin sûr et efficace pour prévenir l’infection par le SRAS-CoV-2 est une priorité urgente de santé publique… Cette étude de phase 1, lancée à une vitesse record, est une première étape importante vers la réalisation de cet objectif.”22

    Ci-dessous, des extraits de la déclaration de Moderna qui indique « prescience » ainsi que sa collaboration avec le NIAID d’Anthony Fauci dès le 13 janvier 2020:23

    Les travaux de Moderna sur un vaccin potentiel contre le COVID-19

    Moderna est fière de faire partie des nombreux groupes qui travaillent pour répondre à cette urgence sanitaire mondiale persistante. Cette page résume les étapes clés de notre travail pour faire progresser notre vaccin candidat (ARNm-1273) et répond aux questions fréquemment posées.

    Chronologie de notre réponse jusqu’au 16 mars 2020

    Le 11 janvier 2020, les autorités chinoises ont partagé la séquence génétique du nouveau coronavirus.

    Le 13 janvier 2020, les National Institutes of Health (NIH) des États-Unis et l’équipe de recherche sur les maladies infectieuses de Moderna ont finalisé la séquence de l’ARNm-1273, le vaccin de la société contre le nouveau coronavirus. À cette époque, l’ Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) , qui fait partie du NIH, a révélé son intention de mener une étude de phase 1 utilisant le vaccin ARNm-1273 en réponse à la menace du coronavirus et Moderna s’est mobilisée pour la fabrication clinique. La fabrication de ce lot a été financée par la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI).

    Le 7 février 2020, le premier lot clinique, y compris le remplissage et la finition des flacons, a été achevé, soit un total de 25 jours entre la sélection de la séquence et la fabrication du vaccin. Le lot a ensuite été soumis à des tests analytiques en vue de sa libération.

    Le 24 février 2020, le lot clinique a été expédié de Moderna au NIH pour être utilisé dans leur étude clinique de phase 1.

    Le 4 mars 2020, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a terminé son examen de la demande de nouveau médicament expérimental (IND) déposée par le NIH pour l’ARNm-1273 et a autorisé la poursuite de l’étude pour commencer les essais cliniques.

    Le 16 mars 2020, le NIH a annoncé que le premier participant à son étude de phase 1 pour l’ARNm-1273 a reçu une dose, un total de 63 jours entre la sélection de la séquence et le premier dosage humain.

    Alors que Moderna Inc. avait initialement déclaré que les premiers essais cliniques commenceraient fin avril (2020),  les tests impliquant des volontaires humains ont commencé à la mi-mars  2020 à Seattle (gardez à l’esprit que la pandémie a été officiellement lancée le 11 mars 2020).24 

    Des chercheurs de Seattle ont donné le premier coup à la première personne lors d’un test d’un vaccin expérimental contre le coronavirus lundi – déclenchant une chasse mondiale à la protection alors même que la pandémie augmente. …

    Certains des volontaires sains soigneusement sélectionnés pour l’étude, âgés de 18 à 55 ans, recevront des doses plus élevées que d’autres pour tester la force des inoculations. Les scientifiques vérifieront s’il y a des effets secondaires et prélèveront des échantillons de sang pour tester si le vaccin stimule le système immunitaire, à la recherche d’indices encourageants comme le NIH trouvé plus tôt chez les souris vaccinées.

    « Nous ne savons pas si ce vaccin induira une réponse immunitaire ou s’il sera sûr. C’est pourquoi nous faisons un essai », a souligné Jackson. “Ce n’est pas au stade où il serait possible ou prudent de le donner à la population générale.” (Nouvelles Fox Locales)25

     

    Le vaccin COVID et la plateforme d’identité numérique ID2020

    Alors que le CEPI avait annoncé le lancement d’un vaccin mondial lors du Forum économique mondial de Davos, une autre entreprise importante et connexe était en cours. Il s’agit de l’  Agenda ID2020  qui, selon Peter Koenig , constitue « un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plate-forme d’identité numérique »: 

    “L’Agenda ID2020 exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée à la biométrie.” (Peter Koenig, 12 mars 2020)26

    Les partenaires fondateurs d’ID2020 sont Microsoft, la Fondation Rockefeller et l’ Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) (une initiative de la Fondation Gates).

    GAVI et ses partenaires (OMS, UNICEF, Banque mondiale et FMI) ont été activement impliqués dans la mise en œuvre (financement) du projet mondial de vaccins intitulé COVAX.

    Les principales entités impliquées dans la coordination de COVAX sont l’Alliance du vaccin (GAVI), la Coalition for Epidemic Preparedness Innovations (CEPI) et l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Les trois entités reçoivent le soutien financier de la Fondation Bill et Melinda Gates.

     

    Capture d’écran de l’OMS

     

    Il convient de noter que l’  Alliance ID2020 a tenu son sommet à New York, intitulé “Rising to the Good ID Challenge”, le 19 septembre 2019, exactement un mois avant l’exercice de simulation nCov-2019 intitulé Event 201 à Johns Hopkins à New York:

    Est-ce juste une coïncidence si ID2020 est déployé au début de ce que l’OMS appelle une pandémie? – Ou faut-il une pandémie pour « déployer » les multiples programmes dévastateurs d’ID2020? (Peter Koenig, mars 2020)27

    ID2020 s’inscrit dans un projet de « gouvernance mondiale » qui, s’il était appliqué, déroulerait les contours de ce que certains analystes ont décrit comme un État policier mondial  englobant par la vaccination (puce embarquée) les données personnelles de plusieurs milliards de personnes dans le monde.

    Selon le Dr David Martin  (cité par Makia Freeman):

    «Ce n’est pas un vaccin… utiliser le terme vaccin pour faire passer cette chose sous des exemptions de santé publique … Il s’agit d’un ARNm emballé dans une enveloppe adipeuse qui est délivrée à une cellule. Il s’agit d’un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine afin qu’elle devienne un créateur d’agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin ! Les vaccins sont en fait un terme légalement défini … en vertu de la loi sur la santé publique… selon les normes du CDC et de la FDA, et un vaccin doit spécifiquement stimuler à la fois une immunité chez la personne qui le reçoit, mais il doit également perturber la transmission.28 

     

    Blessures cachées causées par le vaccin COVID-19: les caillots sanguins microscopiques

    De nombreuses personnes vaccinées ne seront pas immédiatement conscientes des blessures subies. Dans de nombreux cas, ces derniers “événements indésirables” ne sont pas perceptibles ni enregistrés. Alors que les «gros caillots sanguins» résultant du vaccin sont révélés et signalés par les personnes vaccinées, une importante étude du Dr Charles Hoffe du Canada  suggère que le vaccin à ARNm génère des «caillots sanguins microscopiques».

    “Les caillots sanguins dont nous entendons parler et dont les médias prétendent qu’ils sont très rares sont les gros caillots sanguins qui provoquent des accidents vasculaires cérébraux et apparaissent sur les tomodensitogrammes, les IRM, etc.

    Les caillots dont je parle sont microscopiques et trop petits pour être trouvés sur n’importe quel scanner. Ils ne peuvent donc être détectés qu’avec le test des D-dimères. 

    “Ces personnes n’ont aucune idée qu’elles ont même ces caillots sanguins microscopiques. La partie la plus alarmante de cela est qu’il y a certaines parties du corps comme le cerveau, la moelle épinière, le cœur et les poumons qui ne peuvent pas se régénérer. Lorsque ces tissus sont endommagés par des caillots sanguins, ils sont endommagés de façon permanente.

    “Ces tirs causent d’énormes dégâts et le pire reste à venir.”29

    Cliquez ici pour regarder son interview avec Laura Lynn Tylor Thompson (également disponible sur  la chaîne Rumble).

    Capture d’écran de la vidéo

     

    Savons-nous ce qu’il y a à l’intérieur du flacon de vaccin Pfizer?

    Les causes des décès et des blessures liés au vaccin n’ont pas été abordées par les autorités sanitaires.

    Qu’y a-t-il à l’intérieur du flacon de vaccin? Les autorités sanitaires nationales n’ont pas rendu publics les résultats de leurs examens de laboratoire. On ne sait pas si ces examens de laboratoire des flacons de vaccins ont été effectués.

    Vous trouverez ci-dessous un examen des analyses et des recherches en laboratoire menées par l’équipe espagnole indépendante de La Quinta Columna.

    Nanoparticules d’oxyde de graphène

    Selon des examens de laboratoire menés par l’ équipe de recherche espagnole La Quinta Columna, des nanoparticules d’oxyde de graphène ont été détectées dans le flacon du vaccin à ARNm de Pfizer.30

    Les résultats préliminaires de leurs recherches (analyse par microscopie électronique et spectroscopie) sont d’une grande portée. L’oxyde de graphène est une toxine qui déclenche des thrombus et la coagulation du sang. Il a également un impact sur le système immunitaire. L’oxyde de graphène accumulé dans les poumons peut avoir des effets dévastateurs.

    Cliquez ici pour regarder l’interview de Ricardo Delgado Martin de La Quinta Columna.

    Capture d’écran de la vidéo / Copyright Global Research

     

    Les résultats de l’étude espagnole, qui n’ont pas encore été pleinement confirmés et vérifiés, suggèrent que les décès et les “événements indésirables” liés au vaccin enregistrés pourraient être le résultat de nanoparticules d’oxyde de graphène contenues dans le flacon de vaccin COVID.

    De même, nous appelons les autorités sanitaires nationales des 193 États membres de l’ONU qui vaccinent actuellement leur population à mener leur propre étude et analyse du flacon de vaccin. Et si de l’oxyde de graphène est détecté, le programme de vaccination doit être immédiatement interrompu.

    Voir le résumé de leur rapport  intitulé “Graphene Oxide Detection in Aqueous Suspension, Observational study in Optical and Electron Microscopy”. Lire l’ étude complète (en anglais).31

    Également importantes (reconnues par les autorités sanitaires nationales), les nanoparticules d’oxyde de graphène sont également contenues dans les  masques faciaux.32

     

    Les propriétés électromagnétiques du vaccin à ARNm

    Qu’est-ce qui déclenche les effets électromagnétiques détectés chez les personnes vaccinées?

    Ces effets ont été amplement documentés et confirmés par des sources indépendantes, y compris les personnes vaccinées. Les autorités sanitaires nationales n’ont pas fourni d’explication.

    Voir l’étude menée par le Forum Européen de Vigilance Vaccinale.33

    Vous trouverez ci-dessous deux vidéos produites par l’équipe de recherche espagnole de La Quinta Columna.

    Pour visionner la vidéo ci-dessous, cliquez ici.

     Capture d’écran de la vidéo

     

    Pour regarder la vidéo ci-dessous, cliquez  ici.

     

     Capture d’écran de la vidéo 

     

    Grande Pharmacie. Le quasi-monopole mondial de Pfizer

    Des centaines de milliards de dollars sont en jeu. Il s’agit du projet de vaccin le plus important, le plus dangereux et le plus coûteux de l’histoire du monde, qui devrait être financé par l’argent des contribuables dans le monde entier, ce qui pèse de manière évidente sur la dette publique de nombreux pays.

    Le programme vaccinal est accompagné d’une « chronologie » consistant en des inoculations récurrentes d’ARNm sur plusieurs années. Comme documenté ci-dessus, il aura des effets dévastateurs sur la mortalité et la morbidité dans le monde entier.

    Ce qui est en jeu, c’est une opération Big Money de plusieurs milliards de dollars pour Big Pharma avec Pfizer en tête.

    Pfizer-BioNTech (allié de Moderna Inc.) est en train de consolider sa position mondiale (quasi-monopole) en écartant ses principaux concurrents dont AstraZeneca et Johnson & Johnson (J&J).

    Pfizer a fait pression sur les politiciens pour qu’ils approuvent leur vaccin à ARNm. Son lobbying politique est également dirigé contre ses concurrents Big Pharma. Selon  le rapport du Bureau of Investigative Journalism:

    Un responsable qui était présent dans les négociations du pays anonyme a qualifié les demandes de Pfizer d'”intimidation de haut niveau” et a déclaré que le gouvernement avait l’impression d’être “pris en otage” afin d’accéder à des vaccins vitaux.34

    Ironiquement, dans l’UE, les décès et blessures signalés ont été utilisés par la Commission européenne pour annuler le renouvellement du contrat avec AstraZeneca, malgré le fait qu’il y avait beaucoup plus de décès et de blessures associés au vaccin Pfizer-BioNTech.

    En avril 2021, la Commission européenne a confirmé qu’elle « mettrait fin aux contrats de vaccins d’AstraZeneca et de J&J à leur expiration ». “Le coup Pfizer primera”. Peu importe votre dose de suivi avec AstraZeneca, les autorités sanitaires ont demandé aux gens d’obtenir leur deuxième ou troisième piqûre avec Pfizer ou Moderna (violant ainsi visiblement les normes médicales).

    Après avoir écarté ses concurrents, Pfizer-BioNTech a fait grimper le prix du flacon de vaccin. Pfizer a littéralement accaparé les marchés européens et américains.

    Un monopole quasi mondial sur les vaccins est en cours de création par une entreprise qui a un casier judiciaire auprès du ministère américain de  la Justice. 

    Le rapport secret de Pfizer

    Le rapport confidentiel Pfizer publié dans le cadre d’une procédure d’accès à l’information (FOI) fournit des données sur les décès et les événements indésirables enregistrés par Pfizer depuis le début du projet de vaccin en décembre 2020 jusqu’à fin février 2021, soit une très courte période (à la plupart des deux mois et demi).

    “En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.”35

    Le vaccin Pfizer BioNTech a été lancé aux États-Unis le 14 décembre après l’octroi d’une autorisation d’utilisation d’urgence le 11 décembre 2020.

    Rapport préparé par: Worldwide Safety Pfizer

    Les informations contenues dans ce document sont exclusives et confidentielles. Toute divulgation, reproduction, distribution ou autre diffusion de ces informations en dehors de Pfizer, de ses sociétés affiliées, de ses licenciés ou des organismes de réglementation est strictement interdite. Sauf accord écrit contraire, en acceptant ou en examinant ces documents, vous acceptez de garder ces informations confidentielles et de ne pas les divulguer à des tiers (sauf si la loi applicable l’exige), ni de les utiliser à des fins non autorisées. »36

    Ironie du sort, les données révélées dans ce «rapport d’initié» réfutent le récit officiel du vaccin colporté par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du “vaccin” à ARNm.

    Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer est une preuve détaillée des impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « gueule du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour confronter et formuler des procédures judiciaires contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

    Devant un tribunal, les  preuves contenues dans ce rapport confidentiel de Big Pharma (couplées aux données sur les décès et les événements indésirables compilées par les autorités nationales de l’UE, du Royaume-Uni et des États-Unis) sont irréfutables: parce que ce sont leurs données et leurs estimations et pas les nôtres.

    Gardez à l’esprit que ses données sont basées sur les cas signalés et enregistrés, qui constituent un petit pourcentage du nombre réel de décès et d’événements indésirables liés au vaccin.

    C’est un mea culpa de facto de la part de Pfizer (oui, c’est un vaccin tueur).

    Pfizer était parfaitement conscient que le vaccin à ARNm qu’il commercialise dans le monde entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

    Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.37

    C’est aussi un mea culpa et une trahison de la part des gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et soudoyés par Big Pharma.

    Au moment d’écrire ces lignes, aucune tentative n’a été faite par les gouvernements pour demander le retrait du vaccin tueur.

    On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies.

    « Tuer est bon pour les affaires »: il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde entier. Et Pfizer a déjà un casier judiciaire (2009) auprès du ministère américain de la justice pour « marketing frauduleux ».

     

    Remarques finales: le passeport vaccinal

    Les données de sources officielles ainsi que celles citées dans le rapport Pfizer confirment sans équivoque que le « vaccin » COVID-19 a entraîné une tendance à la hausse de la mortalité et de la morbidité liées au vaccin.

    Les études du Dr Charles Hoffe, de l’équipe de recherche espagnole (La Quinta Columna), le rapport confidentiel de Pfizer ainsi que de nombreuses autres études confirment sans équivoque que le “vaccin” à ARNm  est un “vaccin tueur”.

    Alors pourquoi les gouvernements font-ils pression sur les gens pour qu’ils se fassent vacciner?

    Les chefs d’État et les chefs de gouvernement du monde entier subissent des pressions, sont soudoyés, cooptés et/ou menacés par de puissants intérêts financiers pour accepter le consensus sur le vaccin COVID.

    Le passeport vaccinal est la fin de partie, qui constitue une transition vers la tyrannie numérique et le dépeuplement  (voir chapitres XIII et XIV).

     

    Notes

    1 Doctors for COVID Ethics, 22 juin 2022. J’accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent au peuple, aux populations qu’ils sont censés servir. https://www.globalresearch.ca/jaccuse-governments-worldwide-lying-you-people-populations-they-purportedly-serve/5750650

    2 Agence pour la recherche et la qualité des soins de santé (AHRQ), Département américain de la santé et des services sociaux, 2010. Support électronique pour la santé publique – Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (ESP:VAERS). https://digital.ahrq.gov/sites/default/files/docs/publication/r18hs017045-lazarus-final-report-2011.pdf

    3 Captaindaretofly, 26 août 2021. Plusieurs présidents des vaccins anti-Covid-19 assassinés, les médias grand public silencieux, les piqûres COVID-19 déployées « par coïncidence » quelques jours plus tard. https://www.globalresearch.ca/several-anti-covid-19-vaccine-presidents-assassined-mainstream-media-silent-covid-19-jabs-coincidentally-rolled-out-just-days-later/5754040

    4 FDA, 3 janvier 2022. Comirnaty et Pfizer-BioNTech COVID-19 Vaccine. https://www.fda.gov/emergency-preparedness-and-response/coronavirus-disease-2019-covid-19/comirnaty-and-pfizer-biontech-covid-19-vaccine#additional

    5 Département de la justice des États-Unis, 2 septembre 2009. Le ministère de la Justice annonce le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de son histoire : Pfizer paiera 2,3 milliards de dollars pour un marketing frauduleux. https://www.justice.gov/opa/pr/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement-its-history

    6 Idem.

    7 Idem.

    8 KHN Morning Briefing, 6 novembre 2020. 4 compagnies pharmaceutiques acceptent un règlement d’opioïdes de 26 milliards de dollars. https://khn.org/morning-breakout/4-drug-companies-agree-to-26-billion-opioid-settlement/

    9 F. William Engdahl, 17 octobre 2021. Ce qu’on ne dit pas sur le vaccin Pfizer contre le coronavirus. “Cochons d’Inde humains” ? https://www.globalresearch.ca/what-not-said-pfizer-coronavirus-vaccine/5729461

    10 Idem.

    11 Idem. 

    12 Voir ceci :  threadreaderapp.com/…/1302725167588798467

    13 Dr Wolfgang Wodarg et Dr Michael Yeadon, 1er décembre 2020. Pétition/Motion pour une action administrative/réglementaire concernant la confirmation des points finaux d’efficacité et l’utilisation des données dans le cadre des essais cliniques suivants. https://2020news.de/wp-content/uploads/2020/12/Wodarg_Yeadon_EMA_Petition_Pfizer_Trial_FINAL_01DEC2020_EN_unsigned_with_Exhibits.pdf

    14 GSK, 1er août 2019. GSK conclut une transaction avec Pfizer pour former une nouvelle coentreprise de soins de santé grand public, leader mondial. https://www.gsk.com/en-gb/media/press-releases/gsk-completes-transaction-with-pfizer-to-form-new-world-leading-consumer-healthcare-joint-venture/

    15 Idem.

    16 Center for Health Security, nd Scénario de l’événement 201. https://www.centerforhealthsecurity.org/event201/scenario.html

    17 Helen Branswell, 6 février 2020. Dans un effort pour développer un vaccin contre le coronavirus, un expert en épidémie voit le “problème le plus difficile” de sa carrière. https://www.statnews.com/2020/02/06/cepi-coronavirus-vaccine-development/

    18 GSK, 3 février 2020. Le CEPI et GSK annoncent une collaboration pour renforcer l’effort mondial de développement d’un vaccin contre le virus 2019-nCoV. https://cepi.net/news_cepi/cepi-and-gsk-announce-collaboration-to-strengthen-the-global-effort-to-develop-a-vaccine-for-the-2019-ncov-virus/

    19 Helen Branswell, 6 février 2020. Dans un effort pour développer un vaccin contre le coronavirus, un expert en épidémie voit le “problème le plus difficile” de sa carrière. https://www.statnews.com/2020/02/06/cepi-coronavirus-vaccine-development/

    20 Idem. 

    21 Joseph Mercola, 11 juillet 2021. NIAID, Moderna avait un candidat vaccin COVID en décembre 2019.  https://www.globalresearch.ca/niaid-moderna-covid-vaccine-candidate-december-2019/5749713

    22 National Institutes of Health, 16 mars 2020. Début de l’essai clinique du NIH sur le vaccin expérimental contre le COVID-19. https://www.nih.gov/news-events/news-releases/nih-clinical-trial-investigational-vaccine-covid-19-begins

    23 Moderna, Inc. 2020. Travaux de Moderna sur un vaccin potentiel contre le COVID-19. https://www.sec.gov/Archives/edgar/data/1682852/000119312520074867/d884510dex991.htm

    24 Mark Prvulovic, 24 février 2020. Le nouveau vaccin COVID-19 de Moderna prêt pour les essais sur l’homme ; Stockez jusqu’à 15 %. https://www.fool.com/investing/2020/02/24/modernas-new-covid-19-vaccine-ready-for-human-tria.aspx

    25 Associated Press, 16 mars 2020. Le test du vaccin contre le coronavirus s’ouvre alors qu’un volontaire à Seattle reçoit le premier vaccin. https://www.q13fox.com/news/coronavirus-vaccine-test-opens-as-volunteer-in-seattle-gets-1st-shot

    26 Peter Koenig, 12 mars 2020. Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « Agenda ID2020 ». La vaccination comme plate-forme pour «l’identité numérique». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153

    27 Idem.

    28 Makia Freeman, 13 novembre 2021. Le vaccin ARNm COVID n’est pas un vaccin. https://www.globalresearch.ca/mrna-covid-vaccine-not-vaccine/5734464

    29 Brian Shilhavy, 14 juillet 2021. Médecin canadien : 62 % de ses patients vaccinés contre la COVID ont des lésions cardiaques permanentes. “Caillots sanguins microscopiques”. https://www.globalresearch.ca/canadian-doctor-62-patients-vaccinated-covid-have-permanent-heart-damage/5750198

    30 Ricardo Delgado et Prof Michel Chossudovsky, 17 juillet 2021. Vidéo : Graphene Oxide : A Toxic Substance in the Vial of the COVID-19 mRNA Vaccine ? https://www.globalresearch.ca/video-graphene-oxide-a-toxic-substance-in-the-vial-of-the-covid-19-mrna-vaccine/5750340

    31 Prof. Dr. Pablo Campra Madrid, 28 juin 2021. Détection d’oxyde de graphène en suspension aqueuse, étude observationnelle en microscopie optique et électronique. https://www.docdroid.net/Ov1M99x/official-interim-report-in-english-university-of-almeria-pdf

    32 Prof Michel Chossudovsky, 14 juillet 2021. Les masques faciaux contiennent du graphène, une substance toxique. https://www.globalresearch.ca/face-masks-contain-graphene-a-poisonous-substance/5749855

    33 Mamer et Amar Goudjil, 23 janvier 2022. Étude sur l’électromagnétisme des personnes vaccinées. https://www.globalresearch.ca/study-electromagnetism-vaccinated-persons-luxembourg/5749516

    34 Madlen Davies, Rosa Furneaux, et al., 23 février 2021. « Tenu en rançon » : Pfizer demande aux gouvernements de miser sur les actifs de l’État pour conclure un accord sur les vaccins. https://www.thebureauinvestigates.com/stories/2021-02-23/held-to-ransom-pfizer-demands-governments-gamble-with-state-assets-to-secure-vaccine-deal

    35 Pr Michel Chossudovsky, 13 août 2022. Bombshell Document Dump on Pfizer Vaccine Data. https://www.globalresearch.ca/bombshell-document-dump-pfizer-vaccine-data/5763397

    36 Pfizer, 2021. Analyse cumulative des rapports d’événements indésirables post-autorisation du PF-07302048 (BNT162B2) reçus jusqu’au 28 février 2021. https://phmpt.org/wp-content/uploads/2021/11/5.3.6-postmarketing-experience.pdf

    37 Idem.

     

    Chapitre IX

    La pandémie  de grippe porcine H1N1 2009.

    Était-ce une répétition générale?

     

     

    Introduction

    Rappelez -vous la « pandémie » H1N1 de 2009 lorsque le Conseil consultatif sur la science et la technologie d’Obama a comparé la pandémie de grippe porcine H1N1 à la pandémie de grippe espagnole de 1918 tout en rassurant le public que cette dernière était plus meurtrière. (CBC: préparez-vous au vaccin contre la grippe porcine : conseillers américains). Pour plus de détails, voir Michel Chossudovsky, août 2009 Study on H1N1 Pandemic.1

    Sur la base de données incomplètes et rares, la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan , a prédit avec autorité que « jusqu’à 2 milliards de personnes pourraient être infectées au cours des deux prochaines années, soit près d’un tiers de la population mondiale. » (Organisation mondiale de la santé rapportée par les médias occidentaux, juillet 2009)

    Une urgence mondiale de santé publique se déroulait à une échelle sans précédent. 4,9 milliards de doses de vaccin contre la grippe porcine H1N1  envisagées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

    Un rapport du Conseil consultatif du président Obama sur la science et la technologie « considérait la pandémie H1N1 comme une “menace grave pour la santé” des États-Unis – pas aussi grave que la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais pire que l’épidémie de grippe porcine de 1976 ».

    “Ce n’est pas que la nouvelle souche pandémique H1N1 soit plus mortelle que les menaces de grippe précédentes, mais qu’elle est susceptible d’infecter plus de personnes que d’habitude car si peu de personnes sont immunisées.” (Préparez-vous le vaccin contre la grippe porcine: conseillers américains)

    C’était une aubaine de plusieurs milliards pour Big Pharma soutenue par la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan. 

    Image: Margaret Chan, Directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Genève, photographiée lors de la session « Élever des enfants en bonne santé » lors de la réunion annuelle 2011 du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, le 28 janvier 2011. (Copyright Forum économique mondial swiss-image.ch/Photo de Remy Steinegger / Licence CC BY-SA 2.0)

    Dans une déclaration ultérieure, le Dr Chan a confirmé que:

    « Les fabricants de vaccins pourraient produire 4,9 milliards de vaccins contre la grippe pandémique par an  dans le meilleur des cas »,  Margaret Chan, directrice générale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), citée par Reuters, 21 juillet 2009).2

    La grippe porcine pourrait frapper jusqu’à 40 % des Américains au cours des deux prochaines années  et jusqu’à plusieurs centaines de milliers de personnes pourraient en mourir si une campagne de vaccination et d’autres mesures échouent.” (Déclaration officielle de l’administration Obama, MSNBC News, 24 juillet 2009).3

    Déjà Vu: Neil Ferguson

    Au tout début de la crise H1N1 en avril 2009, le professeur Neil Ferguson  de l’Imperial College de Londres conseillait Bill Gates et l’OMS:

    Nous pourrions nous attendre à ce que jusqu’à 30% – 40% de la population tombe malade au cours des six prochains mois si cela se transforme vraiment en pandémie “”, a déclaré le professeur Neil Ferguson, membre de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). groupe de travail qui a décidé de relever son alerte sur le virus au niveau quatre.4 (nous soulignons)

    C’est le même Neil Ferguson (généreusement soutenu par la Fondation Gates) qui a conçu le modèle de verrouillage du coronavirus (lancé le 11 mars 2020). Comme nous le rappelons, ce  modèle mathématique de mars 2020  était basé sur des “prédictions” de 600 000 décès au Royaume-Uni.

    Il n’y a pas eu de pandémie de H1N1 touchant deux millions de personnes.

    Les gouvernements nationaux ont commandé des millions de doses de vaccin contre la grippe porcine à Big Pharma.

    Des millions de doses de vaccin ont ensuite été détruites, une aubaine financière pour Big Pharma, une crise des dépenses pour les gouvernements nationaux.

    Il n’y a pas eu d’enquête pour savoir qui était derrière cette fraude de plusieurs milliards de dollars. Plusieurs critiques ont confirmé que la pandémie de H1N1 était un “faux”.

    L’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE), un organisme de surveillance des droits de l’homme, enquête publiquement surles motifs de l’OMS en déclarant une pandémie. En effet, le président de son influent comité de santé, l’épidémiologiste Wolfgang Wodarg,  a déclaré que  la “fausse pandémie” est “l’un des plus grands scandales médicaux du siècle”. 

    Même au sein de l’agence, le directeur du Centre collaborateur de l’OMS pour l’épidémiologie à Munster, en Allemagne, le Dr Ulrich Kiel, a essentiellement qualifié la pandémie de canular. “Nous assistons à une gigantesque mauvaise allocation des ressources [18 milliards de dollars jusqu’à présent] en termes de santé publique”, a-t-il déclaré.

    Ils ont raison. Ce n’était pas simplement un excès de prudence ou une simple erreur de jugement. La déclaration de pandémie et toutes les sonneries de Klaxon depuis reflètent une pure malhonnêteté motivée non par des préoccupations médicales mais politiques.

    Incontestablement, la grippe porcine s’est avérée beaucoup plus bénigne que la grippe saisonnière ordinaire. Il tue entre un tiers et un dixième du taux, selon  les estimations des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis. Les données d’autres pays comme la France et le Japon indiquent que c’est beaucoup plus docile que cela.

    (Michael Fomento,  Forbes, 10 février 2010)5

    Le vaccin H1N1 2009 a causé des lésions cérébrales aux enfants6

    Le directeur du NIAID, Anthony Fauci, avait approuvé le vaccin H1N1 2009 au nom de Big Pharma:

    “Environ 60 millions de personnes, principalement des enfants, ont reçu le vaccin… Il a été révélé par la suite que le vaccin, le PandemrixTD de GSK, peut provoquer la narcolepsie et la cataplexie… La narcolepsie affecte le cycle de sommeil d’une personne, la rendant incapable de dormir pendant plus de 90 minutes d’affilée et provoquant des pertes de connaissance pendant la journée. Cette affection endommage les fonctions mentales et la mémoire, et peut entraîner des hallucinations et des maladies mentales” (International Business Times, 03 février 2014).

    ArepanrixTD de GSK (largement similaire à PambremixTD avec un nom différent) a été appliqué au Canada. (Voir ici).7

    La pandémie H1N1 de l’OMS a été déclarée le 11 juin 2009. GSK était sous contrat avec le gouvernement canadien. Le vaccin ArepandrixMC de GSK a été livré aux autorités sanitaires du Canada en moins de quatre mois.  

    Le président de GSK, Paul Lucas, invité par le Sénat du Canada, s’est vanté que  «  45 % des Canadiens avaient  reçu une protection contre le virus H1N1 en étant vaccinés avec l’ArepanrixMC de GSK » (Comité sénatorial permanent des affaires sociales, des sciences et de la technologie du Canada, 9 octobre 2009).8

    Il n’y avait pas de protection.  De nombreuses personnes au Canada sont tombées malades après avoir reçu le vaccin ArepanrixTD H1N1. Au Royaume-Uni et dans l’UE, les victimes du vaccin GSK ont été dûment indemnisées. C’était un vaccin “similaire” avec un nom différent (PambremixTD):

    [Britannique] Les patients qui ont subi des lésions cérébrales à la suite d’un vaccin contre la grippe porcine doivent recevoir des paiements de plusieurs millions de livres du gouvernement britannique.

    Le gouvernement devrait recevoir une facture d’environ 60 millions de livres sterling, chacune des 60 victimes devant recevoir environ 1 million de livres sterling chacune. (International Business Times, italiques ajoutés)9

    Ironie du sort, c’est le gouvernement britannique (plutôt que GSK) qui a versé une indemnisation pour les lésions cérébrales causées par les vaccins chez les enfants.

    Malgré de nombreuses preuves, au Canada, aucune indemnisation n’a été versée.

    À la mémoire d’une petite fille nommée Amina Abudu

    Le vaccin de GSK a tué une petite fille nommée Amina Abudu:

    Un vaccin a été mis sur le marché d’urgence et la fillette de cinq ans faisait partie des millions de Canadiens à se faire vacciner… Cinq jours plus tard, le frère aîné d’Amina l’a trouvée allongée inconsciente dans la salle de bain de la maison familiale de l’est de Toronto. Elle était morte.

    L’avocate des parents, Jasmine Ghosn, a allégué que le médicament préventif avait été sorti rapidement et sans tests appropriés… alors que le gouvernement fédéral exerçait une «pression intense» sur les Canadiens pour qu’ils se fassent vacciner. (National Post, novembre 2019)10

    Copyright Adam Abudu, autorisation d’utilisation

     

    Dans le dossier, GSK a reconnu que l’ ArepanrixTD appliqué au Canada était « similaire » au PandemrixTM de GSK appliqué au Royaume-Uni et dans l’UE, qui a entraîné des lésions cérébrales chez les enfants.

    PandemrixTD (2009) provoque la narcolepsie, qui est classée comme “un trouble neurologique chronique qui affecte la capacité du cerveau à contrôler les cycles veille-sommeil”. Alors que  PandemrixTM a été retiré par la suite, ArepanrixTD (qui est similaire ou identique à PandremrixTM) appliqué au Canada a prévalu.

    Toutes les preuves ont été dissipées avec désinvolture. Une poursuite de onze ans contre GSK a été intentée par les parents d’Amina devant la Cour supérieure de l’Ontario, puis devant la Cour d’appel.

    J’ai parlé au père d’Amina, Adam Abudu, qui m’a fourni un certain nombre de documents juridiques ainsi que les textes du jugement.

    Vous trouverez ci-dessous la déclaration finale de la Cour supérieure de l’Ontario en décembre 2019 (nous soulignons):

    Peu importe à quel point je sympathise avec le chagrin que Mme Hyacenth et M. Adam ont été forcés de vivre à cause de la perte de leur fille, la preuve n’appuie aucune conclusion d’un manquement à la norme de diligence par GSK ou tout autre concluant que le décès a été causé ou  contribué par le vaccin Arepanrix.
     
    La douleur de la perte d’un enfant peut se dissiper mais ne disparaît pas. J’espère sincèrement que les efforts et l’énergie que Mme Hyacenth et M. Adam ont déployés pour trouver une cause à la mort d’Amina aideront à dissiper leur douleur. J’espère que le fait de savoir que le décès d’Amina n’est pas passé  inaperçu auprès de GSK, des autorités de santé publique ou des tribunaux les rassure.
     
    Naturellement, ils se sont battus longtemps et durement pour obtenir une réponse à une question qui accablerait n’importe quel parent dans ces circonstances: pourquoi mon enfant est-il mort? Je regrette profondément de devoir répondre à la question en disant qu’après 10 ans d’enquête, on ne sait pas. L’état des connaissances scientifiques et médicales reste limité et imparfait. Un tribunal doit cependant fonder ses décisions sur les éléments de preuve dont il dispose. Cette preuve n’établit pas selon la prépondérance des probabilités qu’Arepanrix a causé ou contribué à la mort très malheureuse d’Amina. En conséquence, je dois rejeter l’action des demandeurs.
     
    Cour supérieure de l’Ontario, juge  Koehnen, 10 décembre 2019
     

    “Justice frivole”

    Notez le ton hideux de la déclaration ci-dessus du « juge de première instance »  Markus Koehnen, un associé en litige chez McMillan LLP, un important cabinet d’avocats d’affaires de Toronto:
     
     “J’espère sincèrement que les efforts et l’énergie que Mme Hyacenth et M. Adam ont déployés pour trouver une cause à la mort d’Aminaaideront à dissiper leur douleur.”
     
    C’est ce que vous appelez la “justice frivole”.
     
    Le jugement ci-dessus  (qui n’a pas reconnu et analysé méthodiquement les preuves) a ensuite été soumis à la Cour d’appel en décembre 2020 (plus de onze ans après le décès d’Amina en 2009) puis à la Cour suprême du Canada qui a refusé d’entendre l’affaire.

    Décès d’Amina Abudu. Son héritage vivra :

    Pour les millions d’enfants dans le monde dont la vie est actuellement menacée par le « vaccin » ARNm Covid de Big Pharma. 

     
    La criminalité sous-jacente largement dirigée contre les enfants remonte à la décision historique de la directrice générale de l’OMS, Margaret Chan, de déclarer une pandémie de H1N1, sur la base d’une « fausse science ». Il n’y a pas eu de pandémie et PLUSIEURS milliards de doses d’ un dangereux et “faux vaccin” ont été distribuées. Était-ce délibéré?
     

    “Never Mind the Kids”… C’est “Dommages collatéraux” pour Big Pharma qui a fait des milliards de dollars en vendant le vaccin H1N1.

    Confirmé par le British Medical Journal: « La gestion de la pandémie de grippe porcine par l’Organisation mondiale de la santé a été profondément entachée de secret et de conflits d’intérêts avec les sociétés pharmaceutiques »: 

    “Le BMJ a découvert que les directives de l’OMS sur l’utilisation des médicaments antiviraux avaient été préparées par des experts qui avaient reçu des honoraires de consultation des deux principaux fabricants de ces médicaments, Roche et GlaxoSmithKline, ou GSK.

    Le rapport révèle également qu’au moins un expert du “comité d’urgence” secret de 16 membres formé l’année dernière pour conseiller l’OMS sur l’opportunité et le moment de déclarer une pandémie a reçu un paiement en 2009 de GSK.

    L’annonce que la grippe porcine était devenue une pandémie mondiale a automatiquement déclenché des contrats latents pour la fabrication de vaccins avec une demi-douzaine de grandes sociétés pharmaceutiques, dont GSK. L’OMS a refusé d’identifier les membres du comité, arguant qu’ils doivent être protégés de la pression de l’industrie. “La crédibilité de l’OMS a été gravement endommagée”, a déclaré la rédactrice en chef du BMJ, Fiona Godlee, dans un éditorial. (AFP 4 juin 2010, nous soulignons)

     

    La pandémie H1N1 de 2009 était-elle une « répétition générale »?

    Les mêmes acteurs financiers puissants, dont Big Pharma et les philanthropes milliardaires, dont la Fondation Gates, étaient derrière l’escroquerie H1N1.

    Quelles ont été les leçons apprises « pour eux »?

  • La pandémie était fausse et les dangers du vaccin H1N1 ont été révélés dans des affaires judiciaires au Royaume-Uni et dans l’UE.
  • Contrairement à la crise actuelle de Covid, la fraude a été révélée parce que des segments des médias grand public ont rendu compte du H1N1 et ont informé le public.
  • Il n’y avait pas d’appareil de propagande cohérent couplé à la censure en ligne.
  • Il n’y a pas eu de campagne de peur organisée.
  • Il y avait des divisions au sein de l’OMS.
  • Les scientifiques et les médecins n’ont pas été indûment poussés à approuver la décision de l’OMS.
  • Le Dr Wolfgang Wodarg, qui a révélé la fraude derrière le H1N1 et l’a portée à l’attention du Parlement européen, est désormais activement impliqué avec le Dr Michael Yeadon dans la campagne contre le vaccin COVID-19.

    Notes

    1 Prof Michel Chossudovsky, 25 août 2009. Rappelez-vous la « fausse » pandémie de grippe porcine H1N1 2009 : manipulation des données pour justifier une urgence mondiale de santé publique. https://www.globalresearch.ca/the-h1n1-swine-flu-pandemic-manipulating-the-data-to-justify-a-worldwide-public-health-emergency/14901

    2 Katie Reid et Laura MacInnis, 19 mai 2009. L’OMS voit 4,9 milliards de vaccins contre la grippe pandémique dans le meilleur des cas. https://www.Reuters.com/article/healthNews/idUSTRE54H1XO20090519

    3 MSNBC News, 24 juillet 2009. La grippe porcine pourrait rendre malades plus de 2 milliards de personnes en 2 ans. https://www.nbcnews.com/id/wbna32122776

    4 NDTV, 28 avril 2009. Une grippe mortelle pourrait infecter 40 % de la population britannique : rapport. ndtv.com/…/deadly-flu-could-infect-40-per-cent-of-uk-population-report-392997

    5 Voir ceci :  https://www.forbes.com/2010/02/05/world-health-organization-swine-flu-pandemic-opinions-contributors-michael-fumento.html#4fd9f96548e8  (l’article n’a pas été publié)

    6 Prof Michel Chossudovsky, 3 mai 2020. Le vaccin H1N1 de 2009 a causé des lésions cérébrales chez les enfants. Dr Anthony Fauci sur les questions de “sécurité des vaccins”. https://www.globalresearch.ca/video-dr-anthony-fauci-on-the-2009-h1n1pandemic-the-2009-h1n1-vaccine-caused-brain-damage-in-children/5711540

    7 Idem.

    8 Voir ceci :  https://sencanada.ca/en/committees/soci/

    9 Tom Porter, 2 mars 20214. Les victimes britanniques du vaccin contre la grippe porcine souffrant de lésions cérébrales recevront une indemnisation de 60 millions de livres. https://www.ibtimes.co.uk/brain-damaged-uk-victims-swine-flu-vaccine-get-60-million-compensation-1438572 _

    10 Tom Blackwell, 5 novembre 2019. Lors d’un rare essai sur les effets secondaires présumés d’un vaccin, des parents ont déclaré que le vaccin contre la grippe H1N1 avait tué une fille de 5 ans. https://nationalpost.com/news/at-rare-trial-of-alleged-vaccine-side-effects-parents-say-h1n1-flu-shot-killed-5-year-old-daughter

     

    Chapitre X

    Catégoriser le mouvement de protestation comme « psychopathes antisociaux »

    « Les outils de la psychologie sont dangereux entre les mains des mauvais hommes. Les méthodes éducatives modernes peuvent être appliquées en thérapie pour rationaliser le cerveau de l’homme et changer ses opinions afin que sa pensée soit conforme à certains systèmes idéologiques. – Joost AM Meerloo, Le viol de l’esprit, 1956.

    “Les systèmes psychologiques coercitifs sont des programmes de changement de comportement qui utilisent la force psychologique de manière coercitive pour provoquer l’apprentissage et l’adoption d’une idéologie ou d’un ensemble désigné de croyances, d’idées, d’attitudes ou de comportements.” – Le regretté Dr Margaret Singer

    « La pression intense pour se conformer est une tentative de cimenter une communauté de croyants. Des règles d’appartenance strictes sont imposées, et ceux qui ne sont pas d’accord sont exclus. Cette communauté a inventé son propre rite de passage : une forme de baptême, de purification au nom du salut, avec « le vaccin » vénéré comme le sauveur ».  -Prof. Maximilien Forte, juillet 2022

    Introduction

    L’imposition du vaccin MRNA s’est appuyée sur la persuasion coercitive et les tactiques de lavage de cerveau, associées à la propagande médiatique et à la campagne de peur. L’objectif des gouvernements nationaux est d’assurer « l’acceptation ». Le Dr Margaret Singer, cité  ci-dessus, fait référence à « l’ influence coercitive, l’anxiété et les tactiques productrices de stress sur des périodes de temps continues ».

    Dès le début de la pandémie, un processus diabolique a été entrepris qui a consisté à “identifier” et “catégoriser” tous ceux qui s’opposent à la gestion gouvernementale de la pandémie de coronavirus, y compris les confinements et le mandat vaccinal.

    Selon les soi-disant «études psychologiques évaluées par des pairs» (commandées par des fondations d’entreprises au nom des élites mondialistes), les opposants au consensus covid ont été classés dans la catégorie des «psychopathes antisociaux».

    Les personnes non vaccinées ont été empêchées de voyager, licenciées de leur travail, empêchées de fréquenter les écoles et les universités. Ils sont catégorisés et accusés (selon « l’opinion scientifique ») d’être des extrémistes et des psychopathes.

    Ce qui s’est déroulé, c’est  une fracture sociale entre les vaccinés et les non vaccinés.

    Ces divisions sociales créent des conflits au sein des familles et des communautés locales, contribuant littéralement à la perturbation de la vie sociale, avec des impacts dévastateurs sur l’activité économique.

    Soutenue par la propagande médiatique, la campagne se poursuit sans relâche. Ceux qui refusent de recevoir le « vaccin » meurtrier sont classés dans la catégorie des « psychopathes antisociaux ».

    Ce qui prévaut, c’est un scénario « diviser pour mieux régner » qui est appliqué simultanément dans de nombreux pays.

    Ce chapitre passe en revue plusieurs études psychologiques entreprises en vue de saper le mouvement de protestation contre les mandats COVID-19 et le vaccin.

     

    « Études scientifiques »: catégoriser les opposants au COVID comme des « psychopathes antisociaux » 

    Quelle est la nature et l’orientation de ces « études scientifiques »?

    Protestez contre la “vérité officielle”, critiquez les mandats gouvernementaux, exprimez des réserves concernant le confinement, la distanciation sociale, le port du masque facial, le vaccin, etc. et vous serez étiqueté (selon “l’opinion scientifique”) comme un “insensible et psychopathe trompeur ».

    Acceptez le «récit officiel» et le mandat du vaccin, vous êtes étiqueté comme une «bonne personne» avec «l’empathie» qui comprend les sentiments des autres.

    Un soi-disant «rapport empirique» évalué par des pairs décrit ceux qui refusent de porter le masque facial ou de respecter la distanciation sociale comme ayant des «troubles de la personnalité antisociale». 

    Ceux qui « ne respectent pas les mesures pour empêcher la propagation du COVID-19 » sont étiquetés comme « antisociaux ».  

    Les résultats de l’étude brésilienne portant sur un « échantillon » de 1 578 adultes ont été publiés dans la revue Personality and Individual Differences  sous le titre  COVID-191

    Capture d’écran de ScienceDirect

    « Empathie » versus « Traits antisociaux » 

    La « méthodologie » statistique de cette étude est simple. Il est destiné à servir de modèle. Elle consiste à catégoriser un soi-disant échantillon d’adultes de toutes les grandes régions du Brésil en deux groupes distincts. Il examine:

    « ..les relations entre les traits antisociaux et le respect des mesures de confinement du COVID-19. L’échantillon était composé de 1578 adultes brésiliens âgés de 18 à 73 ans… et d’un questionnaire sur le respect des mesures de confinement.2

    Les analyses de profil latent ont indiqué une solution à deux profils:

    le profil de modèle antisocial qui présentait des scores plus élevés dans l’ insensibilité, la tromperie, l’hostilité, l’impulsivité, l’irresponsabilité, la manipulation et la prise de risque, ainsi que des scores inférieurs dans la “résonance affective” ( processus d’interaction sociale) et  “le profil de modèle d’empathie qui ont présenté des scores plus élevés en résonance affective  … »

    Les groupes antisociaux et empathiques ont montré des différences significatives . … Nos résultats ont indiqué que les traits antisociaux, en particulier les niveaux d’empathie les plus faibles et les niveaux plus élevés d’ insensibilité, de tromperie et de prise de risque , sont directement associés à une moindre conformité aux mesures de confinement. Ces caractéristiques expliquent, au moins en partie, la raison pour laquelle les gens continuent de ne pas respecter les mesures de confinement même avec un nombre croissant de cas et de décès. (nous soulignons)3

    La méthodologie de recherche  est construite autour de trois questions principales4:

  • “Pensez-vous qu’il est nécessaire d’éviter autant que possible d’approcher les gens jusqu’à ce que la situation du coronavirus soit maîtrisée?” (distanciation sociale),
  • « Pensez-vous qu’il soit nécessaire de se laver les mains et/ou d’utiliser du gel hydroalcoolique autant de fois par jour jusqu’à ce que la situation du coronavirus soit maîtrisée? (hygiène),
  • “Pensez-vous qu’il est nécessaire d’utiliser un masque facial (qui protège le nez et la bouche) au Brésil?” (masque)
  • Oui/Non Catégorisation

    Répondez Oui à ces trois questions : vous êtes catégorisé comme ayant « l’ empathie » (c’est-à-dire la capacité de comprendre et de partager les sentiments des autres).

    Répondez Non aux trois questions : vous êtes classé (selon l’étude) comme ayant “des niveaux plus élevés d’ insensibilité, de tromperie, d’hostilité, d’impulsivité, d’irresponsabilité, de manipulation et de prise de risque” (comme cité ci-dessus).

    Tout cela semble très scientifique. L’objectif tacite de ces psycho-études est de donner aux gouvernements le mandat d’intimider et d’imposer la conformité, tout en salissant les psychopathes présumés qui refusent de se conformer au récit officiel, qui est un mensonge pur et simple.    

    “La triade noire” et “narcissisme collectif” 

    Selon Eric W. Dolan  (PsyPost), l’étude ci-dessus consistait à identifier « une mesure des traits de personnalité inadaptés… » . Dolan fait également référence à une étude connexe portant sur:

    “la” triade noire “du narcissisme, de la psychopathie et du machiavélisme associée à l’ignorance des mesures préventives COVID-19.”

    L’étude menée en Pologne est intitulée:

    Comportement adaptatif et inadapté pendant la pandémie de COVID-19 : les rôles des traits de la triade noire, du narcissisme collectif et des croyances en matière de santé5

    L’étude fait référence à la pratique du “narcissisme collectif”, à savoir une croyance et une pratique communes d’un soi-disant “In-Group” (alias mouvement de protestation, collectif de médecins dissidents, de scientifiques) dirigé contre la “vérité” officielle sur le coronavirus (alias le grand mensonge). Le narcissisme collectif est ancré dans ce que les psychologues appellent la triade noire.

    Capture d’écran de ScienceDirect  

    L’étude est basée sur “un échantillon national représentatif de la Pologne (N  = 755)”. Il examine « les relations entre les traits de la Triade noire (c’est-à-dire la psychopathie, le machiavélisme et le narcissisme) et le narcissisme collectif (c’est-à-dire agentique et communautaire)… Les participants caractérisés par les traits de la Triade noire sont moins engagés dans la prévention  … »6

    “Les résultats soulignent l’utilité des croyances en matière de santé pour prédire les comportements pendant la pandémie, expliquant (au moins en partie) les comportements problématiques associés aux personnalités sombres (c’est-à-dire la triade noire, le narcissisme collectif). …

    Les traits, tels que la triade noire (c’est-à-dire le narcissisme, le machiavélisme, la psychopathie) et le narcissisme collectif… peuvent avoir des implications sur la façon dont on fait face au virus… Par exemple, les individus caractérisés par les traits de la triade noire peuvent être moins susceptibles de suivre le gouvernement- restrictions imposées liées à la COVID-19.7

    Le terme « agentique »  cité ci-dessus fait référence à la « réalisation d’objectifs ».

    Et voici la méthodologie:

    « Nous avons mesuré les traits de la Dark Triad (Wave 2)… [également en référence à] l’ échelle Dark Triad Dirty Dozen ( Jonason & Webster, 2010). L’échelle se compose de quatre éléments évaluant les différences individuelles en matière de psychopathie (par exemple, « j’ai tendance à manquer de remords »), de narcissisme (par exemple, « j’ai tendance à rechercher le prestige ou le statut ») et de machiavélisme (par exemple, « j’ai tendance à manipuler les autres pour obtenir ce que je veux ). ”). Les participants ont indiqué leur accord avec chaque item (1 =  fortement en désaccord , 5 =  fortement en accord ). Nous avons fait la moyenne des réponses pour créer des indices de chaque trait.8

    Cela semble scientifique. Quelles sont les conclusions?

    «Nous avons élargi la portée du modèle en illustrant la pertinence des traits de personnalité sombres pour prédire les comportements adaptatifs et inadaptés en réponse à la pandémie par des traits de personnalité centrés sur la personne  (c’est-à-dire les traits de la triade noire) et axés sur le groupe (narcissisme collectif). .” 

    Pour lire le rapport complet, cliquez ici, nous soulignons)9

    La définition psychologique des traits de la triade noire comprend les traits de personnalité combinés du narcissisme, du machiavélisme et de la psychopathie. « Ils sont appelés « ténébreux » à cause de leurs « qualités malveillantes ». » 

    La Dark Triad Dirty Dozen (DTDD) consiste en un « inventaire de personnalité » plus large qui évalue et mesure les trois composantes de la personnalité de la Dark Triad.

    Illustration par Global Research

    En substance, ce que ce «rapport scientifique» confirme, c’est que les personnes qui remettent en question le récit officiel du COVID-19, y compris le mandat du vaccin, ont des «troubles de la personnalité malveillants». On dit qu’ils souffrent de la Dirty Dozen “Dark Triad Traits” (DTDD). 

    Le mouvement de protestation anti-COVID est identifié comme un « narcissisme collectif »

    Lorsqu’ils agissent de manière contiguë au sein d’un In-Group ou d’un mouvement de Protestation, ils sont étiquetés comme appliquant un « narcissisme collectif ».

    Le cadre de l’étude ci-dessus est également envisagé pour d’autres  pays en partenariat  avec le groupe de Varsovie. Une autre étude connexe est intitulée  « Qui respecte les restrictions pour réduire la propagation de la COVID-19 ?: Personnalité et perceptions de la situation de la COVID-19 »10

    Mots forts. “Évalués par les pairs”?

     

    Vers un milieu inquisitoire. Chasse aux sorcières numérique

    La psychologie est utilisée de manière pernicieuse pour légitimer les mesures de l’État policier. Le mandat est de “poursuivre” ceux qui auraient des “troubles de la personnalité malveillants”.

    C’est une doctrine inquisitoire, qui pourrait éventuellement évoluer vers une chasse aux sorcières numérique . Contrairement à l’Inquisition espagnole, le système inquisitoire contemporain a des capacités presque illimitées d’espionnage et de catégorisation des individus qui s’opposent au consensus COVID-19.

    Les gens sont marqués et étiquetés, leurs e-mails, leurs téléphones portables sont surveillés, des données personnelles détaillées doivent être saisies dans une banque de données géante Big Brother de 7,9 milliards de personnes sous les auspices de l’OMS.

    Les scientifiques anti-vaccins et les médecins sont classés. Ils font l’objet de censure et, dans certains cas, ils sont arrêtés et envoyés en traitement dans un service psychiatrique.

    Une fois ce catalogage numérique terminé, les gens sont enfermés dans des compartiments étanches. Leurs profils sont établis et saisis dans une banque de données informatisée.

    Pendant ce temps, les citoyens sont galvanisés pour soutenir les principes de la « gouvernance mondiale ».

    Tableau de Francisco Goya représentant un auto de fé, acte de pénitence publique accompli entre le XVe et le XIXe siècle contre les hérétiques condamnés et les apostats imposés par l’Inquisition, basé sur des témoignages de première main de 1800-1810. (Par QAHsJoGPh6kFeQ à l’Institut culturel de Google, sous licence du domaine public)

     

    Les milliardaires sont-ils mentalement dérangés? 

    Ces études de psychologie empirique sont destinées à être utilisées contre les citoyens qui s’opposent aux mandats politiques COVID-19 mis en œuvre par leurs gouvernements. À leur tour, ces gouvernements obéissent aux ordres d’en haut.

    Nous pourrions poser la question : les milliardaires, les « philanthropes », les politiciens corrompus, et autres, qui sont les architectes tacites du vaccin COVID-19 et des politiques de confinement sont-ils mentalement dérangés?

    Leurs traits de personnalité ne sont pas le motif de l’investigation scientifique. Ce sont des psychopathes. L’argent et l’enrichissement sont la force motrice.

     

    Notes

    1  Fabiano Koich  Miguel ,  Gisele Magarotto  Machado , et al., 1er janvier 2021.  Respect des mesures de confinement face à la pandémie de COVID-19 dans le temps : les traits antisociaux sont-ils importants ? https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0191886920305377

    2 Idem.

    3 Idem.

    4 Idem.

    5  Bartłomiej  Nowak ,  Paweł  Brzóska , et al., 1er décembre 2020.  Comportement adaptatif et inadapté pendant la pandémie de COVID-19 : les rôles des traits de la triade noire, du narcissisme collectif et des croyances en matière de santé. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0191886920304219

    6 Idem.

    7 Idem.

    8 Idem.

    9 Idem.

    10  Marcin  Zajenkowski ,  Peter K.  Jonason , et al., 1er novembre 2020.  Qui respecte les restrictions pour réduire la propagation de la COVID-19 ? : Personnalité et perceptions de la situation de la COVID-19. https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0191886920303883

     

    Chapitre XI

    L’opération mondiale COVAX 

    et le Code de Nuremberg.

    Crimes contre l’humanité, génocide

     

    « Nous, les survivants des atrocités commises contre l’humanité pendant la Seconde Guerre mondiale, nous sentons tenus de suivre notre conscience. …

    Un autre holocauste de plus grande ampleur se déroule sous nos yeux. Nous vous demandons d’arrêter immédiatement cette expérience médicale impie sur l’humanité. C’est une expérience médicale à laquelle le Code de Nuremberg doit être appliqué. – Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, Sorin Shapira, Mascha Orel, Morry Krispijn et al, voir le texte complet ici

     

    L’ARNm “Vaccin” contre Nuremberg 

    Le vaccin est appliqué et imposé dans le monde entier. La population cible est de 7,9 milliards. Plusieurs doses sont envisagées. Il s’agit du plus grand programme de vaccination de l’histoire mondiale (voir chapitre VIII).

    “Jamais auparavant l’immunisation de la planète entière n’avait été accomplie en délivrant un ARNm synthétique dans le corps humain”.1

    Image: “Très bonne rencontre avec @BillGates en marge de la # convention du Rotary. Discuté sur @WHO & @gatesfoundatio n initiatives de collaboration axées sur les soins de santé primaires. Son engagement à aider les nécessiteux est au-delà des mots. (Par  Tedros Adhanom Ghebreyesus / Facebook)

    Les “directives” de l’OMS pour l’établissement d’un système mondial d’informations numériques pour la délivrance de soi-disant “certificats numériques pour le COVID-19” sont généreusement financées par les fondations Rockefeller et Bill et Melinda Gates“. (voir Chapitre XIII)

    Se concentrant sur la nature expérimentale du vaccin à ARNm et ses effets dévastateurs sur la santé, les analystes juridiques ont soulevé la question du « procès des médecins nazis   » de Nuremberg (1946-47) dans lequel des médecins nazis ont été accusés de crimes de guerre, en particulier dans la conduite d’expériences médicales sur les détenus des camps de concentration et sur les civils.

    The Medical Case, États-Unis contre Karl Brandt, et al. (également connu sous le nom de procès des médecins), a été poursuivi en 1946-47 contre 23 médecins et administrateurs accusés d’avoir organisé et participé à des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité sous la forme d’expériences médicales et de procédures médicales infligées à des prisonniers et à des civils.3

    Karl Brandt, le principal accusé, était le haut responsable médical du gouvernement allemand pendant la Seconde Guerre mondiale; parmi les autres accusés figuraient des médecins de haut rang et des administrateurs des forces armées et des SS (voir les documents de Harvard).4

     

    Lettre à Heinrich Himmler concernant la stérilisation par rayons X et chirurgicale ( tiré du projet de procès de Nuremberg de la loi de Harvard)

     

    Suite au verdict du 19 août 1947, le Code de Nuremberg a été promulgué. Les dix principes du Code de Nuremberg sont passés en revue ci-dessous.5 Plusieurs de ces principes – concernant le vaccin à ARNm et le passeport vaccinal – ont été violés de manière flagrante.

    Le premier principe du « Code de Nuremberg » stipule que « le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel », et c’est précisément ce qui est nié par rapport au « vaccin » (voir phrases en gras ci-dessous).6

    1. Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel.

    Cela signifie que la personne concernée doit avoir la capacité juridique de donner son consentement; devrait être situé de manière à pouvoir exercer son libre pouvoir de choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition; et doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes des éléments du sujet concerné pour lui permettre de prendre une décision éclairée et éclairée. Ce dernier élément exige qu’avant l’acceptation d’une décision affirmative par le sujet expérimental, on lui fasse connaître la nature, la durée et le but de l’expérience; la méthode et les moyens par lesquels elle doit être menée; tous les inconvénients et dangers auxquels on peut raisonnablement s’attendre; et les effets sur sa santé ou sur sa personne qui pourraient résulter de sa participation à l’expérience.

    2. L’expérience doit être telle qu’elle donne des résultats fructueux pour le bien de la société, impossibles à obtenir par d’autres méthodes ou moyens d’étude, et non aléatoires et inutiles par nature.

    3. L’expérience doit être conçue et basée sur les résultats de l’expérimentation animale et sur une connaissance de l’histoire naturelle de la maladie ou d’un autre problème à l’étude, de sorte que les résultats attendus justifient la réalisation de l’expérience.

    4. L’expérience doit être menée de manière à éviter toutes souffrances et blessures physiques et mentales inutiles.

    5. Aucune expérience ne doit être menée s’il existe une raison a priori de croire qu’un décès ou une blessure invalidante se produira; sauf, peut-être, dans les expériences où les médecins expérimentateurs servent aussi de sujets.

    6. Le degré de risque à prendre ne doit jamais dépasser celui déterminé par l’importance humanitaire du problème à résoudre par l’expérience.

    7. Des préparations appropriées doivent être faites et des installations adéquates doivent être fournies pour protéger le sujet expérimental contre les possibilités même lointaines de blessure, d’invalidité ou de décès.

    8. L’expérience ne doit être menée que par des personnes scientifiquement qualifiées. Le plus haut degré de compétence et de soin devrait être requis à toutes les étapes de l’expérience de ceux qui mènent ou s’engagent dans l’expérience.

    9. Au cours de l’expérience, le sujet humain doit être libre de mettre fin à l’expérience s’il a atteint l’état physique ou mental où la poursuite de l’expérience lui paraît impossible.

    10. Au cours de l’expérience, le scientifique responsable doit être prêt à mettre fin à l’expérience à n’importe quel stade, s’il a probablement des raisons de croire, dans l’exercice de la bonne foi, d’une habileté supérieure et d’un jugement prudent exigés de lui qu’une poursuite de l’expérience est susceptible d’entraîner des blessures, une invalidité ou la mort du sujet expérimental.

    (nous soulignons)

     

    Nuremberg et la crise du COVID

    À partir de décembre 2020, des populations entières dans un grand nombre de pays sont menacées de se conformer et de se faire vacciner.

    En référence au Code de Nuremberg, ils ne peuvent pas:

    « d’exercer son libre choix, sans l’intervention d’aucun élément de force, de fraude, de tromperie, de contrainte, d’excès ou de toute autre forme ultérieure de contrainte ou de coercition » (principe de Nuremberg 1 ci-dessus).

    Abondamment documentée, il y a une tendance à la hausse des décès et des blessures liés aux vaccins à ARNm dans le monde et les autorités sanitaires sont pleinement conscientes des «risques pour la santé», mais elles n’en ont pas informé le public. Il n’y a pas de consentement éclairé. Et les médias mentent entre leurs dents:

    Aucune expérience ne doit être menée lorsqu’il existe une raison a priori de croire que la mort ou une blessure invalidante surviendra” (principe de Nuremberg 5 ci-dessus). 

    La « raison a priori » ci-dessus décrite dans le principe 5 de Nuremberg est amplement documentée. Les décès et les blessures invalidantes se poursuivent au niveau de la planète entière. Ils sont confirmés par les statistiques officielles de mortalité et de morbidité des vaccins à ARNm (EU, US, UK).

     

    « Expériences médicales » nazies

    Rappelons-nous la catégorisation des crimes spécifiques relatifs aux « expériences médicales » nazies menées sur les prisonniers des camps de concentration. Celles-ci comprenaient « le meurtre de Juifs pour des recherches anatomiques, le meurtre de Polonais tuberculeux et l’euthanasie de civils malades et handicapés en Allemagne et dans les territoires occupés.…”7

    Karl Brandt et six autres accusés ont été reconnus coupables, condamnés à mort et exécutés; neuf accusés ont été reconnus coupables et condamnés à des peines de prison; et sept accusés ont été acquittés.

    Les documents du procès et les preuves sont tous au dossier. Les accusés ont été inculpés de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. 

     

    Les accusés au banc des accusés lors du procès de Nuremberg (par Raymond D’Addario, sous licence du domaine public)

     

    L’échelle et la taille de l’opération mondiale COVID-19 Vaxx

    Bien que les principes de Nuremberg soient de la plus haute importance pour le projet de vaccin COVID-19, les comparaisons simplistes doivent être évitées. Le contexte, l’histoire et les mécanismes de compliance propres au « vaccin » ARNm sont fondamentalement différents.

    L’échelle et la taille de l’opération mondiale COVAX ainsi que sa structure organisationnelle complexe (OMS, GAVI, Gates Foundation, Big Pharma) sont sans précédent.

    L’humanité dans sa globalité est l’objet du projet vaxx. La population cible pour l’expérimentation du vaccin COVID-19 est l’ensemble de la population de la planète Terre:

    Près de 8 milliards de personnes, impliquant plusieurs doses.

    Multiplier la population mondiale par quatre doses (comme le propose Pfizer): l’ordre de grandeur est de 30 milliards de doses dans le monde.

    Les chiffres se chiffrent en milliards. Les impacts probables sur la mortalité et la morbidité sont indescriptibles.

    Big Money est à l’origine de ce projet de partenariat public-privé.

    Nous avons affaire à un processus mondial de crimes contre l’humanité. Des populations entières dans un grand nombre d’États membres de l’ONU sont soumises au respect et à l’application (sans l’état de droit).

    S’ils refusent le vaccin, ils sont socialement marginalisés et confinés, rejetés par leurs employeurs, rejetés par la société ; pas d’éducation, pas de carrière, pas de vie. Leurs vies sont détruites.

    S’ils acceptent le vaccin, leur santé et leur vie sont potentiellement en danger.

    Les preuves de la mortalité et de la morbidité résultant de l’inoculation du vaccin à la fois présentes (données officielles) et futures (par exemple caillots sanguins microscopiques non détectés) sont accablantes (voir chapitre VIII).

    Et ce n’est que le début.

    De nombreux crimes contre l’humanité sont commis dans le monde entier.

    Le « vaccin » à ARNm modifie le génome humain au niveau de la planète entière. C’est un génocide.

    C’est un « holocauste de plus grande ampleur, qui se déroule sous nos yeux ». 

     

    Notes

    1 Rabbi Hillel Handler, Hagar Schafrir, et al., 16 septembre 2021. Stop the Covid Holocaust ! Lettre ouverte. https://www.globalresearch.ca/stop-the-covid-holocaust-open-letter/5755902

    2 OMS, 27 août 2021. Digital documentation of COVID-19 certificates: vaccination status: web annexe A: DDCC:VS core data dictionary, 27 août 2021.  https://www.who.int/publications/i/item/ WHO-2019-nCoV-Digital_certificates-vaccination-data_dictionary-2021.1

    3 Harvard Law School, nd NMT Affaire 1 : USA c. Karl Brandt et al. : The Doctors’ Trial. https://nuremberg.law.harvard.edu/nmt_1_intro

    4 Idem.

    5 US Holocaust Memorial Museum, nd Code de Nuremberg. https://www.ushmm.org/information/exhibitions/online-exhibitions/special-focus/doctors-trial/nuremberg-code

    6 Idem.

    7 Harvard Law School, nd NMT Affaire 1 : USA c. Karl Brandt et al. : The Doctors’ Trial. https://nuremberg.law.harvard.edu/nmt_1_intro

     

    Chapitre XII

    Coup d’État mondial et la « grande réinitialisation ».

    Dette mondiale et « traitement de choc » néolibéral

     

    “Le FMI, la Banque mondiale et les dirigeants mondiaux savaient très bien quel serait l’impact sur les pauvres du monde de la fermeture de l’économie mondiale par des blocages liés au COVID.

    Pourtant, ils l’ont sanctionné et il y a maintenant  la perspective  que plus d’un quart de milliard de personnes supplémentaires dans le monde tomberont dans des niveaux de pauvreté extrêmes rien qu’en 2022. »  (Colin Todhunter, juillet 2022)

     

    Histoire du « traitement de choc » économique. Du Programme d’Ajustement Structurel (PAS) à « l’Ajustement Global (AG) »

    La fermeture (simultanée) des économies nationales d’environ 193 États membres de l’ONU le 11 mars 2020 est diabolique et sans précédent. Des millions de personnes ont perdu leur emploi et leurs économies de toute une vie. Dans les pays en développement, la pauvreté, la famine et le désespoir règnent. La fermeture des économies nationales a entraîné une spirale de la dette mondiale. De plus en plus, les gouvernements nationaux sont contrôlés par les créanciers, qui financent actuellement les filets de sécurité sociale, les renflouements des entreprises et les subventions.

    Bien que ce modèle « d’intervention mondiale » soit sans précédent, il présente certaines caractéristiques qui rappellent les réformes macroéconomiques au niveau des pays, notamment l’imposition d’une « médecine économique » forte par le FMI. Pour aborder cette question, examinons l’histoire de ce qu’on appelle le « traitement de choc économique » (un terme utilisé pour la première fois dans les années 1970).1

     

    Flashback au Chili, 11 septembre 1973

    En tant que professeur invité à l’Université catholique du Chili, j’ai vécu le coup d’État militaire dirigé contre le gouvernement démocratiquement élu de Salvador Allende. Il s’agissait d’une opération de la CIA dirigée par le secrétaire d’État Henry Kissinger associée à des réformes macro-économiques dévastatrices.

    Dans le mois suivant le coup d’État,  le prix du pain est passé de 11 à 40 escudos du jour au lendemain.2 Cet effondrement artificiel des salaires réels et de l’emploi sous la dictature de Pinochet a conduit à un processus d’appauvrissement à l’échelle nationale.

     

    Le dirigeant chilien Augusto Pinochet serrant la main du secrétaire d’État américain Henry Kissinger en 1976 (Par  Ministerio de Relaciones Exteriores de Chile. – Archivo General Histórico del Ministerio de Relaciones Exteriores, sous  licence CC BY 2.0 cl)

     

    Alors que les prix des denrées alimentaires montaient en flèche, les salaires avaient été gelés pour assurer « la stabilité économique et conjurer les pressions inflationnistes ». Du jour au lendemain, tout un pays avait été précipité dans une misère abyssale; en moins d’un an, le prix du pain au Chili a été multiplié par 36 et 85 % de la population chilienne est passée sous le seuil de pauvreté. C’était la « réinitialisation » du Chili en 1973. 

    Deux ans et demi plus tard, en 1976, je suis retourné en Amérique latine en tant que professeur invité à l’Université nationale de Cordoba, dans le cœur industriel du nord de l’Argentine. Mon séjour a coïncidé avec un autre coup d’État militaire en mars 1976.

    Derrière les massacres et les violations des droits de l’homme, des réformes macro-économiques de « libre marché » avaient également été prescrites – cette fois sous la supervision des créanciers argentins de New York, dont David Rockefeller qui était un ami du ministre de l’Économie de la Junte  José Alfredo  Martinez de Hoz.3

    Association des anciens de Chase

    Image: David Rockefeller rencontre le dictateur Jorge Videla (à droite) et le ministre des Finances Martinez de Hoz, 1978? (Source: Plaza de Mayo / Aucune violation du droit d’auteur prévue)

    Le Chili et l’Argentine étaient des « répétitions générales » pour les choses à venir. L’imposition du programme d’ajustement structurel (PAS) du FMI et de la Banque mondiale a été imposée à plus de 100 pays à partir du début des années 1980 (voir Michel Chossudovsky, La mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial, Global Research, 2003).4

    Exemple notoire de « marché libre »: le Pérou en août 1990 a été puni pour non-conformité aux diktats du FMI; le prix du carburant a été multiplié par 31 et le prix du pain a augmenté de plus de 12 fois en une seule journée.5 Ces réformes – menées au nom de la « démocratie » – ont été bien plus dévastatrices que celles appliquées au Chili et en Argentine sous le régime militaire.

    Le confinement de mars 2020. « Guerre économique »

    Et maintenant, le 11 mars 2020, nous entrons dans une nouvelle phase de déstabilisation macro-économique, plus dévastatrice et destructrice que 40 ans de “traitement de choc” et de mesures d’austérité imposées par le FMI au nom des intérêts financiers dominants.

    Il y a rupture, rupture historique et continuité. C’est du « néolibéralisme au nième degré ».

    Fermeture de l’économie mondiale: impacts économiques et sociaux au niveau de la planète entière

    Comparez ce qui arrive à l’économie mondiale aujourd’hui avec les mesures macro-économiques « négociées » pays par pays imposées par les créanciers dans le cadre du Programme d’ajustement structurel (PAS). L’« ajustement global » du 11 mars 2020 n’a pas été négocié avec les gouvernements nationaux. Il a été imposé par un “partenariat public-privé”, soutenu par de la fausse science, soutenu par la propagande médiatique et accepté par des politiciens cooptés et corrompus.

     

    Inégalités sociales et appauvrissement « artificiels ». La mondialisation de la pauvreté 

    Comparez les « lignes directrices » de « l’ajustement global  » du 11 mars 2020 affectant la planète entière au Chili du 11 septembre 1973 .

    Ironie du sort, les mêmes intérêts du Big Money à l’origine de « l’ajustement mondial » de 2020 étaient activement impliqués au Chili (1973) et en Argentine (1976). Souvenez-vous de « l’opération Condor » et de la « guerre sale » (Guerra Sucia).

    Il y a continuité. Les mêmes intérêts financiers puissants, y compris les bureaucraties du FMI et de la Banque mondiale en liaison avec la Réserve fédérale, Wall Street, la Banque des règlements internationaux (BRI) et le Forum économique mondial (WEF) sont actuellement impliqués dans la préparation et la gestion de l’après-pandémie opérations de dette « nouvelle normalité » (au nom des créanciers) dans le cadre de la Grande réinitialisation.

    Henry Kissinger a participé à la coordination de la « réinitialisation » du 11 septembre 1973 au Chili.

    L’année suivante (1974), il est chargé de la rédaction du « National Strategic Security Memorandum 200 (NSSM 200)  qui  identifie le dépeuplement comme « la plus haute priorité de la politique étrangère américaine envers le tiers monde ».6         

    La poussée du « dépeuplement » sous la grande réinitialisation? 

    L’illustration de Global Research/l’image d’Henry Kissinger provient du bureau photographique de la Maison Blanche/PD-USGOV, sous licence du  domaine public

    Aujourd’hui, Henry Kissinger est un fervent partisan aux côtés de la Fondation Gates (elle aussi résolument engagée dans le dépeuplement) du Great Reset sous l’égide du Forum économique mondial (WEF) (voir chapitre XIII).

    Nul besoin de négocier avec les gouvernements nationaux ni de procéder à un « changement de régime ». Le projet de confinement du 11 mars 2020 constitue un « Ajustement Global » qui déclenche des faillites, du chômage et des privatisations à une bien plus grande échelle affectant d’un seul coup les économies nationales de plus de 150 pays.

    Et tout ce processus est présenté à l’opinion publique comme un moyen de lutter contre le « virus tueur » qui, selon les CDC et l’OMS, s’apparente à la grippe saisonnière (voir chapitre III).

     

    La structure de pouvoir hégémonique du capitalisme mondial 

    Big Money, y compris les fondations milliardaires, en sont la force motrice. Il s’agit d’une alliance complexe entre Wall Street et l’establishment bancaire, les grands conglomérats pétroliers et énergétiques, les soi-disant «entrepreneurs de la défense», les grandes entreprises pharmaceutiques, les conglomérats biotechnologiques, les médias d’entreprise, les géants des télécommunications, des communications et de la technologie numérique, ainsi que un réseau de groupes de réflexion, de groupes de pression, de laboratoires de recherche, etc. La propriété intellectuelle joue également un rôle central.

    Ce puissant réseau décisionnel digital-financier implique également de grandes institutions créancières et bancaires: la Réserve fédérale, la Banque centrale européenne (BCE), le FMI, la Banque mondiale, les banques régionales de développement et la Banque des règlements internationaux basée à Bâle. (BIS), qui joue un rôle stratégique clé.

    Les entités financières de loin les plus puissantes sont les conglomérats géants de portefeuilles d’investissement, notamment Black Rock, Vanguard, State Street et Fidelity. Ils contrôlent: 

    « … un total combiné de 20 billions de dollars d’actifs gérés…. En comptant prudemment, un effet de levier quatre à cinq fois supérieur ( c’est-à- dire quelque 80 à 100 000 milliards de dollars américains) ». Ces puissants conglomérats financiers ont un effet de levier supérieur au PIB mondial qui est de l’ordre d’environ 82 000 milliards de dollars.7

    À leur tour, les échelons supérieurs de l’appareil d’État américain (et les alliés occidentaux de Washington) sont directement ou indirectement impliqués, y compris le Pentagone, le renseignement américain (et ses laboratoires de recherche), les autorités sanitaires, la sécurité intérieure et le département d’État américain (y compris les États-Unis ambassades dans plus de 150 pays).

     

    La « vraie économie » et le « grand argent »

    Pourquoi ces politiques de confinement liées au COVID sont-elles le fer de lance de la faillite, de la pauvreté et du chômage?

    Le capitalisme mondial n’est pas monolithique. Il existe en effet « un conflit de classe » « entre les super riches et la grande majorité de la population mondiale ».

    Mais il existe aussi une intense rivalité au sein du système capitaliste; à savoir un conflit entre le “Big Money Capital” et ce que l’on pourrait qualifier de “Real Capitalism” qui consiste en des sociétés dans différents domaines d’activité productive aux niveaux national et régional. Il comprend également les petites et moyennes entreprises.

    Ce qui est en cours est un processus de concentration de la richesse (et de contrôle des technologies de pointe) sans précédent dans l’histoire du monde, par lequel l’establishment financier (c’est-à-dire les créanciers de plusieurs milliards de dollars) est appelé à s’approprier les actifs réels des entreprises en faillite ainsi que de l’État. actifs.

    L’« économie réelle » constitue « le paysage économique » de l’activité économique réelle: actifs productifs, agriculture, industrie, services, infrastructures économiques et sociales, investissement, emploi, etc. L’économie réelle aux niveaux mondial et national est visée par le confinement et fermeture de l’activité économique. Les institutions financières de Global Money sont les « créanciers » de l’économie réelle.

     

    Gouvernance mondiale: vers un État totalitaire

    Les individus et les organisations impliqués dans la simulation 201 du 18 octobre 2019  sont désormais impliqués  dans la gestion effective de la crise une fois qu’elle est entrée en vigueur le 30 janvier 2020 dans le cadre de l’urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) de l’OMS, qui à son tour a fixé le scène de la crise financière de février 2020 et du confinement de mars (voir chapitre I).

    Le confinement et la fermeture des économies nationales ont déclenché plusieurs vagues de chômage de masse couplées à la faillite artificielle (appliquée dans le monde entier) des petites et moyennes entreprises (voir chapitre IV).

    Tout cela est mené par l’installation d’un État totalitaire mondial qui a l’intention de briser toutes les formes de protestation et de résistance.

    Le programme de vaccination COVID (y compris le passeport numérique intégré et le QR Code) fait partie intégrante d’un régime totalitaire mondial (voir chapitre VIII et chapitre XIII).

    Qu’est-ce que l’infâme ID2020? Il s’agit d’une alliance de partenaires publics-privés, y compris des agences des Nations Unies et de la société civile. Il s’agit d’un programme d’identification électronique qui utilise la vaccination généralisée comme plate-forme d’identité numérique. Le programme exploite les opérations existantes d’enregistrement des naissances et de vaccination pour fournir aux nouveau-nés une identité numérique portable et persistante liée par biométrie. zones rouges, masques faciaux, distanciation sociale, confinement. (Peter Koenig, 12 mars 2020)8

     

    “La grande réinitialisation”

    Les mêmes puissants créanciers qui ont déclenché la crise mondiale de la dette COVID établissent désormais une « nouvelle normalité » qui consiste essentiellement à imposer ce que le Forum économique mondial décrit comme la « grande réinitialisation ».

    En utilisant les blocages et les restrictions de COVID-19 pour accélérer cette transformation, la Grande Réinitialisation est déployée sous le couvert d’une “Quatrième Révolution Industrielle” dans laquelle les entreprises plus anciennes doivent être conduites à la faillite ou absorbées par des monopoles, fermant ainsi d’énormes sections de l’économie pré-COVID. Les économies sont en train d’être « restructurées » et de nombreux emplois seront assurés par des machines pilotées par l’IA.

    Les chômeurs (et il y en aura beaucoup) seraient placés sur une sorte de revenu de base universel et verraient leurs dettes (l’endettement et la faillite à grande échelle sont le résultat délibéré des blocages et des restrictions) annulées en échange de la remise de leurs actifs au état ou plus précisément aux institutions financières contribuant à conduire ce Grand Reset. Le WEF affirme que le public « louera » tout ce dont il a besoin: retirer le droit de propriété sous prétexte de « consommation durable » et de « sauver la planète ». Bien sûr, la petite élite qui a déployé cette grande réinitialisation possédera tout. (Colin Todhunter,  Dystopian Great Reset, 9 novembre 2020)9

     

    Appuyez sur le bouton de réinitialisation

    La grande réinitialisation du Forum économique mondial a mis longtemps à se préparer. “Appuyez sur le bouton de réinitialisation” en vue de sauver l’économie mondiale a été annoncé par le président du WEF, Klaus Schwab, en janvier 2014, six ans avant l’assaut de la pandémie de COVID-19.

    “Ce que nous voulons faire à Davos cette année [2014], c’est appuyer sur le bouton de réinitialisation,  le monde est trop pris en mode crise.”

    Deux ans plus tard, dans une interview accordée en 2016 à la chaîne de télévision suisse francophone (RTS), Klaus Schwab a parlé de l’implantation de micropuces dans le corps humain, qui est essentiellement la base du vaccin «expérimental» contre l’ARNm du COVID.

    “Ce que nous voyons est une sorte de fusion du monde physique, numérique et biologique”, a déclaré Klaus Schwab.

    Schwab a expliqué que les êtres humains recevront bientôt une puce qui sera implantée dans leur corps afin de fusionner avec le monde numérique.

    RTS: « Quand cela arrivera-t-il?

    KS: « Certainement dans les dix prochaines années.

    “On pourrait imaginer qu’on va les implanter dans notre cerveau ou dans notre peau.”

    “Et puis on peut imaginer qu’il y a une communication directe entre le cerveau et le monde numérique.”

    Cliquez ici pour regarder l’interview, Towards Digital Tyranny, avec Peter Koenig. Cliquez ici pour la version Bitchute.

     

    Capture d’écran de la vidéo / Copyright Global Research

     

    Juin 2020. Le WEF annonce officiellement la grande réinitialisation

    “La pandémie représente une fenêtre d’opportunité rare mais étroite pour réfléchir, réimaginer et réinitialiser notre monde afin de créer un avenir plus sain, plus équitable et plus prospère.” -Klaus Schwab, WEF (juin 2020)

    Ce qui est envisagé dans le cadre de « la grande réinitialisation » est un scénario dans lequel les créanciers mondiaux se seront appropriés d’ici 2030 la richesse mondiale tout en appauvrissant de larges secteurs de la population mondiale.

    En 2030,  “vous ne posséderez rien et vous serez heureux”.  (Cliquez ici pour regarder la vidéo)

     

    Les Nations Unies: un instrument de gouvernance mondiale au nom d’un partenariat public-privé non élu

    Le système des Nations Unies est également complice. Il a approuvé la «gouvernance mondiale» et la grande réinitialisation. Et le Vatican aussi.

    Image: Antonio Guterres (Par US Mission Photo par Eric Bridiers/Flickr, sous licence du domaine public)

    Alors que le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, reconnaît à juste titre que la pandémie est “plus qu’une crise sanitaire”, aucune analyse ou débat significatif sous les auspices de l’ONU sur les causes réelles de cette crise n’a été entrepris.

    Selon un rapport de l’ONU de septembre 2020:

    « Des centaines de milliers de vies ont été perdues. La vie de milliards de personnes a été bouleversée. En plus des impacts sur la santé, le COVID-19 a exposé et exacerbé de profondes inégalités … Il nous a affectés en tant qu’individus, en tant que familles, communautés et sociétés. Elle a eu un impact sur toutes les générations, y compris sur celles qui ne sont pas encore nées. La crise a mis en évidence des fragilités au sein des nations et entre elles, ainsi que dans nos systèmes pour mettre en place une réponse mondiale coordonnée aux menaces partagées. (Rapport de l’ONU)10

    Les décisions de grande envergure qui ont provoqué la destruction sociale et économique dans le monde ne sont pas mentionnées. Pas de débat au Conseil de sécurité de l’ONU. Consensus entre les cinq membres permanents du CSNU.

    V le virus est tenu pour responsable du processus de destruction économique.

    Le projet de « partenariat public-privé » du Forum économique mondial intitulé « Reimagine and Reset Our World »  a été approuvé par les Nations Unies.

    Image: George Kennan (Par Harris & Ewing/ Bibliothèque du Congrès, sous licence du  domaine public)

    Retour en arrière sur George Kennan et la doctrine Truman à la fin des années 1940. Kennan pensait que l’ONU fournissait un moyen utile de « relier le pouvoir à la moralité », en utilisant la moralité comme un moyen d’approuver automatiquement les « guerres humanitaires » de l’Amérique.

    La crise du COVID, les mesures de confinement et le vaccin ARNm sont l’aboutissement d’un processus historique.

    Le confinement et la fermeture de l’économie mondiale sont des « armes de destruction massive » qui, au sens propre du terme , « détruisent la vie des gens ». Abondamment documenté, le vaccin à ARNm COVID-19 est mieux décrit comme un «vaccin tueur». 

    Nous avons affaire à de vastes « crimes contre l’humanité ».

     

    Le président Joe Biden et la « grande réinitialisation »

    Joe Biden est un politicien soigné, un mandataire de confiance, au service des intérêts de l’establishment financier.

    N’oublions pas que Joe Biden était un fervent partisan de l’invasion de l’Irak au motif que Saddam Hussein « possédait des armes de destruction massive ». “Le peuple américain a été trompé dans cette guerre”, a déclaré le sénateur Dick Durbin. Ne vous laissez plus tromper par Joe Biden.11

    Acronymes évolutifs: 9/11, GWOT, WMD et maintenant COVID.  Biden a été récompensé pour avoir soutenu l’invasion de l’Irak.

    Pendant la campagne électorale, Fox News a décrit Biden comme un « socialiste » qui menace le capitalisme; “Le lien inquiétant de Joe Biden avec le mouvement socialiste ‘Great Reset'”.

    Bien que ce soit un non-sens absolu, de nombreux « progressistes » et militants anti-guerre ont approuvé Joe Biden sans analyser les conséquences plus larges de la présidence de Biden.

    “The Great Reset” est socialement source de division, c’est raciste. C’est un projet diabolique du capitalisme mondial. Elle constitue une menace pour la grande majorité des travailleurs américains ainsi que pour les petites et moyennes entreprises. Elle sape également plusieurs secteurs importants de l’économie capitaliste.

     

    La présidence Biden et le confinement

    En ce qui concerne le COVID, Biden est fermement déterminé à maintenir la fermeture partielle de l’économie américaine et de l’économie mondiale comme moyen de “combattre le virus tueur”.

    Le président Biden est un fervent partisan du confinement corona. Non seulement il approuve l’adoption de politiques de verrouillage fermes contre le COVID-19, mais son administration s’est engagée envers la «grande réinitialisation» du Forum économique mondial  et le «passeport vaccin» en tant que partie intégrante de la politique étrangère américaine, à mettre en œuvre ou plus correctement «imposée».” mondial.

    À son tour, l’administration Biden-Harris tentera de passer outre toutes les formes de résistance populaire au verrouillage du coronavirus.

    Ce qui se déroule est une phase nouvelle et destructrice de l’impérialisme américain. C’est un projet totalitaire d’ingénierie économique et sociale, qui finit par détruire la vie des gens dans le monde entier. Ce «nouveau» programme néolibéral utilisant le confinement corona comme instrument d’oppression sociale a été approuvé par le président Biden et la direction du Parti démocrate.

    La Maison Blanche Biden s’est engagée à mettre en place ce que David Rockefeller a appelé la «gouvernance mondiale».

     

    Le mouvement de protestation

    Il convient de noter que le mouvement de protestation aux États-Unis contre le verrouillage est faible. En fait, il n’y a pas de mouvement de protestation national cohérent à la base. Pourquoi? Parce que les «forces progressistes», y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d’ONG, les dirigeants syndicaux et syndicaux – dont la plupart sont alignés sur le Parti démocrate – ont depuis le début soutenu le confinement. Et ils soutiennent également Joe Biden.

    Ironie du sort, les militants anti-guerre ainsi que les détracteurs du néolibéralisme ont soutenu Joe Biden.

    À moins qu’il n’y ait des protestations importantes et une résistance organisée, aux  niveaux national et international, la Grande Réinitialisation sera intégrée aux programmes de politique étrangère nationale et américaine de l’administration Joe Biden-Kamala Harris.

    C’est ce que vous appelez l’impérialisme à « visage humain ».

    Où est le mouvement de protestation contre ce « partenariat public-privé » Corona non élu?

    Les mêmes fondations philanthropiques (Rockefeller, Ford, Soros, et al.) qui sont les architectes tacites du « Great Reset » et de la « Global Governance » sont également impliquées dans le financement (généreux) de l’activisme climatique, de l’Extinction Rebellion, du World Social Forum, Black Lives Matter, LGBT, et al.

    Cela signifie que la base de ces mouvements sociaux est souvent induite en erreur et trahie par leurs dirigeants qui sont régulièrement cooptés et généreusement récompensés par une poignée de fondations d’entreprise.

    Le Forum social mondial (FSM), qui célèbre son 21e anniversaire, rassemble des militants altermondialistes engagés du monde entier. Mais qui contrôle le FSM? Dès le début en janvier 2001, il a été (initialement) financé par la Fondation Ford.

    C’est ce que vous appelez  « la dissidence fabriquée » (beaucoup plus insidieuse que le « consentement fabriqué » d’Herman-Chomsky).

    L’objectif des élites financières « a été de fragmenter le mouvement populaire en une vaste mosaïque de « faites-le vous-même ». L’activisme a tendance à être fragmentaire. Il n’y a pas de mouvement intégré anti-mondialisation anti-guerre. (Michel Chossudovsky, Manufacturing Dissent, Global Research, 2010)12

    Image: Joe Biden avec Henry Kissinger (Par  Kai Mörk – www.securityconference.de,  sous licence  CC BY 3.0 de)

    Selon les mots de McGeorge Bundy, président de la Fondation Ford (1966-1979):

    « Tout ce que la Fondation [Ford] a fait pourrait être considéré comme « rendre le monde sûr pour le capitalisme », réduire les tensions sociales en aidant à réconforter les affligés, fournir des soupapes de sécurité pour les en colère et améliorer le fonctionnement du gouvernement.13

    Le mouvement de protestation contre la Grande Réinitialisation qui constitue un « coup d’État mondial » nécessite un processus de mobilisation mondiale:

    « Il ne peut y avoir de mouvement de masse significatif  lorsque la dissidence est généreusement financée par ces mêmes intérêts corporatifs [WEF, Gates, Ford, et al.] qui sont la cible du mouvement de protestation ».14

     

     

    Notes 

    1 Michel Chossudovsky, avril-juin 1975. Hacia El Nuevo Modelo Económico Chileno Inflación Y Redistribución Del Ingreso. https://www.jstor.org/stable/20856482?refreqid=excelsior%3A9228243fa26a81bb3c2b0c2d58094922&seq=1

    2 Idem.

    3 Michel Chossudovsky, 16 avril 1977. Violence légitimée et politique économique en Argentine. https://www.jstor.org/stable/4365500?seq=1 

    4 Prof Michel Chossudovsky, 3 juin 2020. Comprendre la mondialisation de la pauvreté et le nouvel ordre mondial. https://www.globalresearch.ca/understand-the-globalization-of-poverty-and-the-new-world-order/25371

    5 Idem. 

    6 Conseil de sécurité nationale, 10 décembre 1974. Implications de la croissance démographique mondiale pour la sécurité des États-Unis et les intérêts étrangers (LE RAPPORT KISSINGER). https://pdf.usaid.gov/pdf_docs/PCAAB500.pdf

    7 Peter Koenig, 22 janvier 2022. La crise du COVID-Omicron : la feuille de route vers un krach financier mondial, l’inflation, la numérisation. https://www.globalresearch.ca/covid-omicron-is-killing-christmas-and-beyond-financial-crash-inflation-digitization/5765170

    8 Peter Keonig, 12 mars 2020. Le vaccin contre le coronavirus : le vrai danger est « Agenda ID2020 ». La vaccination comme plate-forme pour «l’identité numérique». https://www.globalresearch.ca/coronavirus-causes-effects-real-danger-agenda-id2020/5706153

    9 Colin Todhunter, 9 novembre 2020. « Great Reset » dystopique : « Ne rien posséder et être heureux », Être humain en 2030.  https://www.globalresearch.ca/own-nothing-happy-being-human-2030/ 5728960

    10 ONU, septembre 2020. Réponse globale des Nations Unies à la COVID-19. https://www.un.org/sites/un2.un.org/files/un-comprehensive-response-to-covid-19.pdf

    11 Mark Weisbrot, 17 février 2020. VAUT-IL LE PRIX ? Joe Biden et le lancement de la guerre en Irak (narré par Danny Glover). https://www.youtube.com/watch?v=vhcuei8_UJM

    12 Prof Michel Chossudovsky, 20 septembre 2010. « Fabrication de la dissidence » : Le mouvement anti-mondialisation est financé par les élites patronales. https://www.globalresearch.ca/manufacturing-dissent-the-anti-globalization-movement-is-funded-by-the-corporate-elites/21110

    13 Idem. 

    14 Idem.

     

    Chapitre XIII 

    « Digital Tyranny » et le QR Code

     

    “C’est l’invasion mondiale du code QR – le codage QR de tout : toutes vos données les plus intimes, votre santé, vos comportements personnels, vos habitudes – des traces d’où nous sommes allés et même où nous prévoyons d’aller. Rien n’échappera au QR code. Personne n’en parle. » Peter Koenig, ancien analyste de la Banque mondiale, chercheur associé au Centre de recherche sur la mondialisation

     

    Vers un État policier mondial numérisé 

    Le projet mondial de code de vérification QR  jette les bases de la mise en place d’un «État policier mondial numérisé» contrôlé par l’établissement financier. Cela fait partie de ce que feu David Rockefeller a intitulé “La marche vers un gouvernement mondial” basé sur une alliance de banquiers et d’intellectuels (voir chapitre XII).  Peter Koenig décrit le code QR comme suit:

    “une identification entièrement électronique – reliant tout à tout de chaque individu (dossiers de santé, bancaires, personnels et privés, etc.).”

     

    Vers un système mondial de monnaie numérique (CBDC)  

    Des consultations sont également en cours entre le Forum économique mondial (WEF) et les banques centrales en vue de mettre en place un réseau dit Central Bank Digital Currency (CBDC). Selon David Skripac,

    « Un système mondial d’identification numérique est en préparation. … L’objectif du WEF – et de toutes les banques centrales  [est] de mettre en œuvre un système mondial dans lequel les données personnelles de chacun seront intégrées au réseau Central Bank Digital Currency (CBDC).1  

     

    Le logiciel de code de vérification QR

    Début 2022, l’OMS a signé un contrat majeur avec Deutsche Telekom T Systems pour développer une application et un logiciel de vérification QR qui doivent être appliqués dans le monde entier.

    La solution logicielle basée sur le code QR est prévue pour être utilisée:

    “Pour d’autres vaccinations également, comme la poliomyélite ou la fièvre jaune, a déclaré T-Systems dans un communiqué… ajoutant que l’OMS soutiendrait ses 194 États membres dans la mise en place d’une technologie de vérification nationale et régionale. ” (nous soulignons)

    Selon un communiqué de Deutsche Telekom IT Systems, “le service de passerelle de l’OMS sert également de pont entre les systèmes régionaux“, ce qui implique essentiellement une structure mondiale coordonnée de surveillance QR, qui supervise l’ensemble de la population de la planète Terre.2

    Et une fois établi, il contrôlera “tous les aspects de nos vies”, où que nous nous trouvions. « Il peut également être utilisé dans le cadre de futures campagnes de vaccination et de dossiers à domicile.

    Selon le PDG de Deutsche Telecom T Systems:

    «Corona a une emprise sur le monde. La numérisation fait tourner le monde ».3

    Bill Gates entretient une relation de longue date avec l’ancien PDG de Deutsche Telekom,  Ron Sommer, qui remonte à la fin des années 1990.4

     

    Traçage et suivi

    T-Systems avait précédemment mis en place le European Federation Gateway Service (EFGS). Le service garantit que les applications de traçage corona des États membres fonctionnent au-delà des frontières.

    L’application Telekom est classée dans la catégorie “l’une des applications de traçage les plus performantes au monde”.

    Qui a la mainmise sur le monde? Une banque de données géante concernant près de  8 milliards de personnes  est contrôlée par « Big Money ».5

    Les gens sont marqués et étiquetés, leurs e-mails, leurs téléphones portables sont surveillés, des données personnelles détaillées sont saisies dans une banque de données géante Big Brother.

    La « tyrannie numérique » exige de repousser toutes les formes de résistance politique et sociale.

    Les êtres humains individuels sont classés dans la catégorie des « nombres ». Une fois ces « chiffres » insérés dans une banque de données numérique mondiale, l’humanité dans son ensemble est sous le contrôle des globalistes, à savoir l’Establishment Financier.

    L’histoire, la culture et l’identité des États-nations sont forcloses. Les gens deviennent des numéros insérés dans une banque de données mondiale. À son tour, la formulation de projets de société  (projet de société) aux niveaux national, local et communautaire est effacée.

    Social-démocratie, socialisme, libertarisme: sous gouvernance mondiale, toutes les formes de démocratie représentative et de lutte des classes sont précipitées dans les poubelles de l’histoire.

    Les progressistes doivent comprendre qui se cache derrière ce projet hégémonique, cela fait partie d’un agenda néolibéral, c’est une fin de partie qui détruit l’identité des êtres humains; il détruit l’humanité.

    Il est important d’organiser un large mouvement de résistance menant au démantèlement pur et simple de ce programme diabolique, qui est inscrit dans le Traité sur la pandémie de l’OMS, parrainé  par le Forum économique mondial (WEF) et la Fondation Gates.

    Les modalités du projet des mondialistes sont intégrées dans le Traité sur la pandémie de l’OMS, une initiative du WEF et de la Fondation Gates.

     

    Le tristement célèbre “Traité sur les pandémies” de l’OMS  

    Image: Code QR endommagé mais toujours décodable (sous licence CC0 )

    En mars 2022, l’OMS a lancé un organe intergouvernemental de négociation (INB) avec pour mandat de créer  “un traité sur la pandémie”, c’est-à-dire.  une entité de gouvernance mondiale de la santé qui passerait outre l’autorité des États membres de l’OMS.

    «Le Traité mondial sur la pandémie sur la préparation à une pandémie accorderait à l’OMS un pouvoir absolu sur la biosécurité mondiale, tel que le pouvoir de mettre en œuvre des identités numériques / passeports vaccinaux, des vaccinations obligatoires, des restrictions de voyage, des confinements, des soins médicaux standardisés, etc.

    Ce traité sur la pandémie, s’il est mis en œuvre, changera le paysage mondial et nous privera, vous et moi, de certains de nos droits et libertés les plus fondamentaux.

    Ne vous méprenez pas, le  Traité de l’OMS sur la pandémie  est une attaque directe contre la souveraineté de ses États membres, ainsi qu’une attaque directe contre votre autonomie corporelle. (Peter Koenig, juin 2022)6

    Le Traité sur les pandémies est lié au projet de code de vérification QR de l’OMS et au vaccin à ARNm COVID-19.

    La légitimité du Traité sur les  pandémies et du Code de vérification QR sous les auspices de l’OMS repose sur la présomption que la prétendue « pandémie de COVID-19 est réelle » et que le vaccin à ARNm constitue une SOLUTION pour freiner la propagation du virus. 

    Quelle est la légitimité ainsi que la science derrière ce projet diabolique? RIEN. Amplement confirmé:  IL N’Y A PAS DE PANDÉMIE. La prétendue pandémie de COVID-19 est basée sur de la « fausse science » (voir chapitre III).

    Le cadre de certificat numérique COVID de l’UE ainsi que le code de vérification QR de l’OMS sont  fondés sur des mensonges et des fabrications éhontés.

    Le traité sur les pandémies est la «porte dérobée» vers la «gouvernance mondiale» et la tyrannie numérique. Elle consiste à construire un réseau mondial de régimes par procuration contrôlés par une « souveraineté supranationale » (Gouvernement mondial) composée d’institutions financières de premier plan, de milliardaires et de leurs fondations philanthropiques (voir chapitre XII).

    Image du  Conseil de l’Union européenne

     

    Le plan de l’OMS est pour 10 ans de pandémies (2020-2030)

    Une série de futures pandémies a été envisagée par l’OMS avec le soutien de la Fondation Gates. Selon le président du Conseil européen  Charles Michel et le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus: 

     « Il y aura d’autres pandémies et d’autres urgences sanitaires majeures.

    La question n’est pas si, mais quand. … nous devons être mieux préparés pour prévoir, prévenir, détecter, évaluer et répondre efficacement aux pandémies de manière hautement coordonnée.

    À cette fin, nous pensons que les nations devraient travailler ensemble vers un nouveau traité international pour la préparation et la réponse aux pandémies. »

    -Appel conjoint pour un traité international sur la pandémie7

     

    La « pandémie numéro deux » de Bill Gates: le monkeypox?

    «Nous aurons une autre pandémie. Ce sera un agent pathogène différent la prochaine fois » (CNBC, 18 février 2022)

    « Il va falloir se préparer pour le prochain…

    « Pour être prêt pour la deuxième pandémie, … j’appelle cette pandémie une » (Bill Gates, voir la vidéo: L’OMS prévoit 10 ans de pandémies)8

    Le président Joe Biden a déclaré que l’Amérique “doit commencer à obtenir des financements pour se préparer à la prochaine pandémie“.

    Big Money est derrière la proposition de Biden, qui soutient Bill Gates:

    “La Maison Blanche a proposé d’allouer 82 milliards de dollars à la planification de la réponse à la pandémie”. (Initié des affaires, 23 juin 2022)9

     

    Le Monkeypox PHEIC

    Le 23 juillet 2022, une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI)  a été déclarée unilatéralement par le directeur général de l’OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus,  contre un vote majoritaire du comité d’urgence du Règlement sanitaire international (RSI) (9 contre, 6 pour).10

    “Nous avons une épidémie qui s’est propagée rapidement dans le monde grâce à de nouveaux modes de transmission… J’ai [Tedros] décidé que l’épidémie mondiale de monkeypox représente une urgence de santé publique de portée internationale.”   …11

     “Bien que je [Tedros] déclare une urgence de santé publique de portée internationale, pour le moment, il s’agit d’une épidémie qui se concentre chez les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes, en particulier ceux qui ont plusieurs partenaires sexuels. …

    Il est donc essentiel que tous les pays travaillent en étroite collaboration avec les communautés d’hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes , pour concevoir et fournir des informations et des services efficaces, et pour adopter des mesures qui protègent la santé, les droits humains et la dignité des communautés concernées.

    (nous soulignons)

    “J’ai décidé… “

    La décision de Tedros de déclarer une USPPI au mépris du Comité d’urgence est illégale. L’ annonce ci  -dessus frise le ridicule. Où est la science? Quelles sont les implications? Un examen des déclarations de l’OMS révèle des “biais scientifiques” et des manipulations pures et simples.

    Et devinez quoi: c’est le test PCR en temps réel, que le CDC a déclaré invalide pour détecter le SARS-CoV-2 (en vigueur le 31 décembre 2021), qui est maintenant utilisé pour « détecter l’agent pathogène monkeypox ».12

    Capture d’écran du CDC

    Rien ne prouve que la variole du singe soit une maladie sexuellement transmissible. (Voir Michel Chossudovsky, Global Research, 1er août 2022)13

    La déclaration de Tedros constitue-t-elle une  atteinte aux droits fondamentaux de la communauté LGBT qui fait actuellement l’objet des mesures d’urgence? Selon les termes du rapport du Comité d’urgence du RSI cité ci-dessus: « les interventions [sont] ciblées sur ce segment de la population [LGBT] ».

    L’OMS est financée par la Fondation Gates. Et Bill Gates est au centre. Il fait pression pour le scénario monkeypox depuis 2017.

    De plus, en mars 2021, une simulation sur table (similaire à la simulation Event 201 d’octobre 2019) généreusement financée par  des  fondations multimilliardaires, dépeint un “scénario d’exercice fictif d’une pandémie mondiale mortelle impliquant une souche inhabituelle du virus de la variole du singe”. La simulation a été présentée à la Conférence de Munich sur la sécurité.  

     

    Simulation contre épidémie de monkeypox « réelle »

    Le 15 mai 2022  marque le début de l’épidémie de monkeypox dans le « scénario simulé »  (voir figure ci-dessous), menant à janvier 2023 (83 pays touchés) avec 70 millions de cas confirmés et 1,3 million de décès (voir graphique ci-dessous).14

    Hasard? Visiblement, le 15 mai 2022 ainsi que les 150 cas  de la simulation  ressemblent étrangement aux rapports de presse “REAL” et à l’avis de l’OMS:         

    “Depuis le 13 mai 2022, des cas de monkeypox ont été signalés à [l’] OMS par 12 États membres qui ne sont pas endémiques pour le virus du monkeypox, dans trois régions de l’OMS. Des enquêtes épidémiologiques sont en cours, … » (OMS Advisory)15

     

    Capture d’écran du  scénario simulé, Conférence de Munich sur la sécurité, page 10 du rapport NTI  

     

    La transition de PHEIC 2.0 à la « pandémie numéro deux »? 

    L’USPPI du monkeypox de juillet 2022 du Dr Tedros a été calquée sur l’ USPPI COVID-19 du 30 janvier 2020 de l’OMS (voir chapitre II).

    Et après? L’USPPI prépare le terrain. C’est un préambule aux pandémies ultérieures.

    L’historique Monkeypox PHEIC 2.0 du 23 juillet 2022 ouvrira-t-il la voie à la « pandémie numéro deux », c’est-à-dire une pandémie mondiale de monkeypox, officiellement promulguée par l’OMS à une date ultérieure?

    Un vaccin contre la variole du singe a été développé (avant l’épidémie de mai 2022). Il a été annoncé le 18 mai 2022.16

     

    Notes

    1 David Skripac, 26 mars 2022. Oh, Canada ! Notre maison et indigène. . . Dictature! Le WEF « piétine nos libertés ». https://www.globalresearch.ca/canada-our-home-native-dictatorship/5772052

    2 Albert Hold, 23 février 2022. Vérification des certificats Covid 19 : l’Organisation mondiale de la santé sélectionne T-Systems comme partenaire industriel. https://www.telekom.com/en/media/media-information/archive/covid-19-who-commissions-t-systems-648634

    3 Idem.

    4 Dow Jones Newswires, 4 septembre 1998. Deutsche Telekom ne commentera pas les rapports de discussions avec Microsoft. https://www.wsj.com/articles/SB904923633645893500

    5 Worldomètre, sd Population mondiale actuelle. https://www.worldometers.info/world-population/

    6 Peter Koenig & Prof. Michel Chossudovsky, 2 juin 2022. Vidéo : Digital Tyranny and the QR Code. Le Traité de l’OMS sur la pandémie est la porte dérobée à la « gouvernance mondiale ». https://www.globalresearch.ca/digital-tyranny-and-the-qr-code-the-who-pandemic-treaty-is-a-back-door-to-global-governance/5782245

    7 Conseil de l’Union européenne, sd Traité international sur la prévention et la préparation aux pandémies. https://www.consilium.europa.eu/en/policies/coronavirus/pandemic-treaty/

    8 Stopworldcontrol, 4 mai 2022. LE PLAN – L’OMS prévoit 10 ans de pandémies, de 2020 à 2030.  https://rumble.com/v13kefy-must-see-the-plan-who-plans-for-10- années-de-pandémies-de-2020-à-2030.html

    9 Matthew Loh, 23 juin 2022. Biden dit qu’une autre pandémie surviendra et que les États-Unis doivent commencer à s’y préparer. https://www.businessinsider.com/biden-second-pandemic-funding-us-preparing-2022-6

    10 Prof. Michel Chossudovsky, 25 mai 2022. Worldwide Monkeypox Health Emergency (PHEIC): For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022.  https://www. globalresearch.ca/bill-gates-warns-variole-terror-attacks-urges-leaders-use-germ-games-prepare/5781195

    11 OMS, 23 juillet 2022. Déclaration du Directeur général de l’OMS lors de la conférence de presse qui a suivi le Comité d’urgence du RSI concernant l’épidémie multi-pays de monkeypox – 23 juillet 2022.  https://www.who.int/director-general/speeches/ detail/who-director-general-s-statement-on-the-press-conference-following-IHR-emergency-committee-concernant-the-multi–country-outbreak-of-monkeypox–23-juillet-2022

    12 CDC, 6 juin 2022. Procédure de test : test PCR générique en temps réel du virus Monkeypox. https://www.cdc.gov/poxvirus/monkeypox/pdf/pcr-diagnostic-protocol-508.pdf

    13 Pr Michel Chossudovsky, 1er août 2022. « Chaos factuel » à l’OMS ? Dr Tedros : L’épidémie de Monkeypox concerne « les hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes ». https://www.globalresearch.ca/factual-chaos-at-the-who-dr-tedros-monkeypox-outbreak-is-among-men-who-have-sex-with-men/5788349

    14 NTI, 23 novembre 2021. Renforcement des systèmes mondiaux pour prévenir et répondre aux menaces biologiques à hautes conséquences. https://www.nti.org/analysis/articles/strengthening-global-systems-to-prevent-and-respond-to-high-consequence-biological-threats/

    15 OMS, 21 mai 2022. Flambée de variole du singe dans plusieurs pays dans des pays non endémiques. https://www.who.int/emergencies/disease-outbreak-news/item/2022-DON385

    16 Prof. Michel Chossudovsky, 25 mai 2022. Worldwide Monkeypox Health Emergency (PHEIC): For Bill Gates, It’s “Moneypox”: Simulation of Fictitious Monkeypox Virus Pandemic in March 2021, Goes Live in May 2022.  https://www. globalresearch.ca/bill-gates-warns-variole-terror-attacks-urges-leaders-use-germ-games-prepare/5781195

     

    Chapitre XIV

    La phase finale du COVID-19: l’eugénisme

    et le programme de dépopulation

     

    «Nous sommes maintenant confrontés à une situation où un grand nombre d’organisations et d’élites très puissantes aux niveaux international et national appellent à des politiques qui sont essentiellement un pacte de suicide. Fondamentalement, un souhait de mort quelconque. Patrick Moore, ancien président de Greenpeace

    Ces milliardaires “Do Goodie” ont-ils une idée du carnage et de la souffrance que leur campagne de vaccination de masse est susceptible de générer? Ou est-ce le but, un monde avec moins de gens? – Michael Whitney, auteur de renom et analyste géopolitique. 

     

    Introduction

    Les deux piliers stratégiques de l’agenda COVID examinés dans les chapitres précédents sont:

  • Le confinement: un acte de guerre économique et sociale qui a déclenché un processus mondial d’appauvrissement, de marginalisation sociale et de désespoir,
  • Le « vaccin » ARNm COVID qui a entraîné une tendance mondiale à la hausse de la mortalité et de la morbidité.
  • Sans précédent dans l’histoire du monde, ces deux piliers stratégiques contribuent à déclencher un processus de dépeuplement qui indique de manière indélébile des crimes contre l’humanité à grande échelle.

    L’application du programme de dépopulation nécessite une structure socialement répressive de « gouvernance mondiale » contrôlée par l’establishment financier.

    Cela nécessite également un appareil de propagande cohésif en vue de faire respecter l’acceptation sociale dans le monde entier. À son tour, ce processus nécessite la disparition des institutions du gouvernement représentatif couplée à la criminalisation du système judiciaire.

     

    Dépopulation et histoire de l’eugénisme

    Le scénario de la gouvernance mondiale tente d’imposer un programme d’ingénierie sociale et de conformité économique.

    Le gouvernement mondial envisagé par les mondialistes est fondé sur l’obéissance et l’acceptation. L’un de ses principaux objectifs est de mener à bien un programme mondial de dépopulation.

    Le mouvement eugéniste contemporain parrainé par le Forum économique mondial (WEF) et les philanthropes milliardaires s’articule autour de deux piliers stratégiques: le verrouillage du COVID et le vaccin à ARNm, qui sont des instruments de réduction de la population mondiale.

    Les guerres menées par les États-Unis et l’OTAN sont également des instruments de dépeuplement.

    Ce que nous vivons actuellement est sans précédent. Le programme de dépopulation d’aujourd’hui n’est en aucun cas comparable au mouvement eugéniste qui s’est déployé aux États-Unis au début du XXe siècle. Au départ, l’eugénisme reposait sur une législation dirigée contre des groupes de population spécifiques souffrant de ce qu’on appelle des « handicaps d’apprentissage ou physiques »:

    « La loi de 1907 refusait l’entrée à toute personne jugée ‘mentalement ou physiquement déficiente, ces déficiences mentales ou physiques étant d’une nature susceptible d’affecter la capacité de cet étranger à gagner sa vie’. Il a ajouté les «imbéciles» et les «faibles d’esprit» à la liste. …

    En 1938, 33 États américains autorisaient la stérilisation forcée des femmes ayant des troubles d’apprentissage et 29 États américains avaient adopté des lois de stérilisation obligatoire couvrant les personnes soupçonnées d’avoir des maladies génétiques. Les lois américaines restreignaient également le droit de certaines personnes handicapées de se marier. Plus de 36 000 Américains ont subi une stérilisation obligatoire avant que cette législation ne soit finalement abrogée dans les années 1940. »(Victoria Brignell)1

     

    Dépopulation dirigée contre les pays du tiers monde

    Inspiré par l’idéologie eugéniste, le dépeuplement après la Seconde Guerre mondiale est devenu partie intégrante d’un programme néocolonial. Elle a été soigneusement intégrée dans les principes de la politique étrangère américaine, largement dirigée contre les soi-disant « pays en développement ».

    Nous rappelons le mémorandum d’étude sur la sécurité nationale 200 du secrétaire d’État américain Henry Kissinger   intitulé  “Implications of Worldwide Population Growth For US Security and Overseas Interests”.

     

    Capture d’écran du document du Conseil de sécurité nationale

     

    Selon Kissinger (NSSM 200, 1974):

    “Le dépeuplement devrait être la priorité absolue de la politique étrangère envers le tiers monde, car l’économie américaine aura besoin de quantités importantes et croissantes de minerais provenant de l’étranger, en particulier des pays les moins développés.”

    Illustration par Global Research / L’image d’Henry Kissinger est de Jay Godwin / Flickr, sous licence du  domaine public

     

    La campagne de vaccination dirigée contre les pays du tiers monde

    En ce qui concerne les pays du tiers monde, le dépeuplement a été soigneusement instrumenté grâce aux vaccins. Le projet « vaccins contre le tétanos » mis en œuvre sous l’égide de l’OMS-UNICEF avait pour but de « stériliser en secret les femmes des pays pauvres de toute la planète ».

    « Les évêques catholiques du Kenya accusent deux organisations des Nations Unies d’avoir stérilisé des millions de filles et de femmes sous le couvert d’un programme de vaccination contre le tétanos parrainé par le gouvernement kenyan.2

    Bill Gates, qui est maintenant à l’avant-garde du programme de « vaccin » ARNm des mondialistes, était étroitement impliqué. “La Fondation Gates a été poursuivie par des gouvernements du monde entier, du Kenya, de l’Inde, des Philippines – et plus encore.” (Peter Koenig, avril 2020)3

     

    Le programme de dépopulation des mondialistes. « Que faire de tous ces gens inutiles? »

    Alors que les mondialistes considèrent que la planète Terre est surpeuplée, ils ne reconnaissent pas formellement que les mandats COVID-19, y compris le vaccin, constituent le moyen de réduire la population mondiale. Le vaccin est considéré comme un moyen de «sauver des vies».

    Le protégé de Klaus Schwab, le professeur Yuval Noah Harari , pose néanmoins la question: « que faire de tous ces gens inutiles? 

    Harari est un membre influent du Forum économique mondial (WEF) qui soutient l’idée de créer une société dystopique gérée par une poignée de mondialistes qui régneront sur chaque être humain sur terre dès le jour de leur naissance. (Timothy Alexander Guzman, juillet 2022)4

     

    Réunion secrète 2009 de « The Good Club ». “Les milliardaires tentent de réduire la population mondiale”

    Flashback au 25 avril 2009. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) dirigée par Margaret Chan  a déclaré une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) concernant la pandémie de grippe porcine H1N1, qui à bien des égards était une « répétition générale » du COVID pandémie (voir chapitre IX). À peine deux semaines plus tard, début mai 2009, au plus fort de la « pandémie » H1N1, les philanthropes milliardaires se sont réunis à huis clos au domicile du président de l’université Rockefeller à Manhattan.

    Ce rassemblement secret était parrainé par Bill Gates. Ils s’appellent eux-mêmes “Le Bon Club”. Parmi les participants figuraient feu David Rockefeller, Warren Buffett, George Soros, Michael Bloomberg, Ted Turner, Oprah Winfrey  et bien d’autres:

    “Certains des principaux milliardaires américains se sont rencontrés secrètement pour réfléchir à la manière dont leur richesse pourrait être utilisée pour ralentir la croissance de la population mondiale et accélérer les améliorations en matière de santé et d’éducation.” (Dimanche Times, mai 2009)5

    L’accent n’était pas mis sur la croissance démographique (c’est-à-dire la parentalité planifiée) mais sur la « dépopulation », c’est-à-dire la réduction de la taille absolue de la population mondiale. Pour lire l’article complet du WSJ, cliquez ici.

    Selon le reportage du Sunday Times:

    Les philanthropes qui ont assisté à un sommet convoqué à l’initiative de Bill Gates, le co-fondateur de Microsoft, ont discuté d’unir leurs forces pour surmonter les obstacles politiques et religieux au changement.

    Stacy Palmer, rédactrice en chef du Chronicle of Philanthropy, a déclaré que le sommet était sans précédent. « Nous ne l’avons appris qu’après coup, par accident. Normalement, ces gens sont heureux de parler de bonnes causes, mais c’est différent – ​​peut-être parce qu’ils ne veulent pas être considérés comme une cabale mondiale », a-t-il déclaré.

    Un autre invité a déclaré qu’il n’y avait “rien d’aussi grossier qu’un vote”, mais un consensus s’est dégagé pour soutenir une stratégie dans laquelle la croissance démographique serait abordée comme une menace environnementale, sociale et industrielle potentiellement désastreuse.

    “C’est quelque chose de tellement cauchemardesque que tout le monde dans ce groupe a convenu qu’il avait besoin de réponses de gros cerveaux”, a déclaré l’invité. …

    Pourquoi tout ce secret? “Ils voulaient parler de riche à riche sans craindre que ce qu’ils disaient se retrouve dans les journaux, les dépeignant comme un gouvernement mondial alternatif”, a-t- il déclaré. (Dimanche fois)6

    La prise de décision est complexe et complexe. Les rapports de cette réunion secrète de mai 2009 révèlent largement le récit de la dépopulation. C’était l’une des nombreuses réunions similaires (qui font rarement l’objet d’une couverture médiatique).

    Ce qui est significatif, c’est l’intention criminelle de ces « philanthropes » milliardaires de dépeupler la planète Terre.

     

    Déclaration de Bill Gates 2010 sur le dépeuplement. Le rôle des « nouveaux vaccins »

    Image: Bill Gates (Par Kuhlmann /MSC, sous licence  CC BY 3.0 de)

    Une « réduction » absolue de la population mondiale était  -elle envisagée lors de cette réunion secrète de mai 2009 ? Quelques mois plus tard, Bill Gates dans sa présentation TED (février 2010) concernant la vaccination, a confirmé ce qui suit:

    « Et si nous faisons un très bon travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de santé reproductive, nous pourrions réduire cela [la population mondiale] de 10 ou 15 % ».7

    Écoutez la citation dans cette vidéo à partir de 04:21. Sinon, voir ci-dessous pour la capture d’écran de la citation.

    Club milliardaire pour endiguer la surpopulation.
     

    Capture d’écran de la vidéo TED Talk

     

    La “réduction absolue” de Bill Gates dans la population mondiale 

    La proposition de Bill Gates d’une “réduction absolue” de la population mondiale en utilisant la vaccination comme instrument serait la suivante:

    La population mondiale (estimation novembre 2022) est de l’ordre de 8,0 milliards.

  • Une réduction absolue de 10% en 2022 serait de l’ordre de 800 millions.
  • Une réduction absolue de 15% de la population mondiale en 2022 serait de l’ordre de 1,2 milliard.
  • Le même groupe de milliardaires, qui s’est réuni au «lieu secret» de mai 2009, a été activement impliqué dès le début de la crise COVID dans la conception des politiques de verrouillage appliquées dans le monde entier, le vaccin à ARNm et la «Grande réinitialisation», dont la fin de partie est un dépeuplement massif. 

    Les crimes contre l’humanité sont indescriptibles.

    Nous avons affaire à une cabale criminelle qu’il faut affronter.

     

    Notes 

    1 Victoria Brignell, 10 décembre 2010. Quand l’Amérique croyait à l’eugénisme. https://www.globalresearch.ca/when-america-believed-eugenics/5743548?utm_campaign=magnet&utm_source=article_page&utm_medium=related_articles

    2 Michael Snyder, 11 novembre 2014. L’OMS utilise-t-elle des vaccins pour stériliser secrètement les femmes partout dans le monde ? https://www.globalresearch.ca/is-the-un-using-vaccines-to-secretly-sterilize-women-all-over-the-globe/5413599

    3 Peter Koenig, 4 mars 2021. Bill Gates et le programme de dépopulation. Robert F. Kennedy Junior demande une enquête. https://www.globalresearch.ca/bill-gates-and-the-depopulation-agenda-robert-f-kennedy-junior-calls-for-an-investigation/5710021

    4 Timothy Alexander Guzman, 6 août 2022. Le culte du mondialisme : la grande réinitialisation et sa « solution finale » pour les « personnes inutiles ». https://www.globalresearch.ca/cult-globalism-great-reset-final-solution-useless-people/5784969

    5 John Harlow, 24 mai 2009. Club de milliardaires pour lutter contre la surpopulation. https://www.thetimes.co.uk/article/billionaire-club-in-bid-to-curb-overpopulation-d2fl22qhl02

    6 Idem.

    7 Bill Gates, 2010. Innover à zéro ! https://www.ted.com/talks/bill_gates_innovating_to_zero/transcript

     

    Chapitre XV

    La route à suivre: 

    Construire un mouvement mondial contre la « tyrannie corona »

     

     

    La prise de la Bastille s’est produite à Paris dans l’après-midi du 14 juillet 1789. La Bastille était une armurerie médiévale, une forteresse et une prison politique. C’était le symbole de l’Autorité Royale sous le règne du Roi Louis XVI.

    La monarchie française a été obligée d’accepter l’autorité du nouveau proclamél’Assemblée Nationale  ainsi que d’entériner les droits fondamentaux contenus dans la « Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen », formulée au début d’août 1789.1

    Plus de 230 ans plus tard, ces droits fondamentaux (Liberté, Égalité, Fraternité) sont désormais bafoués par des gouvernements corrompus à travers le monde au nom d’un établissement financier totalitaire et illusoire.

    Prise de la Bastille (Par Bibliothèque nationale de France, sous licence du  domaine public)

     

    Bastille 2022

    Bastille 2022 ne concerne pas seulement la restauration de ces droits fondamentaux. Il cherche à inverser et à désactiver le programme criminel COVID-19 qui, en plus de deux ans et demi, a déclenché un chaos économique, social et politique dans le monde entier dans 193 États membres des Nations Unies, associé à des faillites, du chômage, une pauvreté de masse et le désespoir. Des famines ont été signalées dans plus de 25 pays.

    À partir de novembre 2020, un vaccin expérimental à ARNm lancé par nos gouvernements (prétendument dans le but de lutter contre la propagation du virus) a entraîné une  tendance mondiale croissante des décès et des blessures liés au vaccin.  C’est un vaccin tueur. C’est un crime contre l’humanité.

    Bastille 2022 n’est pas un  mouvement de « contestation », au sens strict.

    Nous ne cherchons pas à négocier avec des responsables gouvernementaux corrompus. Nous remettons en question leur légitimité. Ce sont des menteurs.

    Notre intention est d’affronter les puissants acteurs derrière cette entreprise criminelle qui détruit littéralement la vie des gens dans le monde entier, tout en créant des divisions au sein de la société. Les impacts sur la santé mentale des groupes de population dans le monde sont dévastateurs.

    Les nombreux confinements documentés dans les chapitres précédents (rester à la maison de la main-d’œuvre), les campagnes de peur, les mandats politiques COVID-19 imposés à environ 193 États membres des Nations Unies ont également contribué à saper et à déstabiliser:

  • le tissu même de la société civile et de ses institutions, y compris l’éducation, la culture et les arts, les rencontres sociales, les sports, les divertissements, etc.
  • toutes les activités du secteur public, y compris les infrastructures physiques et sociales, les services sociaux, l’application de la loi, etc.
  • toutes les grandes activités du secteur privé qui caractérisent les économies nationales, régionales et locales, y compris les petites, moyennes et grandes entreprises, les exploitations agricoles familiales, l’industrie, le commerce de gros et de détail, l’économie des services urbains, les entreprises de transport, les compagnies aériennes, les chaînes hôtelières, etc.
  • les structures de l’économie mondiale, y compris le commerce international des matières premières, les investissements, les relations d’importation et d’exportation entre les pays, etc.  Tout le paysage de l’économie mondiale a été bouleversé.
  • À son tour, un processus d’enrichissement par les milliardaires d’élite  ainsi que des inégalités sociales croissantes se déroulent (voir chapitre V).

    Les dettes massives contractées par les États-nations résultant de la corruption ainsi que de l’effondrement fiscal ont monté en flèche. De plus en plus, les gouvernements nationaux sont pris dans un carcan, sous le poids de puissantes institutions créancières. Les dettes croissantes à tous les niveaux de la société en sont le moteur (voir chapitre IV).

     

    La création d’un mouvement de masse 

    L’enjeu est la création d’  un mouvement de masse (national et mondial) qui s’interroge sur la légitimité et l’autorité des artisans de ce projet insidieux qui émane en gros du Big Money, de la Big Pharma, des Conglomérats des Technologies de l’Information, de l’Appareil de Sécurité, du Renseignement, le complexe militaro-industriel, la grande énergie et les médias d’entreprise.

    Ironiquement, les architectes de la « pandémie » COVID-19 sont désormais activement impliqués dans la formulation de la « solution ». La grande réinitialisation  du Forum économique mondial consiste à installer un régime totalitaire mondial. Ce qui est envisagé est un système de « gouvernance mondiale »  fondé sur le dépeuplement (voir les chapitres XII et XIII).

    Environ 193 États membres de l’ONU devraient être affaiblis et sapés. Ils sont sous l’emprise de la plus grave crise de la dette de l’histoire mondiale. Dans le cadre de la Grande Réinitialisation, les institutions de la démocratie parlementaire et de l’État-providence doivent être remplacées par un “partenariat public-privé” non élu dominé par les échelons supérieurs de l’establishment financier.

     

    Restaurer la vraie démocratie

    Nous chercherons toutes les voies par des moyens pacifiques pour désactiver et saper ce projet totalitaire, y compris le dialogue avec et au sein des institutions publiques et privées (étudiants, enseignants, responsables de l’application des lois, membres de l’armée et de la justice, etc.)

    Ce qu’il faut, c’est briser les structures de la corruption, de la hiérarchie et de l’autorité abusive, c’est-à-dire poursuivre ce qui pourrait être décrit comme:

    « la démocratisation de la prise de décision au sein de nos institutions ».

     

    L’art de la tromperie

    Nous devons néanmoins comprendre les limites de la conduite de procédures judiciaires efficaces contre les gouvernements nationaux. Les juges sont souvent sous pression, menacés et corrompus, alignés à la fois sur les intérêts financiers dominants et sur les politiciens.

    De plus, dans la mesure où ce projet insidieux est appliqué par les gouvernements nationaux du monde entier, la Cour pénale internationale (CPI), qui est officiellement “indépendante” par rapport au Conseil de sécurité de l’ONU, a une longue histoire d’évitement des crimes de guerre entre les États-Unis et l’OTAN. Le CCI est contrôlé par les mêmes élites financières qui contrôlent les gouvernements.

    Nous devons également comprendre les complexités de ce projet totalitaire soigneusement conçu et coordonné, à savoir le rôle de diverses institutions financières frauduleuses, de groupes de conseil et de pression d’entreprise, de consultants, de “conseillers scientifiques”, etc. agissant en tant qu’intermédiaires pour le compte de Big Pharma et de la finance les élites.

    Il existe une hiérarchie dans les structures d’autorité. Ce processus de prise de décision complexe et complexe est utilisé pour coopter, soudoyer et manipuler les représentants du gouvernement. Des mandats politiques presque identiques (émanant d’une autorité supérieure) sont mis en œuvre simultanément dans de nombreux pays, nécessitant une coordination active. Les mêmes firmes de lobbying puissantes agissent en même temps dans différents pays (par exemple en Amérique du Nord et dans l’Union européenne).

    Les manifestations de rue à grande échelle ne prévaudront que si elles se concentrent sur la désactivation efficace de ce processus décisionnel corrompu.

     

    Des manifestants se rassemblent près de la porte de Brandebourg à Berlin en août 2020 pour protester contre les mesures du COVID. Copyright: Reuters

    Convoi pour la liberté des camionneurs au Canada en février 2022, un mouvement contre les mandats COVID. Copyright David Skripac, avec autorisation d’utilisation.

     

    Quelles sont nos priorités ? Contre- propagande 

    Plus de 7 milliards de personnes dans le monde sont directement ou indirectement touchées par la crise corona. Plusieurs milliards de personnes ont déjà été vaccinées par un « vaccin » expérimental à ARNm « non approuvé », ce qui a entraîné une vague mondiale de mortalité et de morbidité.

    Alors que cette tendance est confirmée par les chiffres officiels concernant les décès et les événements indésirables liés au vaccin, les médias grand public et les gouvernements sont dans un état de déni.

    Les effets dévastateurs sur la santé du vaccin COVID-19 sont rarement reconnus. C’est le même slogan (qui est un pur mensonge) répété jusqu’à la nausée: « le virus est bien plus dangereux que le vaccin »:

    «Nous avons en fait plus de données de sécurité sur le vaccin que sur le virus, et voyons déjà que le virus est bien plus dangereux que le vaccin. (Intercare)2

    Le Dr Alan Schroeder pense qu’il est très naturel que les parents s’inquiètent, mais dit que pour les adolescents, le virus est plus dangereux que le vaccin. (NBC)3

    Les médecins le recherchent chez les enfants, mais l’essentiel reste que le virus est bien plus dangereux que le vaccin.

    « Les mutations de la variante omicron le rendent [le virus] plus prolifique, dangereux et insaisissable ».

    etc.

    Ce consensus de propagande doit être brisé. En ce qui concerne le vaccin, informer les gens à travers le pays des données sur les décès et les événements indésirables est la première étape.

    La crise du COVID initiée en janvier 2020 est sans précédent dans l’histoire mondiale. La propagande sous Nuremberg est un crime  (voir chapitre XI).

    Le démantèlement de l’appareil de propagande est crucial. La contre-propagande joue un rôle clé dans la révélation des mensonges utilisés pour justifier les mandats politiques.

    Sans désinformation médiatique persistante, le récit officiel du COVID tombe à plat.

    Avant tout, nous devons défier avec force les médias grand public, sans cibler spécifiquement les journalistes grand public qui ont reçu pour instruction de se conformer au récit officiel. Nous devrions à cet égard favoriser le dialogue avec des journalistes individuels (indépendants).

    Nous devons veiller à ce que les gens du monde entier parviennent à comprendre l’histoire et les effets dévastateurs de la crise du COVID en s’appuyant sur des concepts scientifiques, des analyses, des témoignages et des données. Cette entreprise nécessitera un processus parallèle au niveau local, de sensibilisation des concitoyens et d’établissement d’un dialogue sur la nature de la pandémie présumée, le vaccin à ARNm, le test RT-PCR, ainsi que les impacts économiques et sociaux dévastateurs des confinements.

    Si nous devons mettre un terme à la campagne de peur, nous devons néanmoins informer nos concitoyens sur les dangers du vaccin à ARNm ainsi que sur le chaos machiné de cet agenda totalitaire de «Gouvernance mondiale» sur les structures mêmes de la société civile.

    La « campagne de peur »  doit être remplacée par « des informations, des concepts, des analyses et des données » ainsi que des « stratégies »  pour affronter Big Pharma, les hauts fonctionnaires corrompus ainsi que leurs sponsors Big Money.

    Nous devons également assurer la conduite du dialogue et du débat à la base de la société.

     

    Mettre fin au “vaccin tueur”

    Notre première tâche est d’arrêter et d’annuler immédiatement le soi-disant “vaccin” COVID-19 qui a déclenché une vague de mortalité et de morbidité dans le monde entier.

    Selon le Dr Thomas Binder:

    « Les  injections de gènes sont dangereuses. Ils peuvent provoquer des réactions anaphylactiques, une thromboembolie, une thrombocytopénie, une coagulation intravasculaire disséminée et une myocardite à court terme.4

    Il existe une immunosuppression possible et une amélioration dépendante des anticorps, ADE, à moyen terme.

    Et à long terme, il existe d’éventuelles maladies auto-immunes, le cancer et l’infertilité, des risques qui n’ont pas encore été écartés.

    Selon Doctors for COVID Ethics, dans l’UE, au Royaume-Uni et aux États-Unis, les données tabulées respectivement par EudraVigilance, MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis):

    “ont maintenant enregistré beaucoup plus de décès et de blessures dus au déploiement du” vaccin “COVID-19 que de tous les vaccins précédents combinés depuis le début des enregistrements”

    En ce qui concerne le “vaccin” à ARNm, le nombre catastrophique de décès liés à l’injection n’a PAS été rapporté par les médias grand public, bien que les chiffres officiels soient accessibles au public.

    « Le signal de préjudice est désormais incontestablement écrasant et, conformément aux normes éthiques universellement acceptées pour les essais cliniques, nous exigeons que le programme de « vaccination » COVID-19 soit immédiatement interrompu dans le monde entier.

    La poursuite du programme, en pleine connaissance des préjudices graves et de la mort d’adultes et d’enfants, constitue des crimes contre l’humanité/génocide, dont les personnes jugées responsables ou complices seront finalement tenues personnellement responsables. »5

    Comme indiqué au chapitre VIII, Pfizer a un casier judiciaire (2009) auprès du ministère américain de la Justice pour « marketing frauduleux ».6

    Dans le cadre du règlement du DoJ de 2009, Pfizer a été mis en liberté conditionnelle:

    “Pfizer a également accepté de conclure un vaste accord d’intégrité d’entreprise… [qui] prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement une conduite similaire à celle qui a donné lieu à cette affaire.”7

    Mais nous n’avons plus affaire à du « marketing frauduleux »:

    « Tuer est bon pour les affaires »: Le vaccin est une opération de plusieurs milliards de dollars dans le monde. C’est un homicide involontaire.

    Une fois le “vaccin” arrêté, la criminalité de Big Pharma sera pleinement révélée et comprise. À son tour, la légitimité du récit officiel du COVID basé sur des mensonges et de la fausse science sera inévitablement compromise. C’est la première étape vers la rupture du récit «officiel» du COVID.

    La vérité est une arme pacifique importante. Sans propagande et désinformation médiatique, les architectes de ce projet n’ont pas de pied sur lequel se tenir.

    Brisons le consensus “officiel” du COVID-19 et l’appareil de propagande qui donne une “légitimité” à un agenda criminel.

    Une fois qu’il s’effondrera, il ouvrira la voie à l’inversion du processus plus large de chaos économique, social et politique généré au cours des deux dernières années et demie.

     

    Les dimensions géopolitiques

    Ce qui se déroule est une phase nouvelle et destructrice de l’impérialisme américain. C’est un projet totalitaire d’ingénierie économique et sociale.

    L’administration Biden a approuvé le programme COVID, qui a été utilisé pour déstabiliser et affaiblir les économies nationales(ironiquement, y compris les États-Unis ainsi que ses alliés et ses « ennemis »).

    Nous ne pouvons pas dissocier notre compréhension de la crise du COVID de celle de la politique étrangère américaine et de l’agenda hégémonique américain, par exemple la guerre en Ukraine, les relations américano-russes, l’élargissement et l’extension de l’OTAN, la militarisation de la mer de Chine méridionale dirigée contre la Chine, l’Iran et la géopolitique du Moyen-Orient, les régimes de sanctions en cours contre le Venezuela et Cuba, etc.

    Intégrer tous les secteurs de la société

    Il convient de noter que l’opposition organisée dans de nombreux pays occidentaux est faible. Pourquoi? Parce que les «forces progressistes», y compris les intellectuels de gauche, les dirigeants d’ONG, les dirigeants syndicaux et syndicaux d’Europe occidentale et d’Amérique du Nord, ont dès le départ approuvé le récit officiel du COVID. Beaucoup de ces mouvements progressistes sont soutenus par des fondations d’entreprises.

    Les mêmes fondations milliardaires qui sont les architectes tacites du « Great Reset » et de la « Global Governance » participent également au financement (généreux) de divers mouvements sociaux. “Ils contrôlent l’opposition”.

    Cela signifie que les militants de base sont souvent induits en erreur et trahis par leurs dirigeants qui sont régulièrement cooptés par leurs sponsors milliardaires.

    Il est essentiel que ces militants de terrain soient intégrés dans le pilier du mouvement contre le consensus COVID-19.

     

    La route à suivre

    Ce qu’il faut, c’est le développement d’un large réseau de base qui confronte à la fois les architectes de cette crise ainsi que tous les niveaux de gouvernement (c’est-à-dire national, États, provinces, municipalités, etc.) impliqués dans l’imposition du vaccin ainsi que dans la mise en œuvre le confinement et la fermeture de l’activité économique.

    Ce réseau serait établi (au niveau national et international) à tous les niveaux de la société, dans les villes et villages, les lieux de travail, les paroisses, les syndicats, les organisations paysannes, les associations professionnelles, les associations d’entreprises, les syndicats étudiants et les associations d’anciens combattants. Les groupes ecclésiastiques seraient appelés à intégrer ce mouvement.

    « Faire passer le mot » par le biais des médias sociaux et des médias en ligne indépendants sera entrepris en gardant à l’esprit que Google ainsi que Facebook sont des instruments de censure.

    Des procédures judiciaires et des protestations se déroulent dans toutes les grandes régions du monde. Dans le cadre d’ un réseau mondial d’initiatives, il est important d’établir des mécanismes de communication, de dialogue et d’échange à l’intérieur et entre les pays.

    La création d’un tel mouvement, qui conteste avec force la légitimité des élites financières, Big Pharma, etc., ainsi que les structures de l’autorité politique au niveau national, n’est pas une tâche facile. Cela exigera un degré de solidarité, d’unité et d’engagement sans précédent dans l’histoire du monde.

    Ce qu’il faut, c’est briser les barrières politiques et idéologiques au sein de la société (par exemple entre les partis politiques) tout en agissant d’une seule voix pour construire un consensus mondial contre la tyrannie. 

    La solidarité mondiale et la dignité humaine en sont le moteur.

     

    Notes 

    1 Encyclopaedia Britannica, 20 juillet 1998. Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. https://www.britannica.com/topic/Declaration-of-the-Rights-of-Man-and-of-the-Citizen

    2 Intercare, nd Partie 10 : Vaccins COVID-19 et effets secondaires à long terme. https://healthhub.intercare.co.za/2021/09/15/part-10-covid-19-vaccines-and-long-term-side-effects/

    3 Anoushah Rasta, 5 mai 2021. La FDA devrait approuver les vaccinations pour les enfants, mais les parents sont-ils prêts à aller de l’avant ? https://www.nbcbayarea.com/news/coronavirus/fda-expected-to-approve-vaccinations-for-kids-but-are-parents-ready-to-move-forward/2537309/

    4 Doctors for COVID Ethics, 3 août 2021. Nécessité, efficacité et sécurité des vaccins COVID. https://doctors4covidethics.org/covid-vaccine-necessity-efficacy-and-safety-3/

    5 Doctors for COVID Ethics, 22 octobre 2021. J’accuse ! Les « vaccins » basés sur les gènes tuent des gens. Les gouvernements du monde entier vous mentent au peuple, aux populations qu’ils sont censés servir. https://www.globalresearch.ca/jaccuse-governments-worldwide-lying-you-people-populations-they-purportedly-serve/5750650

    6 Ministère de la Justice des États-Unis, 2 septembre 2009. Pfizer Inc. « Marketing frauduleux » : « Le plus grand règlement de fraude en matière de soins de santé de son histoire » (2009). Département américain de la justice. https://www.globalresearch.ca/justice-department-announces-largest-health-care-fraud-settlement/5738792

    7 Idem.

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